La Culture Limite Nos Pulsions

Le culturel se distingue du naturel sur le même plan que l'acquis et l'inné. Est dit naturel ce qui est inné. La culture en un premier sens s'oppose à la nature, les talents et les dons. Aristote distingue les hommes né pour commander et ceux pour obéir ( = hérédité génétique ) La technique est là pour corriger ce qui n'est pas naturel : innéité du goût. Il y a une tension perpétuelle entre l' inné et le naturel. Phusis : manière de penser ce les latins appelaient natura. Ce qui naît et crois par

Première Topique*, 1900, Freud a proposé une première représentation de l'appareil psychique dans lequel il distingue deux systèmes : a) le système inconscient  (ics) : il est le siège de l'énergie vitale, affective et libidinale (c'est à dire la pulsion sexuelle). Il est le foyer actif de nos désirs de tout ordre. Il ignore la négation, la contradiction, le doute, le temps et la réalité extérieure. b) le système préconscient/inconscient (pcs/cs): il décrit la conscience ainsi que la mémoire. Contrairement

sont les pulsions incitant à l'achat Les freins sont des pulsions négatives empêchant l'achat a) Les motivations > Les motivations hédonistes : pulsions d'achat qui trouvent leurs origines dans le besoin de s'obtenir de la vie des plaisirs > Les motivations oblatives : pulsions d'achat qui trouvent leurs origines dans le désir de se faire du bien, de donner quelque chose aux autres et particulièrement à ses proches > Les motivations d'auto expression : pulsion d'achat

qui insiste sur les modes de transmission des comportements et des valeurs au sein d’une société donnée. Ce culturalisme met l’accent sur le relativiste (Les règles sociales diffèrent sensiblement d’une société à une autre) et le déterminisme (la culture évoluant au sein d’une même société est envisagée comme un « tout » homogène). Partout où il y a des groupements organisés d'êtres humains, sous forme de tribus, de clans (etc.), il y a une régularité de l'organisation des relations entre les individus

puissent s’unir pour former société soit le fait qu’étant unis les hommes continus de vivre en communauté. D’un point de vue psychanalytique : ce qui caractérise l’être humain c’est le fait qu’il doit un être pulsionnel et social. Autrement dit les pulsions qui animent l’être humain sont obligées pour trouver satisfaction ou insatisfaction d’en passer par l’existence d’autrui. Car pour fabriquer, désirer, construire, parler ces identifications l’être parlant à besoin de l’autre c’est une nécessité.

1ère Séquence : Le Sujet, La Culture La Culture • Introduction : Etude d’un extrait du Protagoras de Platon, le mythe d’Epiméthée et de Prométhée. • Ce que nous apprend la bio-anthropologie sur le processus d’hominisation. CF De la biologie à la culture de Jacques Ruffié : la station debout permanente, la libération de la main, le développement du cerveau. • Que doivent les comportements humains à la nature ? Etude d’un texte de Emile Durkheim : le comportement de deuil. • 1) La diversité culturelle

comprendre le refus de l’inconscient comme son refoulement, nécessité par une vie en société, comme un refus de l’inconscient autrement dit des pulsions, voulu par l’existence d’une société. En effet, l’individu libre, soumis à aucune volonté autre que la sienne, est avant tout un Homme responsable, d’où le besoin pour la société de lui donner un maîtrise de ses pulsions, qui compromettrait son équilibre en étant assouvies. Il nous faut cette fois considérer comme Freud l’inconscient rattaché à la conscience

FREUD : MALAISE DANS LA CULTURE (1929) Ecrit d’un jet pendant des vacances d’un mois en Autriche. Peu de ratures. Ouvrage le plus pessimiste de Freud, et parmi ses essais celui qui est le plus philosophique. A connu à sa sortie beaucoup de succès, et fut très vite réédité, et le fut à de nombreuses reprises. Constitué de 8 gros paragraphes, d’environ une dizaine de pages chacun, dont chacun traite d’une question légèrement différente, mais relative à la culture. Retraduction assez récente

est fait pour vivre dans une cité, une société donnée “celui qui vit hors cité [...] est soit un être dégradé, soit un être surhumain”. Un être humain vivant hors d’une cité est un être qui n’a ni loi, ni foyer, ni cadre de vie. Il vit donc sans limites. Un homme vivant seul hors d’une cité, n'apporte rien à cette dernière, aucune ressources, aucune économies. Même si par nature l’homme cherche à être libre, il sera toujours entouré par les règles d’une société. La seule chose qu’un être vivant hors

yielagfihbvfbvyfgwbrguilUGIWAUYWGBFHBAIBVDFVBAEIUGBV FHAFA AGHEBALFBVAFHBVALBVFVAEBVHEAIBVUEHRBKVEHBVHRUVBKAUVBEHVBAHEB- VAEKUBHVBAEHBRHUBVUAEYRFVHJVHJSDV BSJSDFUYWGFWEFVWHJKFVHKVSHVBSDVBBSAVAHGFWYUGFHVBSKVJWagfw GWGAHBHJVAJFGUWFGWEUYFGWEYUFGWYFGWUygfhsfvkVWHUSVHDBCVSDBV Le Malaise dans la Culture Sigmund Freud I. La source véritable de la religiosité selon Romain Rolland serait la sensation d’éternité, sentiment comme quelque chose de sans frontière, sans borne, océanique. Mais rien n’est plus assuré que le sentiment de notre moi