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individus qui maximiserait la situation des plus défavorisés. On aura donc une répartition inégalitaire des libertés, mais dans une situation ou les plus démunis seront favorisés. Cette vision pourrait aujourd’hui être comprise par exemple à travers les ZEP. En effet, la mise en place par l’Etat d’un système scolaire favorisant les classes sociales les plus démunies grâce à un encadrement plus poussé est une application de la théorie de Rawls en matière d’égalité des chances. Un autre exemple serait

matières, bourses. 2. Réforme Haby 1975 avec trois dispositions -Création d'un collège unique ou tout le monde aura le même programme. -Rétablir l'hétérogéinité des classes -Intégration des populations en difficulté qui sont en échec avec les ZEP(Zones d'Education Prioritaires). 3.Loi Jospin 1989 On instaure les cycles et non plus les niveaux. On réforme l'institution des maîtres avec I.U.F.M. Instituteurs devient professeurs des écoles. On fixe un niveau scolaire à atteindre par cycle

noter. Effet Pygmalion : impression que l’on a avant de rencontrer les élèves à cause des « ont dit ». Quand ont dit à l’enseignant « ce sont des bons élèves » ou des « mauvais élèves », l’enseignant va agir de manière différente. 20% des profs en zep tire les conséquences de cet effet pygmalion et pense que les élèves peuvent progresser, 40% veulent partir et 40% restent mais les méprisent. Face à tous ces inconvénients de l’évaluation c’est l’évaluation formative (voir ce qui est positif, les

bacs technologiques afin d'accueillir plus d'élèves au lycée. Il a aussi accordé des bourses aux élèves des milieux défavorisés pour les inciter à poursuivre leurs études et a adopté le principe de la discrimination positive (Convention ZEP à Sciences po, ZEP, internat d’excellence…). Multiplication des lycées et des universités avec l'aide des régions. Il a augmenté le niveau culturel de tout les élèves quelque soit l'origine sociale, il est meilleur de génération en génération. L'Ecole

auteurs interrogent l'influence négative de la société de consommation sur l'école, la culture de masse contribuant, à leurs yeux, à dévaloriser certains savoirs académiques. Face à cette « crise », divers axes ont été développés comme la relance des ZEP, la mise en place de procédures de discrimination positive (selon l'exemple de Sciences Po Paris à partir de 2001), la mise en place de l'apprentissage dès 14 ans ou encore l'autonomie des universités (loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux Libertés

en évidence deux usages de la langue orale : pratique (oral du quotidien) et scriptural (oral de l'école). Le deuxième texte de Elisabeth Bautier, Maitriser la langue, oui mais pourquoi faire ? , extrait du Bulletin du centre A.Savary de l'INRP, XY ZEP, paru en avril 1998, se questionne sur l'origine des problèmes linguistiques des élèves. Enfin, le texte 3 de Bernard Lahire, La raison scolaire : école et pratiques d'écriture, entre savoir et pouvoir, paru en 2008 aux Presses universitaires de Rennes

dégradation de la valeur reconnue à l'école. B – De la nécessité pour l'école de s'adapter à la société afin de retrouver l'aura dont elle doit jouir. Volonté d'assurer ses missions pleinement. Face à l'échec scolaire, mise en place des ZEP zones dans lesquelles sont situés des établissements scolaires dotés de moyens supplémentaires et d'une plus grande autonomie pour faire face à des difficultés d'ordre scolaires et sociales . Problématique de l'égalité des chances (Bourdieu)

élimination et la considèrent comme normale, alors que la sélection dans et or de l’école est sociale. Selon Bourdieu, il faut traiter différemment les élèves selon leur origine sociale. Ses travaux seront à l’origine de nouvelles dispositions pédagogiques (ZEP, soutien scolaire, collège unique, lutte contre l’échec scolaire…). Le livre proposé par P. Bonnewitz est intéressant dans la mesure où dans le dernier chapitre il propose de faire le tour des influences et critiques qu’à suscité la sociologie de P

des responsables associatifs et à des étudiants, il s’agira d’aborder le problème dans sa globalité en traitant de questions primordiales telles que la démocratisation de l’enseignement (objectif du bac à « 80% »), le bilan et la remise en cause des ZEP, la carte scolaire, l’égalité des chances dans l’accès aux formations d’excellence, la question du rapport entre formation et emploi… Le documentaire, devenu un genre cinématographique à part entière, est un instrument des plus pertinents lorsqu’il

la « politique de discrimination positive », des aménagements sont mis en place pour réduire cette fracture sociale. Cette politique consiste à la mise en place de privilèges comme un budget plus élevé pour les zones difficiles, avec par exemple les ZEP, les zones d’éducation prioritaires. Cependant le bilan fut mitigé. Toujours dans cette optique de réduire la fracture sociale, les grands ensembles ont été rénovés en 2000. En 2010 a été initiée une politique de revalorisation de ces quartiers, consistant