Zep

place, à partir de 1982, de zones d’éducation prioritaires (ZEP) sur le principe « donner plus à ceux qui ont moins ». De plus le manque de volonté politique, l’absence de suivi, l’empilement des dispositifs et des sigles, l’acharnement à ne pas évaluer les actions menées, les effets d’annonces des ministres successifs ont par ailleurs brouillé les cartes. La création, en 2006, des réseaux ambition réussite (RAR), sortes de " super ZEP " reliant des collèges avec leurs écoles primaires environnantes

Discrimination positive ? La discrimination positive doit être mise en place afin de gommer les inégalités des chances qui sont remplacé par d’autres inégalités considérés comme légitimes. On voit qu’il existe une différence entre les élèves de ZEP et ceux de Paris pour diverses raisons (méthodes de travail, capitaux différents, absence de connivence etc…). La discrimination positive est née aux Etats-Unis où elle porte le nom d’« affirmative action », basée sur des critères ethniques (quotas

service public - Circulaire de 1998 relative aux contrats de ville confirme l’égalité des citoyens devant le service public. De plus les actions éducatives s’appuient sur la politique d’éducation prioritaire dans les Zones d’Education Prioritaire (ZEP). D –Politique de l’insertion, de l’emploi et du développement économique - Pacte de relance pour la ville adopté en 1996 : faire revenir les entreprises et l’emploi dans les ZRU et ZFU. Création d’emplois Villes réservés aux jeunes des quartiers

avec des aides, pour ne plus être exclu de la société et essayer de s’y intégrer. Il y a donc une réduction des inégalités qui entraine une limitation des exclusions et donc conserve les liens sociaux entre les individus. Les personnes provenant de ZEP (Zone d’éducation prioritaire) se trouvent dans ces écoles du fait de leur lieu d’habitation, de leurs origines ethnoculturelles. Certaines écoles leurs réservent des places sur dossier et entretien. Même avec moins de moyen, moins de chances de réussir

etc.). Bibliographie[modifier | modifier le code] Exclusion et pauvreté en milieu scolaire, rapport de l'IGEN Échec scolaire : nouvelles perspectives systémiques, collectif Francine Best, L'échec scolaire, PUF, 1997, (Que sais-je?). La Politique ZEP, édition CNDP La Dimension économique de l'éducation, Revue pédagogique internationale Jacques Bert, L'Échec scolaire chez les enfants dits surdoués Daniel Calin, Les réactions psychiques à l’échec scolaire Jean-François Michel, Les 7 profils d'apprentissage

aux politiques familiales et éducatives des différents pays. 2 conceptions de l’éducation des enfants les plus jeunes : Scolarisation précoce et collective : facteur de réduction des inégalités sociales (dès 2 ans pour écoles françaises situées en ZEP) Gardiennage familial plutôt que collectif Conseil de l’Europe et l’Ecole 1949 : Conseil de l’Europe – Favoriser la formation des « nouveaux européens » par diverses actions, développement le bilinguisme, favoriser échanges entre étudiants, équivalence

Associe d’autres acteurs, faire avec les habitants qui est au cœur des politiques de la ville. Un ministère intégré les politiques du territoire. Les politiques de la ville repose sur la géographie prioritaire, des quartiers prioritaires (ZUP, ZUS, ZEP). Elle repose sur le partenariat entre l’Etat et les municipalités (agglo) concernés. L’Etat qui a fait les constats des besoins des habitants, des besoins des quartiers. Contractualisation entre l’état et les villes. La démographie médicale est le

très au fait de l'actualité, des institutions, sans doute parce qu'ils en parlent chez eux. C'est un peu la même chose sur les livres. Quand un prof demande : "Vous avez lu tel auteur ?", tout le monde lève la main, pas nous. "Sans les conventions ZEP, je n'aurais pas tenté Sciences-Po. Je connaissais son prestige - Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, Lionel Jospin ou d'autres y sont passés - mais je n'aurais pas essayé. Mes parents ne connaissaient pas. Pour mon père, l'objectif était d'avoir le bac

l’équipe éducative se dégrader. Ces dégradations entraînent l’apparition de fossés de plus en plus profonds. Ainsi, on note l’opposition entre les lycées de très aux niveaux, visant les classes préparatoires et les grandes écoles plutôt que le bac, et des ZEP constamment en difficulté. Les jeunes vivant dans deux lycées aussi différents sont donc différents : leurs idées, leurs objectifs, leurs ambitions, leur vision du quotidien les séparent. En raison de cela, ces jeunes ne se considèrent pas comme appartenant

« rétablir l’égalité des chances et favoriser la mixité sociale », et éviter un phénomène d’autocensure que résume la formule « Sciences-Po, ce n’est pas pour moi », Sciences-Po a ainsi signé des Conventions Éducation prioritaire avec des lycées (ZEP, REP, etc.) D’autres dispositifs existent comme ceux de l’Essec (« Une prépa, une grande école, pourquoi pas moi ? ») avec des tuteurs de l’ESSEC dès la classe de seconde pour préparer à l’enseignement supérieur ; comme la préparation de Normale