Matrice Comparaison Ponderee

rapport au poids et au volume du produit | |Appareil de prod. flexible | | Matrice de comparaison pondérée A) Mexique 1 Accessibilité du produit : o Proximité géographique : 3 (pas très loin) o Infrastructures : 4 (aéroports internationaux, autoroute mais peu de navires o Facteurs socioculturels : 2 (population

professionnelles. Dynamique du sourire et la faire rayonner à l’interne comme à l’externe est une priorité. Bien-être de ses 150 000 collaborateurs : management de proximité, développement des compétences,  formation, reconnaissance, mobilité... Matrice de comparaison pondérée Pays en vu : Angleterre et Pays Bas Critères | Coeff. | Angleterre | Résultat | Pays Bas | Résultat | Proximité géographique | 2 | 4 | 8 | 3 | 6 | Facteurs socioculturels | 4 | 4 | 16 | 3 | 12 | PNB/hab

Commentaire : Les deux effets sont négatifs est importants c-à-d : l’absence de diplôme ou un faible diplôme n’encourage pas la lecture, quelque soit le sexe. * L’effet moyen : 1- On calcule la moyenne simple : 2- On calcule la moyenne pondérée : Soit la population masculine = 1628 + 776 = 2404 hommes. Donc on aura : Pour les femmes on a : 1774 + 819 = 2593 Ce qui donne : L’effet moyen : (-23,6 X 0,481) + (-31,1 X 0,519) = -27,5 - Examinons l’effet du sexe féminin c’est

Indonésie : 6% - Mexique : 6% - Chine : 5% - Argentine : 5% - Allemagne : 5% - Royaume- uni : 5% Les DAS de Danone La gamme de produits Velouté fruix fait partie du DAS des produits laitiers pour Danone, ainsi nous vous proposons une brève comparaison avec les autres DAS du groupe. Le domaine d’activité stratégique des produits laitiers frais représente la plus grande part de marché des activités de l’entreprise. C’est le segment qui génère actuellement le plus de chiffre d’affaires. Cependant

Chaîne de Valeur Enfin, il a défini les stratégies génériques de domination, différenciation et focalisation Au milieu des années 80, le BCG a encore une fois contribué aux efforts de développement de l’analyse stratégique. Il a proposé une matrice qui définit des stratégies génériques en se basant sur une typologie des systèmes concurrentiels 5. La stratégie d’entreprise dans les années 90 : Une nouvelle démarche a succédé à celle de M. Porter, considérée comme étant

l’entreprise. Ici toute la question est : c’est quoi des ressources ? Bien sûr il y a du matériel, du financier etc mais c’est aussi une culture, un bien être… B) Les modèles descriptifs C) Les modèles de portefeuille = école de portefeuille, matrice d’activité, modèle opérationnel. L’école mécaniste : le modèle BCG (Boston Consulting Group). Modèle le plus connu. C’est un modèle qui apporte une réponse à la demande des décideurs. On dit mécaniste car on y entre des données et en sorte quasi

L’ACTIVITE et FACTEURS CLES DE SUCCES • Les FCS sont les éléments stratégiques qu’une organisation doit maîtriser afin d’assurer sa pérennité et légitimité (de surpasser la concurrence) • FCS d’hier / FCS d’aujourd’hui / FCS de demain IV) LA COMPARAISON DES CHAÎNES DE VALEUR : l’émergence d’une structure industrielle Elle décrit les différentes étapes qui déterminent la capacité d’une organisation à obtenir un avantage concurrentiel en proposant une offre valorisée. STRUCTURE DE LA CHAÎNE

c’est àdire à partir taux d’intérêts. étapesen sont lessuivantes Les : 1) Construction la courbe de taux zéro-coupon des emprunts d’Etat de 2) Calcul des taux zéro-couponanticipés chaque date de fixation (à du THE.Le THE est défini comme lamoyenne, pondérée par lesencours,des taux actuariels, sans frais depuisjuillet des emprunts d’Etat plus 89, de de 7 ans observés sur le marché secondairele vendredi). suppose On de l’absence prime de risque. 3) Calculdu prixanticipé chaque date de fixation THE) d’une

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 1.3 Comparaison des modèles probit et logit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 1.4 Présentation des modèles dichotomiques en termes de variable latente . . . . . . 21 2 Estimation des Paramètres par la Méthode du Maximum de Vraisemblance . . . . . . 26 2.1 Estimation par maximum de vraisemblance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 2.1.1 Matrices Hessiennes et Matrices d’information de Fischer . . . . . . . . . 28 2.1.2 Unicité

en bloc : ……………………………………………………………………………………..09 4-code cyclique :………………………………………………………………………………….…10 5-code de répétition :………………………………………….…………………….……………11 6-distance minimale :………………………………………..…………………………………. 11 7-matrice génératrice :………………………………………..………………………………. 12 8-matrice de contrôle :…………………………………………………………….……….……12 9-syndrome……………………………………………………….…………………….…………… 12 10-classification de la problématique :………………………………….….……..……13 CHAPITRE II . code de Hamming :…………………………………….……….……… 14