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France ? En France, la loi du 10 juillet 1987 en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés impose à toute entreprise de 20 salariés ou plus d'employer au moins 6% de travailleurs handicapés. Depuis l'année scolaire 2000–2001 des conventions ZEP/Grandes écoles permettent à des lycéens issus des cités défavorisées d'intégrer certaines grandes écoles sans avoir à passer le concours commun. Ces zones avaient été créées en juillet 1981 par le ministre socialiste Alain Savary avec l'objectif affirmé

maîtriser la lecture. Ces difficultés entrainent du « décrochage scolaire » car les élèves n’ont pas les compétences (lecture et écriture) pour acquérir un métier. La création des ZEP (zone d’éducation prioritaire) En 1985, les gouvernements vont essayer de réduire ces inégalités sociales à l’école en créant des ZEP pour que les « établissements ghettos » aient plus de moyens financiers (crédits pour du matériel pédagogique) et humains (professeurs mieux formés) pour les aider à accompagner tous

d’appartenir à la classe favorisée. Doc 21 Des frontières géographiques La création des ZEP Les zones d’éducation prioritaire ont été créées 1er juillet 1981 (n°81-238) et mises en place en 1982. Elles ont pour but de renforcer les actions éducatives et les moyens dans les zones où les conditions sociales sont telles qu’elles produisent l’échec scolaire. Le classement d’un établissement du secondaire en ZEP est décidé par le Recteur. Il induit un certain nombre de dispositions comme un nombre d’élèves

PUL, 1998 13 La circulaire du 1/7/1981 créant les ZEP indique que cette création « n’a de sens que si elle s’inscrit dans une politique de lutte contre l’inégalité sociale. Son but prioritaire est de contribuer à corriger cette inégalité, par le renforcement sélectif de l’action éducative dans les zones et dans les milieux sociaux où le taux d’échec scolaire est le plus élevé », alors que le discours introductif aux Assises nationales des ZEP de S. Royal alors ministre de l’EN, les 4 et 5 juin

conventions avec des lycées ZEP, zone où les établissements font face à des difficultés de comportements importantes et de mauvais résultats. Cette école permet aux élèves des quartiers pauvres de bénéficier d’études supérieures avec un avenir prometteur. Elle incite les jeunes à rompre avec les habitudes et les normes des quartiers défavorisés pour nouer avec celles des beaux quartiers de Paris. « L’opération [a été] couronné de succès : les résultats des élèves provenant de ZEP sont équivalents à ceux

familles favorisées, et a renforcé les représentations négatives des enseignants et des élèves (doc5). Ajoutons à cela des résultats pas toujours positifs : les acquis des élèves des établissements classés ZEP n’ont pas connu de progressions supérieures à celle des établissements « hors ZEP » (doc5). On a aussi trop souvent catalogué les filières, caractérisant le Littéraire pour les filles ou par default, le Scientifique pour l’élite, filière ouvrant le plus de porte, et les BEP/ CAP pour les

plus pour ceux qui en ont le plus besoin. Ceci renvoie au débat entre équite? et égalite?, entre une justice différentielle et une justice universelle.  •En France, la création des zones d’éducation prioritaires (ZEP) ou l’ouverture de Sciences Po à un quota d’élèves issus de ces ZEP offrent des exemples de discriminations positives.  •Notons enfin que des arguments économiques sont avancés pour justifier l’existence des inégalités.  B-Les arguments en faveur de la réduction des inégalités 

l’instruction, à la formation professionnelle et à la culture » 1959 : loi Berthoin : obligation scolaire jusque 16 ans - Déclaration universelle des Droits de l'enfant 1963 : carte scolaire 1975 : loi Haby créant le collège unique 1981 : création des ZEP 1983 : loi qui stipule que le fonctionnaire « doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement l’intérêt public » - Le fonctionnement

principales demandes des jeunes et des familles : etre traités sur un pied d'égalité comme le veut la devise de la Republique. Politiques de démocratisation de l'accés aux grandes écoles, quotas des Grandes ecoles. ZEP : L’instauration des zones d’éducation prioritaires (ZEP), en 1982, visait à compenser ces inégalités croissantes en accordant davantage de moyens aux établissements scolaires situés dans certaines zones difficiles. => au final : discrimination Dans ce sens, l'ouverture

Les partenariats du lycée Le lycée Edmond Rostand classé ZEP – REP accueille des élèves issus de milieux socio-économiques divers, majoritairement de condition modeste. Il se doit d’offrir à tous les jeunes des parcours scolaires de réussite et de leur garantir, au-delà d’une insertion professionnelle, une promotion sociale. Dans le cadre de sa mission « Egalité des Chances», le lycée est devenu progressivement partenaire de Grandes Ecoles, d’Universités, d’associations et de fondations oeuvrant