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temps que secrétaire. Je sais qu’il a regardé ma couleur de peau et non mon expérience, pour lui l’entreprise serais « bien vu » si il a de la mixité. » La discrimination positive se trouve aussi dans certaines écoles, collèges et lycées appelés ZEP (Zones d’éducations Prioritaires) Ces institutions délimitent des territoires où la population est en difficulté au niveau social et économique (citées…). Cette dénomination, en milieu scolaire, a débouché sur l'obtention de moyens humains énormes (encadrement

de plus de 20 salariés à embaucher un quota de 6% de personnes handicapées. Les entreprises qui ne respectent pas cette obligation doivent verser une compensation qui a été alourdie en 2005 ; Des élèves de ZEP : l’IEP a mis en place un système de convention avec certains lycées classés en ZEP afin de prendre en charge des élèves méritants et de les amener sans concours à Sciences-Po Paris pour qu’ils puissent suivre des études qui ne leur étaient pas accessibles ou envisageables. Des pauvres : ils

On a alors des politiques d’affirmative action qui se développent (non sans contestations) : quotas d’étudiants noirs dans les universités américaines, lycéens de ZEP à Sciences Po. Les politiques de ZEP (ressources supplémentaires) qui fonctionnent peu du fait de carences d’enseignants et des peer effects (effets de pairs dans les ZEP = émulation par le bas), s’inscrivent dans cette démarche de donner plus à ceux qui ont moins. Des politiques de mixité sociale entre les quartiers semblent cependant

sont traités. L’auteur nous dit que les enseignants doivent respecter les programmes. Toutefois, ils ont une liberté pédagogique. Le chapitre quatre fait place aux questions sur l’égalité des chances. Il explique en particulier la mise en place des ZEP et leur fonctionnement, le but de la discrimination positive, donner plus à ceux qui en ont le moins. Cependant, le problème de l’affectation des enseignants est soulevé. La carte scolaire aussi est mise en avant avec sa remise en cause. Elle reste

toutes choses égales par ailleurs, l’orientation des élèves de 3ème vers une classe de 2nde soit plus fréquente dans les collèges de ZEP. Mais le décalage avec le niveau objectif, plus faible, est tel que des problèmes se posent dès lors que ces élèves inégaux se retrouvent ensuite scolarisés dans les mêmes classes ; ainsi, les élèves scolarisés jusqu’alors en ZEP rencontrent plus de difficultés au niveau du lycée. Cela s’explique par le fait que lorsque les élèves des milieux défavorisés quittent

textes dans la réalité . La discrimination positive, en remettant en cause l’égalité des droits, cherche en fait à promouvoir une autre forme d’égalité : soit l’égalité des chances, soit l’égalité des positions. Par exemple avec la mise en place de ZEP (zones d’éducation prioritaire), où l’on donne plus de moyens financiers aux établissements scolaires accueillant un public provenant de milieux sociaux défavorisés. L’objectif est de leur donner de meilleures conditions d’enseignement, en leur donnant

Adresse mail : MARTINE.MAVOUNZI@HOTMAIL.FR Moyen de Locomotion :BUS Situation Professionnelle • • N° d'inscription ANPE : 0292130H Sans Activité Informations de connexion Code d'accés : [E112492319 Mot de passe : [MAMAN ] ] Affectation en ZEP Les informations recueillies sont nécessaires à la constitution de votre dossier de candidature, au traitement de vos préférences (géographique, temps de travail souhaité, ) et aux conditions de votre recrutement. Elles font l'objet d'un traitement

dans des collèges de ZEP : En janvier 1998, dans le cadre de la relance des zones d'éducation prioritaires, et en vue des assises nationales des ZEP organisées à Rouen en juin 1998, des enquêtes ont été lancées auprès des acteurs de terrain pour connaître leurs attentes et pour contribuer à un état des lieux. L'ensemble des principaux de collège et un échantillon représentatif de 710 enseignants ont été interrogés.Leurs réponses sont analysées dans ce Dossier. Les collèges de ZEP, pour leurs enseignants

mobilisations. J. Ion est l’un des premiers sociologues à analyser le changement au sein des politiques sociales. Il note que les dispositifs mis en place dans la décennie 80 (Développement Social des Quartiers (DSQ), Zone d’Education Prioritaire (ZEP), Mission Locale…), outre leur caractère décentralisé et expérimental du début, sont d’abord « territorialisés », c’est-à-dire qu’ils s’appliquent à un territoire censé constituer un espace spécifique cohérent d’intervention pouvant se substituer aux

traduit par une moindre connaissance de l’environnement scolaire » Marco Oberti, Franck Sanselme et Agathe Voisin, p.110) , la classe sociale (bourgeois/ classe populaire) et le contexte géographique (ZEP ou lycée privée ? / mauvaises fréquentations etc…) de l’individu conditionnent sa construction sociale et donc sa réussite. c. Le système scolaire lutte mal contre les inégalités («en traitant tous