Arendt Il Semble

prétendant à la domination complète de la société. Pensé comme l’impuissance historique de la raison individuelle entraînant la soumission de la majorité à une élite (Karl Popper, La Société ouverte et ses ennemis, 1962), il est considéré par Hannah Arendt dans Les Origines du totalitarisme (1951) comme destructeur des traditions sociales, juridiques et politiques, reposant sur la transformation des classes en masses et constituant la manifestation extrême de la nature de l’Etat moderne. Voir Raison

caractères raciaux, homophobes ou antisémites, pour protéger les citoyens et empêcher la naissance de groupuscules. Pour exemple, la peine encourue pour discrimination raciale peut aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement. C’est une sanction qui me semble normale. Ces opinions ne sont donc pas acceptables car elles nuisent à la cohésion sociale et peuvent créer un sentiment d’insécurité permanent. De plus, outre le fait que ces opinions puissent nuire à la cohésion de la société, il se peut malheureusement

Est ce donc en désobéissant qu'un être peut prouver et admettre qu'il est libre ? Le problème est de savoir si la désobéissance n'est pas une liberté qui met en puéril la liberté. Si l'on réfléchis bien, nous pouvons désobéir quand bon nous semble. Mais il arrive que notre désobéissance face à quelque chose qui ne nous convenait pas auparavant, engendre un changement pire que ce qui ne nous plaisait pas précédemment. Par exemple, imaginons un pays mécontent de son chef d'état, qui va manifester

expression des idées et de l’esprit 1 C. Le bien 1 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas

d’étudier successivement les 3 totalitarismes (ancien programme) mais de mettre en évidence les points communs et les spécificités, même dans la genèse. Cette question réécrite dans les nouveaux programmes est donc le fruit du débat historiographique qui semble apaisé (voir 3ème partie). - Remarque: Le comparatif Nazisme/ Stalinisme prime, le Fascisme italien peut-être plus évoqué dans la genèse moins dans les points communs et les spécificités, certaines caractéristiques totalitaires étant atténuées

Thomas Mann qui pensent cet notion comme un terme désignant 2 systèmes qui se veulent des antithèses de la démocratie libérale. Puis: première utilisation du terme de totalitarisme pour désigner dans le même temps les États fasciste et communiste semble avoir été faite en Grande-Bretagne (1929).  Années 30: vision englobante de cette notion va se développer. Le terme désigne généralement les 2 dictatures du fait de leurs points communs: répression, discours révolutionnaire anti-bourgeois, en marge

expliquer qu’il puisse y avoir une valorisation de l’apparaitre sur l’Etre ? La morale peut être immanente à l’apparaitre puisque dans l’espace politique, Etre ne serait qu’Apparaitre. Ce problème de l’éthique de l’apparence est soulevé par Hannah Arendt. Selon elle en politique Etre et apparaitre ne se différencie pas ; apparaitre dans l’espace public implique une nouvelle naissance non biologique, celle du « qui », importante puisque s’exposant nécessairement au jugement d’autrui. Dans la mesure

« la banalité » du mal de Hannah Arendt, développée dans le contexte du procès du nazi Adolf Eichmann. La philosophe explique la monstruosité de certains actes par l’absence de pensée. H. Arendt décrivait A. Eichmann comme un fonctionnaire de la solution finale(extermination des Juifs), incapable de distinguer le bien du mal. Joseph Conrad nous décrit la situation au Congo comme le déni de la civilisation de l’Occident. Pour Conrad, la civilisation semble se conçoit essentiellement en la fidélité

présence ou coïncidence avec soi. Ne sommes-nous pas toujours inachevés, en projet ? Plan : I « Je suis moi-même » Dans cette partie je partirais sens commun, pour lequel la question est question est absurde comme je l'ai noté dans l'analyse. Il lui semble évident que du seul fait qu'il « ne – se pose pas de questions », qu'« il est comme il est », il est pleinement lui-même. Je développerais d'abord cette opinion pour elle-même, pour l'expliciter. – Dans un deuxième temps évidemment, je l'interrogerais

· Le Fascisme en action édité en 2007 parle du fascisme à travers l’histoire d’une manière différente d’une idéologie avancée par certains grands auteurs comme Hannah Arendt, puisqu’il en parle comme d’une pratique contre la démocratie qui semble être répétitive dans l’Histoire du XXème siècle. Il tente d’expliquer ce mouvement à partir des faits observés plutôt que de théories sur ce qu’est le « fascisme ». III. La France