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25% d’afro-américains vivant en dessous du seuil de pauvreté contre 8% des blancs, et la ségrégation géographique continue d’être une réalité. En France, la discrimination positive a commencé avec la mise en place de zones d’éducation prioritaires (ZEP) visant à atténuer l’injustice territoriale, en ciblant les zones urbaines sensibles et les quartiers défavorisés, notamment avec des moyens financiers plus importants. En Janvier 2010, François Fillon et Valérie Pécresse ont exprimé leur volonté de

de l'auteur au sujet de ces deux chapitres. Ensuite, nous allons vous faire part de nos réflexions personnelles par rapport à la thèse de l'auteur. 1 I. Thèse de l'auteur A) Chapitre 1 : « Collégiens de ZEP, lycéens de première génération. », pp. 43 à 74 Dans le chapitre « Collégiens de ZEP, lycéens de « première génération » » ( p43-74); Beaud commence son travail de terrain par l’étude des années collège. Le collège semble être une période sans heurt ni remise en question pour ces enfants

éducatif n’est pas indépendant de la société « l’école est un microcosme sociale »[3] C’est donc 20 ans après les Anglos saxons, tandis qu’ils remettaient en cause les questions autour des ZEP, qu’en France, nous étions en plein réajustement politique de celles-ci. On peut donc s’’intéresser sur les ZEP : A quoi servent-elles ? Comment ont-elles étaient porteuse d’innovation ? Nous verrons dans une première partie ce que sont vraiment les Z.E.P et comment elles se sont constituées.

ses avancées comme pour ses limites, c’est évidemment les zones d’éducation prioritaires (ZEP), créées à l’initiative d’Alain Savary en 1982. Secrétaire du secteur collèges à la direction du Syndicat national de l’enseignement secondaire (Snes), M. Bruno Mer en défend le principe : « Il s’agit de promouvoir des territoires, et non des individus, sur des critères socio-économiques, et non ethniques. » Sans les ZEP, insiste-t-il, les zones urbaines sensibles (ZUS) (5) auraient viré à la catastrophe, «

Tableau comparatif des différents dispositifs éducatifs Dispositifs | Droit commun | Politique de la Ville | Public | Présentation dispositif | objectifs | Ministère(s) porteur(s) du dispositif | ZEP | | X | Les élèves des ZUS | Renforcement des moyens et aide aux établissements accueillant des élèves dans des zones sensibles | Réduire les inégalités entre les établissements. | Education National | PAE | X | | Les écoliers | Obtenir des aides financières et des moyens de formation pour réaliser

but : permettre au plus grand nombre d’accéder a l’éducation. En outre l’Etat instaure en 1882 les ZEP (Zones d’Education Prioritaire) qui visent à fournir des moyens supplémentaires à certains établissements situés dans des zones où les conditions sociales font obstacle à la réussite scolaires des élèves. Les universités ou les grandes écoles on t des quotas pour favoriser les étudiants venant des ZEP. L’Etat a intérêt d’investir autant dans l’éducation car ce sont ces futures élites qui formeront

pas vraiment fait de calcul pour arriver là où ils «échouent» ; habitant les endroits construits par certaines communes et constituant en cela des territoires stigmatisés et évalués comme les moins fréquentables par les autres groupes sociaux (effet ZEP par exemple). Dans le même ordre d’idée on pourrait parler aussi des villes qui se sont «spécialisées» dans les classes moyennes. On le voit donc, le problème de la ségrégation urbaine ne se limite à ses représentations les plus visibles

l'avons observé- tend à nier les spécificités car la République est «une et indivisible ». C'est la raison pour laquelle les politiques éducatives publiques visant les populations issues de l'immigration sont menées de façon implicite. La création des ZEP, lors de l'arrivée au pouvoir de la Gauche en 1981 et dans le cadre plus général de la territorialisation est à cet égard très significative. La finalité de ce dispositif consistait à « donner plus à ceux qui ont moins » en donnant davantage de prérogatives

chômage touche deux fois plus les handicapés). Les dépenses sociales ou budgétaires devant se réduire à l'avenir, il faut être plus sélectif dans les aides versées (ex : optimiser les réussites dans l’avenir des jeunes, on privilégie les meilleurs des ZEP). Je pense aussi qu’il est nécessaire de mener une stratégie volontariste pour faire bouger les choses car cette discrimination peut parfois aider les jeunes à sortir de l’impasse que constituent les banlieues. Toutefois, j’émets quelques réserves

proposent différentes mesures. Tout d'abord, les Socialistes suggèrent le renforcement des zones d'éducation prioritaires ( ZEP), c'est à dire réduire le nombre d'élève par classe et de former des enseignants spécialisés ZEP afin que les élèves profitent plus de soutien scolaire et un meilleur encadrement par des enseignants qualifiés et connaissant cette structure éducative. Les ZEP représentent 8836 établissements scolaires. Le retour de la carte scolaire permettrait la mixité sociale, éléves issus