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tels que l’Australie, le Royaume-Uni et la Belgique. Les critères peuvent être territorial, ethnique et culturel. En sus de système de quotas, on peut également citer de différentes politiques, par exemple les zones d’éducation prioritaire en France (ZEP). Malgré son intention de lutter contre l’inégalité sociale, beaucoup de gens s’opposent à l’ingérence dans le fonctionnement de l’école et doutent de son résultat. En effet, il n’existe pas de véritables bénéficiaires de ces politiques. En premier

analyser la notion de discrimination positive et les différentes politiques d’ Affirmative Action mises en œuvre aux Etats –unis depuis quarante ans. Aussi évaluerons nous les différentes politiques mises en places en France (système des ZEP, loi sur la Parité, Conventions-ZEP de l'IEP de Paris, etc.) : sont-elles les déviances ou les prémisses de la discrimination positive ? Le point central de cet écrit s’articulera autour de la question du bien fondé de la discrimination positive dans l’entreprise

des chances par un traitement inégalitaire (donc dérogatoire au droit commun) de leur situation au départ. Il s’agit de donner plus à ceux qui ont moins pour rétablir une égalité des chances. Exemples : ZEP, Sciences-Po Paris, classes préparatoires à la CPGE à Henri IV pour les élèves issus des ZEP, quotas, loi sur la parité, zones franches urbaines, exonérations fiscales. Document 18 p. 197 / TD 2 P 201 c. Limites La discrimination positive a des effets pervers : - fragilisation de la cohésion nationale

les situation, dans ce cas ce qui est juste c'est ce qui va permettre d'effectuer ces correction (justice corrective qui cherche a redistribuer les revenu, position social en agissant sur les inégalités de départ). Exemple des sous versée dans les ZEP, ont parle alors de discrimination positive (action pour inverser les discrimination indicative). 3) Selon le principe d'égalité des situations ce qui est juste c'est de garantir a chacun est de garantir a chacun la satisfaction de ses besoin de

d’éducation prioritaire (ZEP). Elles sont crées après le constat que l’école n’est pas un facteur d’égalité sociale et donc qu’il faut donner des moyens supplémentaires à certains établissements. La politique des ZEP est de renforcer l’action éducative dans les zones où les conditions sociales sont telles qu’elles constituent un facteur de risque, voire un obstacle pour la réussite scolaire des enfants et des adolescents qui y vivent et donc, à terme, pour leur insertion sociale [1].La ZEP fonctionne en réseau

les recherches en matière d’éducation7. Au-delà des compétences et attributs individuels des élèves, on considère qu’une scolarisation dans des classes de faible niveau et/ou dans des établissements cumulant des facteurs défavorables (localisation en ZEP, équipe éducative connaissant une forte rotation et comprenant une proportion élevée de jeunes professeurs, peu d’options rares et prestigieuses, …) a tendance à aggraver les risques d’échec scolaire. Le lien entre ségrégation urbaine et ségrégation

l’Etat-Providence pour répartir convenablement la richesse. Dans ce cadre on peut aussi citer la discrimination territoriale : dans le respect des « Droits de l’Homme et du Citoyen », on met à profit certains territoires en leur offrant des aides et des services (ZEP, REP en France ; « Education Action Zone » au Royaume-Uni en sont un exemple). Cela permet de lutter contre l’échec scolaire et de créer ainsi des zones et réseaux d’éducation prioritaire. 3) La discrimination biologique, culturelle ou raciale.

par exemple les enseignants devraient changer leurs pratiques pédagogiques et prendre en compte le handicap culturel de certains et évaluer leurs élèves uniquement sur ce qu’ils leur ont enseigné. Cette transformation peut également passer par les ZEP, le soutien scolaire ou la réduction des effectifs, ces perspectives d’évolution seront abordées dans la troisième partie. II-2) L’analyse de Boudon Raymond Boudon est un sociologue français connu pour être le chef de file de l’individualisme

différentes. Ainsi, les aléas que la France a connus dans l’Histoire et les cultes et religions créent des particularismes. De même, la population est dispersée en plusieurs conditions sociales. Nous pouvons énumérer plusieurs exemples : les conventions ZEP qui permettent aux jeunes issus de banlieues d’accéder à Sciences Po grâce à un examen spécial constitué d’un seul oral, ou encore la loi de la laïcité qui ne s’applique pas en Alsace-Lorraine. Ainsi, les particularismes sont-ils réellement des injustices 

pourquoi échouent-elles? La loi sur la solidarité et la rénovation de 2000 a instauré des pénalités financières pour les communes ne respectant pas le seuil de 20% de logements sociaux. Des politiques ciblées ont été mises en place comme celle des ZEP (zone d’éducation prioritaire). Il s’agit d’augmenter l’effort de la collectivité envers les écoles et les collèges de quartiers défavorisés (postes supplémentaires). Cependant, cette politique est très décevante au regard de son coût et ne prend pas