Obstacles épistémologiques

distingue pas les différentes branches de la recherche (pharmacologie, physiologie, optique,etc.) Ni les différentes périodes historiques > on généralise facilement les acquis d’une période limitée. On confond les niveaux épistémologiques de l’expérimentation. Cinq niveaux épistémologiques 1. 2. 3. 4. 5. Tâtonnement expérimental ingénu Expérimentation qualitative élémentaire ou analogique Expérimentation quantitative Tâtonnement expérimental réfléchi (empirisme scientifique) Expérimentation systématique

MODÈLE COMPORTEMENTALISTE (voir constructivisme) MODÈLES CONSTRUCTIVISTES ET SOCIOCONSTRUCTIVISTES (voir constructivisme) MENTALISME METACOGNITION (voir constructivisme) N NÉO-BEHAVIORISME (voir béhaviorisme) O OBJECTIF – OBSTACLE OBSTACLE ÉPISTÉMOLOGIQUE / OBSTACLE PÉDAGOGIQUE P PSYCHANALYSE (voir mentalisme) PSYCHOLOGIE SOCIALE GÉNÉTIQUE (voir constructivisme / socio-constructivisme /perspective européenne du socio-constructivisme) PSYCHOLOGIE CULTURELLE (voir constructivisme / socio-constructivisme

théories qui sont effectivement réfutables. La seconde limite nous contraint à considérer la science comme un ensemble, ce qui n'est pas un problème insurmontable. Cependant, la troisième limite, plus profonde, mérite qu'on s'y attarde. Le courant épistémologique constructiviste, qui sera présenté un peu plus loin, reprend cet argument pour remettre en question la possibilité d'établir des relations objectives en proposant que le sujet connaissant est indissociable de la connaissance produite. L'impossibilité

disparitions et des réapparitions. Il s’agit d’une science sociale « processus » caractérisée par les aller et venir intégrant à la fois les paradigmes contestés et enrichis, au point de donner l’impression de l’absence en son sein, d’une cohérence épistémologique. C’est une fausse impression. L’histoire de la science politique donne raison à la thèse de K. Popper[1] que l’on a enterrée vite[2], insistant sur la falsification suscitée par des problèmes comme point de départ du point de vue scientifique

la sensation, comme une manière pour nos sens de se rapporter au monde extérieur. Or notre perception est limitée. Elle ne nous permet pas de distinguer cette réalité dans son intégralité. On peut alors parler de confusion sensible, constituant un obstacle radicale à la connaissance. Il nous est donc impossible de savoir véritablement si ce que nous percevons correspond à la réalité qui ne cesse ne se mouvoir. Ainsi, Platon nous montre que la connaissance et la perception sont de nature différente

LA PHILOSOPHIE ET SA METHODE PHILOSOPHIE ET PROBLEME 1. UN TERME PROBLEMATIQUE • Psychologie et logique. • un usage commun : ce qui fait obstacle, parce que jeté devant soi. • un usage logique : exposition en vue d’une démonstration (Euclide, Spinoza), une proposition et ce qui la rend croyable, d’où un fait question comme interrogation, une quête, une recherche à propos d’un sujet d’enquête (Aristote). Le problème laisse le choix entre le

l’apparence du savoir : un jugement présenté comme vrai mais qui ne l’est pas forcément. Ils établissent une distinction entre une opinion (l’affirmation d’un jugement personnel) et la science (le savoir objectif). Pour les philosophes, l’opinion est un obstacle qu’il faut contourner (voire détruire) pour avancer sur le chemin de la connaissance. Le monde de l’opinion s’oppose au monde de la connaissance. * Etude de l’allégorie de la caverne (film + texte) Nous sommes comme les prisonniers

........................................................16 2.3.2 L’objectif-obstacle ........................................................................................16 2.4 Propositions didactiques autour de l’enseignement des instruments à cordes .17 2.4.1 L’approche « traditionnelle » de la notion de position...................................17 2.4.2 Le changement de position comme franchissement d’un obstacle ..................18 2.4.3 Une approche musicale du choix des positions ....

réalise à travers un apprentissage inconscient des nouveaux gestes mentaux et comportementaux plus précisément par un apprentissage de niveau 3 qui implique un système dans sa finalité, dans une redéfinition de lui-même ou de la réalité. 3/Les obstacles au changement Watzlawick citait dans deux parmi ses ouvrages des comportements de la vie quotidienne qui aboutissent à piéger l'individu dans son désir de changer les choses. Dès lors, si l'individu se trouve dans une situation insurmontable

scientifique » se développe par l’élimination progressive de la subjectivité. Les opinions, préconceptions, etc. constituent autant d’obstacles épistémologiques, de freins à la connaissance. Pour prendre un exemple qui n’est pas de Bachelard, on pourrait dire que l’expression « le soleil se lève le matin » et la croyance qui l’accompagne constituent un tel obstacle dans la mesure où elles masquent le fait que le soleil est immobile, que c’est la terre qui tourne autour de lui. Poincaré a quant à lui apporté