Obstacles épistémologiques

de la Terre; mais cette prise de conscience semble trop lente pour la vitesse à laquelle les glaciers fondent. Comment clarifier le concept de catastrophe d'un point de vue philosophique et épistémologique? Une mise en scène de la catastrophe convaincante peut-elle changer la donne? Quelles sont les obstacles à la force du concept de catastrophe? I. Enjeux de la catastrophe: mettre en scène pour mieux agir A. Visualiser la catastophe pour assurer la survie de l'homme Dans le chapitre de La

d'un raisonnement même si les apparences le supposent comme valable. Selon Karl Popper, il faut pouvoir prouver par l'expérience qu'une théorie est fausse afin de prétendre trouver un raisonnement se rapprochant de la vérité. L'expérience épistémologique met donc à l'épreuve de sa propre réfutation l'hypothèse en question, démarche qui permet d'avancer vers la connaissance sans pouvoir démontrer sa véracité pour autant. L'hypothèse en tant que moyen de raisonner Il faut envisager la science

peuvent être démentis par les faits ne sont pas de la science. Le paradigme désigne l’existence d’un consensus durable au sein d’une communauté scientifique sur la définition même des activités scientifique. -Les obstacles épistémologiques : * L’évidence est le premier obstacle, qui donne à l’individu l’impression de savoir (prénotions). Le fait scientifique doit être construit, et doit être constaté. * Le métier de scientifique, ce n’est pas un individu dénué de tout intérêts, il a

démontrant que pour de nombreuses femmes ces processus ont souvent correspondu à une réduction de leur autonomie économique, de leurs accès aux ressources, de leur statut et de leur sécurité. Le concept de genre apparait ainsi comme un saut épistémologique, nécessaire. D’ailleurs, dans « Relations de genre et développement, femmes et société »[5] publié en 1992 par un collectif de l’Orstom, Jeanne Bisilliat écrit en introduction : « sachant de façon évidente que c’est le social qui crée le sexe

cette question, il va falloir trouver des situations, des confrontations entre des personnages et de points de vue dynamiques et signifiants Repérez les différents registres où la question se pose : Esthétique, Morale, Politique, Histoire Epistémologique ( discours sur l’histoire des sciences,) Religion, Linguistique etc. … Déclinez toutes les expressions approchées, laissez-vous porter par votre imagination, « Ratissez » large : toute votre culture ( historique, littéraire, religieuse

saisir la réalité de son état. La question demeure cependant de la nature de ces moyens. Le souverain peut-il d’emblée se faire attribuer une aussi pleine clairvoyance ? Cet élément étant fondamental chez Meinecke, il convient de s’interroger sur des obstacles éventuels à une parfaite connaissance de l’état. Par ailleurs, nous pouvons également nous interroger sur les moyens de juger un souverain capable d’observer, aussi méticuleusement que Meinecke le préconise, les différentes facettes de la vie politique

l’esprit scientifique Extrait chap. 1 : « La notion d’obstacle épistémologique » Ce § forme un tout. Il ne s’interroge pas seulement sur l’opinion en général, ou la science, voire leur opposition, mais sur la formation de l’esprit : l’enjeu est de former une pensée : apprendre à penser et cela, plus précisément, en science. Bachelard parle du point de vue scientifique, non dans l’absolu. En quoi l’opinion peut-elle constituer un obstacle à la formation de l’esprit scientifique ? Bachelard raisonne

pouvoir entraîner une adhésion universelle. Le problème consiste à interroger l'efficacité de la démonstration. Suffit-elle à convaincre autrui, c'est-à-dire à obliger sa raison à reconnaître la vérité démontrée et à en être certaine ? Ou bien des obstacles s'opposent-ils à cet effet convaincant de la démonstration ? De quelle nature sont-ils ? Et comment, en ce cas, parvenir à surmonter ce qui, en l'autre, résiste à la rationalité démonstrative ? La croyance est subjective et ne nécessite pas de

de sécurité. En biologie, de nombreuses théories et hypothèses peuvent être mises en place. Comme souligne d’ailleurs Canguilhem dans La Connaissance de la vie, connaître c’est avant tout analyser. Pour lui, le biologiste doit surmonter 4 obstacles épistémologiques propres à la démarche expérimentale biologique : la spécificité qui consiste à dire que chaque espèce est dotée de caractéristiques différentes, l’individualisation qui explique que même de la même espèce deux individus sont forcément différent

faisant émerger la place de l’implexité et le rôle essentiel de l’éthique dans le processus d’enquête qualitative, tout en permettant de mieux comprendre le lien entre les deux. Aussi cet article s’inscrit de manière plus large dans les réflexions épistémologiques, méthodologiques et éthiques portant sur la recherche qualitative qui constituent des préoccupations à la fois constantes, évolutives et sans cesse renouvelées. Il est structuré autour de deux principaux axes. D’une part, il aborde un ensemble