Toyotisme Et Flexibilité

de satisfaire la demande de marché. Cela suppose une organisation qui sera pour l’entreprise la garantie de son existence et de sa pérennité. Ainsi le fordisme a succédé au taylorisme au début du 20ème siècle et s’est vu lui-même améliorer par le toyotisme dans les années 1970. Ce dernier a été créé au Japon par le directeur de la production et vice-président de l’entreprise automobile Toyota, l’ingénieur Taïchi Ohno. Il s’agit d’une nouvelle organisation du travail qui repose sur le concept du Juste

efficace (Japon, Corée du Sud). Du coté de la demande, un phénomène de saturation et de nouvelles exigences des consommateurs (prix, qualité, délai, diversité). Le modèle Taylor-Ford est inadapté par apport à tous ces changements. En manque de flexibilité. Crise Technique. A partir de 1980, les ouvriers deviennent des CAO (informatique + robotisation), il se charge des taches répétitives, qui a pour conséquence le licenciement des OS. Les ouvriers deviennent des opérateurs, plus polyvalents

des convoyeurs et des lignes de montage dans son usine. Est à l’origine de la standardisation des produits (Ford T). Années 1990 2000 Années 1980 Toyotisme 1950 Remise en cause du Taylorisme Années 50 Taiichi OHNO Mayo / Mac Grégor Apparition du télétravail et des star-up. Suppression emplois peu qualifiés. Stress plus accentué par plus de flexibilité Apparition des CAO, DAO et PAO Mise en place de Kaisen (cercles de qualité) Management par projets (groupes autonomes) Met en œuvre la méthode Kanban

taylorisme. D’autre part, la chaîne permet d’obtenir un produit standardisé ce qui réduit le risque d’erreur, de malfaçon. Pour ces 2 raisons ; la quantité et la valeur des produits fabriqués par le travailleur augmente.3) Le toyotisme, un modèle post-taylorien japonaisLa flexibilité du travail est la capacité d’une entreprise à adapter le plus rapidement possible la quantité, la qualité et la rémunération du travail à ses besoins productifs en fonction de la demande qui s’adresse à elle.La méthode de

entre le travail de conception et le travail d’exécution (cols blancs/cols bleus). Enrichissement du Travail : Ajout aux taches habituelles des activités plus intéressantes pour l’ouvrier (entretient, réparation et contrôle qualité par exemple. Flexibilité : Politique de gestion de la main d’œuvre mise en place dans les entreprises afin d’adapter la production et l’emploi correspondant aux évolutions rapides de la demande. Fordisme : Organisation du travail mise en place par H. Ford qui ajouté a

Le facteur capital Le progrès technique et l’innovation L’organisation de la production et du travail dans une entreprise industrielle ou de services L’analyse d’une décision d’externalisation ou de sous-traitance Les enjeux de la flexibilité dans une entreprise de production ou de services Les nouvelles formes d’organisation du travail dans une entreprise du secteur tertiaire Le changement technologique dans une entreprise donnée La productivité Les déterminants de la productivité

point de nouvelles méthodes de productions : le Toyotisme. Cette méthode repose sur une production à zéro stock, zéro défaut, zéro papier : le flux tendu. Ce système nécessite un réseau de transport développé. Les atouts de ce système sont l’adaptation à la demande, moins d’entrepôts. 3) Le rôle des PME - Les PME sont aussi présentent dans la puissance de la mégalopole. Elles jouent un rôle de sous-traitance. Intérêt : la flexibilité. Cela permet de ne pas licencier, mais d’annuler

d’enjeux stratégiques des entreprises -couts : délocalisation, automatisation, méthode-standardisation, approvisionnements… -qualité : formation, contrôle, approvisionnements (achat de MP)… -délais : rapidité (délais de mise à disposition), flexibilité (renouvellement gammes),… -sécurité : approvisionnements, contrôle, process (processus de fabrication)… -environnement : système de production (rejet, bruits…) -éthique : condition de travail, délocalisation (travail des enfants…), relations

  selon  le  document 6, est marquée par un accroissement très fort de la productivité, que ce soit aux Etats-Unis (2,74 %), en France (5,11 %)  ou au Japon (7,69 %). On peut y voir en particulier les conséquences du taylorisme ou les débuts du toyotisme qui sont tous deux  des innovations qualifiées d’organisationnelles.  Enfin  il  convient  de  rappeler  que  les  entreprises,  par  l’augmentation  des  bénéfices  qu’elles  retirent  des  produits  innovants,  augmentent  leur  formation  brute 

la parcellisation des tâches, sans remettre fondamentalement en cause l'OST. Ce sont le rotation des postes, l'élargissement des tâches et leur enrichissement. On essaie d'assouplir la hiérarchie et de responsabiliser davantage les exécutants. Le toyotisme est un exemple du post-taylorisme, basé sur une gestion participative du personnel. Pour son concepteur, Taiichi Ohno, il s'agit de privilégier la qualité sur la quantité. Pour cela, on redonne de l'autonomie à l'ouvrier, regroupé au sein d'équipes