Arendt Il Semble

__________________________________26 2. L’art au service de la v ie (Nietzsche) _________________________________________________27 3. L’art au service du bien (Tolstoï) ____________________________________________________27 4. Le goût comme faculté éthique et polit ique (Kant, Arendt) _________________________________28 5. L’art au service du politique (Platon, totalitaris me, art engagé) ______________________________28 6. Art et d istinction sociale (Bourdieu) __________________________________________________31 Annexe _

l’individualisme : Egalité ; Liberté "Aujourd’hui", les personnes souhaitent être reconnues comme des individus à part entière, dans leur dignité, dans leur singularité et exigent, à ce titre, qu’on les traite et respecte en tant que tels. Aujourd’hui, il semble en effet aller de soi que nous soyons tous égaux face à la loi, que nous soyons tous considérés de façon égale en cas de problème de santé (au moins en droit). Mais cette vision de nous-mêmes et de l’organisation de la société, qui semblent naturelles

pas manqué, que ce soit dans les sciences politiques et sociales avec Friedrich Nietzsche, Max Weber, Carl Friedrich, Zbiniew Brezenski, Carl Schmitt, Hannah Arendt et Sigmund Freud, ou dans les arts avec les pièces de Bertold Brecht, les livres de Franz Kafka et les films de Costa Gavras. En science politique, c’est la théorie d’Hannah Arendt, qu'elle exprime dans son livre Les origines du totalitarisme, qui demeure la plus connue de toutes, et, à mon sens, la plus réaliste dans sa description des

Bret, son conseiller juridique qui théorise pour lui les principes de l'action de l'État7 et notamment celui de la souveraineté. Il écrit à ce propos8 : « M’étant proposé de représenter en cet ouvrage en quoi consiste la souveraineté du Roi : il me semble que je ne puis commencer plus à propos que par la description de la Royauté. Il serait mal aisé d’en rapporter une plus accomplie que celle que donne Philon d'Alexandrie quand il dit qu’elle est une suprême et perpétuelle puissance déférée à un

loi). La liberté, d’une manière générale, est donc propre à chacun. Nous pouvons ainsi imaginer, concevoir, une liberté sans loi ; mais quant à l’appliquer, la réponse aurait tendance à se nuancer En effet même si, paradoxalement, la loi semble limiter notre liberté, elle en est pourtant la condition. Il est vrai l’Homme se détermine lui-même en fonction d’une volonté intégré par la morale ou le pouvoir législatif et non selon ses propres penchants ou passions (qu’il ne ferait alors que

militaire. Les défilés sont quasi quotidiens et l'Armée Populaire semble être véritablement la base du régime. Elle est pensée comme la base de l'économie nationale, sans grand succès. Le culte de la personnalité est par ailleurs exacerbé par rapport à l'URSS puisque la constitution fait référence à plusieurs reprises dans le préambule à Kim Il-Sung dont le statut est proche de celui d'un Dieu en Corée du Nord. Par ailleurs, il semble qu'on ne puisse pas comparer l'idéologie nord-coréenne au stalinisme

Hannah Arendt La Vie de l’esprit, trad., Paris, PUF, 1981. Vol. I, La Pensée, Vol. II, La Volonté, Vol. III, Le Jugement. Nature phénoménale du monde (La vie de l’esprit, 1981, Vol. I, La Pensée, PUF, 37-42) Le monde où naissent les hommes renferme un grand nombre de choses, naturelles et artificielles, vivantes et mortes, provisoires et éternelles qui ont toutes en commun de paraître et par là même d'être faites pour se voir

fascisme. Cette démarche comparatiste était mal perçue par les communistes qui voyaient dans cette comparaison une banalisation du nazisme. Aujourd’hui le débat semble clos. Comparer les trois totalitarismes ne veut pas dire qu’ils sont identiques mais qu’ils possèdent des ressemblances mais aussi des divergences. En 1951, Hannah Arendt propose une définition du totalitarisme, c’est la «domination totale de l’homme par l’homme». Les régimes totalitaires dans l’entre-deux guerres A / La montée

présence ou coïncidence avec soi. Ne sommes-nous pas toujours inachevés, en projet ? Plan : I « Je suis moi-même » Dans cette partie je partirais sens commun, pour lequel la question est question est absurde comme je l'ai noté dans l'analyse. Il lui semble évident que du seul fait qu'il « ne – se pose pas de questions », qu'« il est comme il est », il est pleinement lui-même. Je développerais d'abord cette opinion pour elle-même, pour l'expliciter. – Dans un deuxième temps évidemment, je l'interrogerais

Chatterley par D.Lawrence en effet la révolution démocratique abolit donc cette stratification aristocratique. Ainsi dans une société démocratique les pauvres peuvent s’enrichir et les riches peuvent s’appauvrir. nous pouvons donc supposer que la politique semble se fonder en fonction de l’expérience et du passé de la société en question pourtant Tocqueville croit a un destin similaire malgré la divergence des individus. Dans quelle mesure les penseurs du politique ont-ils représenté une rupture ou une continuité