La Culture Limite Nos Pulsions

fuyant ainsi la société des hommes et dans lequel il exprime férocité et violence. (Ainsi, l’homme sauvage ne devient il que « réellement » homme par la civilisation ? La civilisation fait elle l’homme ?) Dès lors, la civilisation n’est elle pas la culture qui permet l’humanisation de l’homme en le rendant comme extérieur à la nature sauvage ? Néanmoins, les critères de civilisation ne peuvent ils pas à contrario définir la sauvagerie même, dans la mesure où en détachant l’homme de la nature, elle

Présentation du programme D’HLP1) Contenu d’enseignement 2 thèmes (voir carte mentale one note)A) La recherche de soi La spé a pour but d’acquérir une culture générale solide et des compétences a l’oralCette culture humaniste permet à de réfléchir aux problèmes contemporain Le rapport a soi ne va pas de paire avec qqchose facile d’accès . Le romantisme va interroger sur notre propre identité , en quoi consiste le moi ? Que signifie-t-il ?cette interrogation va donner lieux à des changements capitales

ANTRHOPOLOGIE PHILOSOPHIQUE ET RELIGIEUSE 1. La notion d’anthropologie 1.1 Définition Sens commun : Anthropologie => homme, groupe humain, mode de fonctionnement => mécanisme anthropologique Etude de le l’homme, du mouvement, son évolution, sa culture (Psycho : étude du mécanisme humain) 1) spirituelle 2) psychique (désirs) 3) animal (instinct) Unité entre trois zones : Sens scientifique : L’anthropologie ce sont toutes les sciences qui étudient l’homme du point de vue de sa nature, son âme

psychologie. En psychologie, on est face à la métaphore du miroir: on étudie ce que l'on est. Le psychisme s'inscrit dans le biologique (Freud). La psychologie intuitive est utilisée pour vendre, on essaie de voir ce que l'autre ressent. Il y a une limite entre moi et l'autre mais on fait comme si on pouvait se mettre à sa place. Le danger est de croire qu'on comprend tout de l'autre. Chez les jumeaux, le psychisme a l'air commun. Phrase courante de parents: tais-toi, je sais ce qui est bon pour toi

pas considéré comme une personne, mais simplement comme un objet nécessaire à satisfaction sexuelle et vis-à-vis duquel une vive hostilité est ressentie. Le problème essentiel de la définition est que celle-ci est variable selon les époques, la culture, la religion, les lois... (ex : l’homosexualité ne fait plus partie des perversions). Par extension, le vocable pervers peut s’utiliser pour une personne sans comportement sexuel inhabituel, mais pour lequel le mode de jouissance repose sur la

pas : un manque à combler | SOPHIESophia : la sagesse | Besoin : expression des 3 pulsions du corps * Ego : instinct de conservation * Eros : instinct sexuel * Thamatos : instinct de mortDésir : principal acteur : le corps caractère involontaire. Le corps affecte et détermine l’âme : images, idées, jugement.Volonté : choix réfléchi de l’âme | Ensemble de connaissance : expérience, éducation, culture, science… Tout savoir ne suffit pas à être sage.Attitude : incarner des valeur

religieuse entend régler les passions en soumettant le désir à des limites, des interdits, en prônant des convictions valorisantes comme le « salut » de Dieu. Tout désir est donc généré par la relation au désir des autres : le désir est recherche d'un plaisir anticipé sur fond d'imitation des autres, ou parfois d'une expérience réelle ou imaginaire vécue avec les autres. Bien que l’homme vise d’abord le superflu, dès lors que la culture suscite et transmet certains désirs tout en les rendant compatibles

mal ? Existe-il une frontière, une limite ? Est-elle fragile, instable ou distincte ? La limite entre le bien et le mal est une limite instable, donc Existe-il une limite distincte entre le bien et le mal ? Peut-on séparer, distinguer le bien et le mal ? A quelle condition peut-on montrer (distinguer) que la limite entre le bien et le mal est fragile ? Nous allons dans un premier temps, étudier la thèse suivante : la limite entre le bien et le mal est une limite fragile si on se réfère à notre

Colle Culture G n°1 L’HOMME : UN SAUVAGE CIVILISE Introduction L’homme est par essence un être social c’est-à-dire qu’il est capable d’ancrer son existence dans des relations entre vivants. Lorsque l’on utilise l’adjectif « civilisé » c’est souvent pour l’opposer à ce qui nous semble relever d’un ordre animal voir sauvage. L’adjectif sauvage renvoi à tout ce qui est resté à l’état primitif, au sens anthropologique il s’agit de ce qui est à l’état de nature. En ce sens, l’homme civilisé serait

Descartes L’homme a une capacité de douter. C’est l’âme qui domine le corps. La nature n’est pas bonne en soi. Il faut nous extraire de la nature, pour nous mettre dans la culture. Il faut domestiquer et à la limite, exploiter la nature. Les idées sont innées à l’esprit. D’ailleurs, il y a une dualité entre le corps et l’esprit. Descartes croit qu’il y a un Dieu tout puissant. Sa serait lui qui assurerait nos connaissances. Ce serait aussi grâce à lui si nous avons une définition de l’infini ainsi