Purgation Des Passions

issue de la Poétique d'Aristote, elle est la purgation des passions, ou la libération de ces passions. Le spectateur doit pouvoir être touché par ce qu'il voit et entend sur scène. Dans la tragédie, elle est supposée exciter la crainte et la pitié chez le spectateur. Elle permet de vivre les destins des personnages par procuration, et le spectateur est censé prendre en aversion ce qu'il voit : il est donc nécessaire que les personnages incarenent des passions humaines. La catharsis permet aussi de donner

Faux , justifiez vos réponses (2pts) 1- Oui car elle commande, elle utilise des impératifs et des subjonctifs d'ordres «  poena gravior » ; « minax pessimos induta » 2- Non car la catharsis inspire la crainte et la pitié, c'est la purgation des passions Questions sur le textes (6pts) 1-elles épousent leurs cousins et les mettent à mort le soir même des noces sur l'ordre de leur père. Les Danaïdes sont condamnées, aux Enfers, à remplir sans fin un tonneau sans fond. 2- les points communs

–) et par trois principes (voir C –). B – L’idéal classique Tout d’abord, le classicisme est caractérisé par un idéal humain : l’honnête homme. Celui ci est noble ou roturier, cultivé mais sans affection, passionné et sociable mais conscient de ses mérites personnels. Il possède le talent de la conversation et se comporte avec simplicité et naturel. De plus, il est un modèle intellectuel. Les classiques croient à l’existence d’une nature humaine permanente

la tragédie : 1) La catharsis : Définition d’Aristote dans sa « Poétique » + exemples dans le texte : « Purification de l’âme du spectateur, par le spectacle du châtiment du coupable » : énumération l.8/9 « Purification de l’âme ou purgation des passions du spectateur, par la terreur et la pitié qu’il éprouve devant le spectacle d’une destinée tragique » : définition donnée par le jardinier dans tout le texte  « c’est cela que c’est la tragédie » l.9/10 2) Dieux et fatalité : Mélange entre

répétés pourraient-il exister dans la réalité ? La parole théâtrale, enfin, est elle-même artificielle : parlons-nous en alexandrins comme dans les tragédies classiques ou dans les drames de Victor Hugo ? Les valets parlent-ils avec le lyrisme passionné de Ruy Blas aux ministres assemblés (III, 2) ? Le théâtre se fonde, aussi bien dans le texte que dans la représentation, sur des conventions visibles qui en font un art peu naturel. Et, malgré cela, le spectateur cède volontiers à cette douce

Rédaction du paragraphe I/A/ La tragédie tente de corriger les vices des hommes, leurs passions. Les dramaturges comptent sur la « catharsis » (purgation des passions) : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration en éprouvant terreur et pitié, comme l'écrit Aristote dans sa Poétique. Dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou se suicident, deviennent fous, tel Oreste à la fin d'Andromaque de Racine.

241 à 290) Sommaire I.L'aveu théâtral A.Par l'enchaînement des répliques (structures) B.Une scène musicale, une ' symphonie ' (Barrault) C.Un corps parlant II.L'aveu tragique A.La tragédie familiale B.La tragédie divine C.La passion fatale III.Le silence et l'aveu ( dire et ne pas dire ) A.L'aveu arraché B.Le dilemme de l'aveu Résumé de l'exposé La scène 3 du premier acte est marquée par l’entrée en scène de Phèdre. Cette entrée a largement été préparée durant les

(l'arrivée au pouvoir d'Hitler, l'oppression bourgeoise… afin de susciter la réaction de spectateurs (Mère Courage). catharsis : effet de "purgation des passions" (Aristote) que produit sur les spectateurs une représentation dramatique. Le spectateur se projette dans les actes et les sentiments des personnages et ainsi "nettoie" son âme de ses propres passions. Le metteur en scène Au XXe siècle, le théâtre est autant affaire de mise en scène que de texte et le spectacle théâtral, en se détachant

comme le souligne Baudelaire (« Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre »). Nous pourrions presque mettre en parallèle cette action avec l’effet de catharsis présent au théâtre et permettant cette purgation des passions par l’intermédiaire du jeu des acteurs (« Et je me couche, fier d’avoir vécu et souffert dans d’autres que moi-même », « elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis »). Ce qui est certain en tout cas, c’est bien l’aspect

Dans La Potique, Aristote dfinit la tragdie comme limitation dune action de caractre lev () et qui, suscitant piti et crainte, opre la purgation propre pareilles motions reprsentant la terreur et la piti (). Prenons exemple sur la tragdie classique, on nexclut pas les deux grands acteurs Pierre Corneille et Jean Racine. Malgr les mmes matriaux collects des rcits mythologiques, leur conception de la tragdie est compltement diffrente. Luvre de Corneille est marque par les tensions et un cruel dilemme