égalité Devant La Loi

"Les ZEP sont-elles légitimes et efficaces par rapport au principe d'égalité des chances?" introduction: La politique des zones d'éducation prioritaires a été lancée en 1981 afin de lutter contre l'échec scolaire et les inégalités sociales devant l'école. Elle a été définie à partir d'une idée simple: «donner plus à ceux qui ont moins». L'objectif premier est clair: il s'agit d'orienter les élèves pour qu'ils puissent adhérer à une meilleure insertion sociale et professionnelle. On se demande

DISCRIMINATION POSITIVE 1°). Introduction !   La « discrimination positive » est un principe : il s’agit d’instituer des inégalités pour promouvoir l’égalité, en accordant à certains un traitement préférentiel. On espère de la sorte rétablir une égalité des chances compromise par deux phénomènes : la généralisation ou la persistance de pratiques racistes ou sexistes d’une part, une accentuation des inégalités socio-économiques d’autre part. Selon que l’on se trouve dans le premier ou le second cas

de la m façon.au <3 dep longtemps au centre de vie politique + soc.plusieurs façon de concevoir l'égalité (qui ne st pas tt compatibles) -égalité de droit : au-delà de leur différences ind ts = dev loi + institution.1er dimension de l'égalité.au fondement rep FR, ds la constitution 1789.ms n'empêche pas i éco,soc..ne veut ps dire =de richesse -égalité des chances : concep° de l'= selon laquelle ind doivent dispo au deb de leur vie soc des mm condi° de départ (mm chances d'accèder aux posi°soc

permet un spectacle aussi intéressant que le sport masculin. Je retiendrais par exemple, tout simplement, les images des derniers Jeux olympiques.Si nous sommes différents corporellement, pour autant, nous pouvons être égaux. Il existe bien une égalité de droit entre les femmes et les hommes, notamment dans les pays européens et en France, mais les inégalités de fait persistent. 2) la pratique sportive, il existe des inégalités. Le milieu sportif est un milieu où les discriminations sont souvent

aussi pour qu’il s’intègrent mieux dans la population américaine en leur trouvant des emplois qualifiés ( média, professeur, etc.) Cette idée de favoriser certaines catégories de personne, est rapidement entrée en France dans les années 80, avec la loi du 10 juillet 1987 qui favorise les travailleurs handicapés. Cependant l’expression «  discrimination » est mal vue par certains hommes politiques, on parle alors « d’égalité des chances » ou « action positive »  qui reprend le terme américain « affirmative

services publics [La documentation française] de 1992. Tout comme ceux débattus au niveau de l’Union Européenne, ils font l’objet d’intenses débats publics. Egalité C’est à la fois le principe fondamental du service public et l’une des valeurs de la République. Les services publics sont le principal instrument de ce principe et l’égalité devant le service public et l’égalité d’accès aux services publics est déterminante pour l’accomplissement cette “mission”. « {Le principe d’égalité implique qu’aucune

Dimension religieuse : structure véritablement nos sociétés (surtout dans l’histoire). L’école, les conflits politiques concernent la question des mœurs. Est-ce que la reconnaissance du droit à la différence doit déboucher sur une égalité des droits ? Il y a égalité homme-femme mais chacun est égaux dans sa pluralité ? Les lois sont faites par la société parlementaire et non par la religion. Il y a une chute des religions sur le plan institutionnel, les Eglises se vident, les vocations peu nombreuses…

donc modifié la société française. En effet, le principe de laïcité a pris corps pour la première fois pendant la Révolution française avec l'abolition de l'Ancien Régime (fin des privilèges de l'Église) et la Déclaration des Droits de l'Homme (égalité des droits) en 1789. Le siècle suivant, les lois de sécularisation affranchissant l'État de ses liens historiques avec l'Église catholique et créant de nouvelles normes politiques et sociales (ex: les pouvoirs judiciaire, exécutif et législatif).

ne s'agit en aucun cas d'une politique de quotas : en 2003, la Cour Suprême a condamné le principe des quotas comme étant contraire à l'égalité devant la loi et à la libre concurrence[2]. Les résultats sont jugés convaincants aux États-Unis : en 1960, 13 % des Afro-Américains appartenaient aux classes moyennes, ils sont 66 % en 2000[3]. En France, la loi du 10 juillet 1987 en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés impose à toute entreprise de 20 salariés ou plus d'employer au moins 6% de

La DDHC veut que chaque français soit egal en droit et en liberté. C'est sur cette idée que Jacques Chirac à proposer la loi française 2005-102 du 11 février 2005 qui a pour but d'améliorer l'intégration des handicapés par des mesures qui vont être mis en oeuvre. Avant cela, l'integration des handicapés était conçu comme de la charité, désormais c'est plus de l'égalité. La loi française 2005-102 du 11 février 2005[3] a vocation à améliorer cette intégration par toute une série de mesures en cours