Obstacles épistémologiques

vérité-lumière chez Platon ) • « doute » comme condition d’accès à la valeur ( vérité – Descartes, « cogito »-vérité ) : expérience métaphysique • fonction critique de la philosophie : la récusation des obstacles épistémologiques (> Spinoza, critique du préjugé finaliste et anthropomorphique, du dogmatisme et de la vérité décrétée-argument d’autorité) 2) Importance des hypothèses métaphysiques ( enjeux moraux & politiques ) • sophia

question s’impose : le philosophe est-il destiné à être le moins utile des travailleurs, un rêveur inconscient qui prend les mots pour les choses elles-mêmes ? La pratique de la métaphysique voue la philosophie à la stérilité. Le véritable obstacle épistémologique devant la constitution d’une discipline philosophique sérieuse est interne, il réside dans l’attitude des philosophes eux-mêmes. Comment aider les philosophes à prendre conscience de l’absence de fécondité de leur pratique? La préface à

apprentissages doit respecter la logique de construction des connaissances par les élèves, remettant en cause la représentation sociale de l'appropriation des connaissances, "représentation d'un tapis roulant des connaissances qui s'ancreraient sans obstacles, ni retour dans l'esprit des élèves, pour peu que la présentation didactique soit d'une logique et d'une progressivité impeccables" (JP Astolfi 1988). . L'élève apprend par adaptation, c'est-à-dire en se confrontant au milieu (J.M. Dolle 1987) agencé

véritables cristallisations du savoir (cf. nos réflexions précédentes). En faisant prévaloir le contact sur l’analyse, l’impression d’avoir compris sur la construction des connaissances, elles peuvent constituer ce Bachelard appelait des « obstacles épistémologiques ». Nous devons donc aider les élèves à s’en méfier. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’elles sont parties constituantes de la culture moderne et qu’elles transforment la langue d’aujourd’hui, pour le meilleur et pour le pire, en projetant

rôles interaction, attribution, prophétie auto-réalisatrice... Le subjectif se construit dans et par le social. En étiquetant un individu on lui crée le problème. b. des « logiques » de pensée et d'actions différentes une (r)évolution épistémologique ? -paradigme cartésien (structure/fonction) -paradigme évolutionniste (évolution/structure) -paradigme structuraliste (évolution/structure/fonction) -paradigme systémique (évolution/structure/fonction → environnement/fialités) Ce sont des

humain des organisations à partir de stratégies d’intervention en management. Mais qu’est-ce qu’une intervention en management ? Dans quelle mesure peut-elle se transformer en recherche en ma- nagement ? Quelles sont les conditions éthiques, épistémologiques et méthodo- logiques à prendre afin de distinguer « le bon grain de l’ivraie » ? Peut-on objec- tiver des données subjectives ? À quelles conditions méthodologiques ? Quelles sont les précautions éthiques à prendre ? Au fond, l’intervention

car il semble que, quelle que soit, la réponse proposée, on se heurte à des difficultés, des obstacles. C’est pourquoi on peut poser le problème sous forme de dilemme : on pose une alternative, càd deux thèses possibles (soit…soit ; ou bien… ou bien ; d’un côté il peut sembler que… mais d’un autre côté…), et on montre que quelle que soit la voie sur laquelle on s’engage, on va rencontrer des obstacles, des difficultés (aucune des deux thèses n’est pleinement satisfaisante, ou au contraire les deux

spéciales que sont les automates qui, au moyen de dispositifs mécaniques, sont capables d’imiter les actes des êtres animés, c’est-à-dire des êtres vivants. Cette priorité chronologique du vivant sur la machine ne change cependant rien au problème épistémologique. En effet, si un mécanisme peut imiter le fonctionnement d’un d’explication. C’est ainsi que le chirurgien François Quesnay encouragea Vaucanson (1709-1782) à créer des automates afin de mettre en évidence la plupart des fonctions biologiques

alors le lieu d’expérience optimal de l’existence d’un espace extra-sémiotique. Lotman retourne en somme entièrement le thème cratylien : la pluralité des langues et des cultures, et leur intraductibilité réciproque et partielle, ne sont pas des obstacles à la référence et à la saisie du monde extra-sémiotique, mais leurs conditions mêmes : Cette incapacité même n’est pas un défaut mais une condition d’existence car c’est justement elle qui dicte la nécessité de l’autre (autre personnalité, autre

sociologie relève-t-elle de principes explicatifs spécifiques qui lui sont propres et qui ne sont pas uniquement un décalque des principes explicatifs des sciences humaines ? S’il existe des principes explicatifs quels sont-ils et quels sont les obstacles particuliers auxquels les sociologues sont confrontés. Donc la sociologie est-elle un discours sur la réalité ? Il y a trois figures dominantes de la sociologie : AUGUSTE COMTE qui est le père du mot sociologie, EMILE DURKHEIM qui est le