égalité Devant La Loi

dans le dème et la phratrie qu'il voudra, conformément à la loi. Ainsi on votera sur son admission dans la prochaine réunion de l'assemblée. » D'après le Catalogue de inscriptions épigraphiques de langue grecque,  Berlin 1877-1895 Texte 4 [22] (1) Dorénavant, même ses concitoyens, mus par l'envie, accueillaient avec plaisir ces calomnies, tandis que Thémistocle devenait forcément ennuyeux, à rappeler trop souvent ses hauts faits devant le peuple. Et de dire à ceux qui s'en irritaient: «Eh! quoi

classique libéraux-keynésiens, qui nous permettra de mieux visualiser les deux réponses à la question : faut il lutter contre les inégalités ? I. Toutes les sociétés démocratiques justifient la lutte contre les inégalités au nom de l'égalité, mais une égalité qui est conçue de plusieurs façons. Nous associons la démocratie à l’égalité non seulement parce qu’elle même en est preuve d’égalité (donnant une voix à chaque citoyen), mais aussi parce que les gouvernements démocratiques ont l’obligation de viser

qui ne sont pas des conditions de validité du mariage mais peuvent servir de preuves. D. Les aspects juridico-sociaux Les romains ne considèrent pas le mariage comme l’exercice d’un droit naturel. Mais comme un acte relevant du droit et donc devant répondre a certaines conditions de droit. Il faut un mariage légitime, sinon c’est concubinage (pas d’effets de droit). Esclaves qui se marient n’ont pas de valeur juridiques car ce sont des « res » (choses). Pour que le mariage soit légitime, « conubium »

républicain implique donc une soumission des individus à la loi ; c'est l'intérêt public qui prime sur les intérêts particuliers. • À partir de la Révolution française, la République est pensée comme une association politique librement consentie par les membres de la collectivité. La contrepartie de cette adhésion des individus à l'idéal républicain, c'est la vocation de la République à rechercher le bien commun. Soumission de chacun à la loi dans le souci du bien de tous, tel est donc aujourd'hui l'idéal

communes en France 36 685) ainsi que la diversité des droits en vigueurs (droits coutumiers et droits romain). Par la rédaction du Code civil de 1804 un énorme effort est fait en direction de l' uniformisation du droit et donc de l' égalité du peuple français devant la justice. Il y a eu beaucoup d' efforts effectués avant de pouvoir affirmé l' unité de la population en France. On comprend donc pourquoi le législateur n' a pas voulut attenter à se principe sans réticences. Néanmoins le mouvement

A ce propos nous avons relevé à l’OMDH, lors de la publication d’un rapport, après analyse des 20 manuels scolaires que 3 concepts implants dans les libertés publiques et droits humains ne sont pas pris en considération à savoir les principes : égalité, dignité et tolérance. Souvent on se place dans les libertés publiques dans le rapport de l’homme au pouvoir. Donc deux notions importantes : - liberté – participation : c’est l’Etat libéral, dont les seules valeurs importants sont le droit de

dans ses grandes lignes celle de 1790. Principes révolutionnaires organisant la justice. La loi fondamentale de cette époque est celle des 16 et 24 août 1790. Elle pose les grands principes sur lesquels fonctionne encore la justice française. Cette loi instaure : - La séparation entre les 2 ordres de juridictions. Un ordre judiciaire et un ordre administratif. - Le principe de légalité devant la justice et de la gratuité. - Le droit de faire appel. - Le jury populaire en matière criminelle

(-V) -> oligarchie, tyrannie Crise politique et tensions sociales -> rejet oligarchie et tyrannie + réformes qui mettent en place la démocratie (Solon et Clisthène) La démocratie reposait sur deux principes : isonomie -> égalité devant la loi et iségorie -> égalité de parole Limites de la démocratie -> nombreuses classes sociales exclues (femmes, pauvres, esclaves), les magistratures électives (stratèges) étaient choisies chez les familles riches, les libertés sont accordées qu’aux citoyens

car c’est le peuple qui vote les lois. Etat de droit Un état de droit, c’est un état qui est régi par les lois. On ne peut pas condamner quelqu’un en dehors des lois. Les rapports entre les citoyens et l’état sont régis par la loi. Egalité devant la loi. La séparation des pouvoirs Au XVIIIe siècle avant la révolution, Montesquieu a fait la séparation des pouvoirs. Il n’y a pas de démocratie sans la séparation des pouvoirs qui sépare le législatif (faire les lois), de l’exécutif

depuis la révolution, respectable et méprisé. » [exemple 3] C’est pourquoi De Gouges propose une modification de la loi, dans la partie centrale qui a donné son titre à la déclaration, pour atteindre une parfaite égalité entre hommes et femmes : même possibilité d’accès au pouvoir politique et législatif, aux professions pénibles et manuelles ; égalité devant la justice, les impôts, la propriété… Les mesures de De Gouges sont bien « féministes » car elles visent à l’extension