Zep

« zones franches urbaines » (ZFU) et les 416 « zones de redynamisation urbaine » (ZRU) établies en France par une loi de 1996 relative à la mise en œuvre du pacte de relance pour la ville.      Le dispositif des « zones d’éducation prioritaires » (ZEP) est lui aussi significatif de cette politique : il s’agit d’une répartition géographique volontairement inégalitaire des moyens (cf. l’article consacrée à ce problème). Ce système a l’avantage d’éviter la désignation d’une « population-cible » (il

(campagne, ville).En effet, elle reste très concentrée sur certains établissements, 10% des établissements regroupent près de la moitié des violences recensées. Les lycées professionnels et les établissements situés en zones d'éducation prioritaire (ZEP) sont plus marqués. Les medias (internet, télévision, journaux…) ont vite compris que les tragédies (comme la violence meurtrière, catastrophe naturelle…) intéressent les citoyens que nous sommes. Le poids des médias de ces événements est considérable

analyse Marxiste de l’école : sélection des meilleurs= divisons S,L,ES,… Théorie de l’expérience scolaire : critique de la critique ne nient pas les théories précédentes. 3. PEDAGOGIES DE LA REUSSITE a) Dispositifs nationaux Création, en 1980 de ZEP : zones sensibles, cartiers b) Dispositif propre aux établissements scolaires. c) Dispositif propre aux enseignements 4. PEDAGOGIE DIFFERENCIEE Mise en place pour répondre aux différentes attentes et niveaux des élèves a) Les différences individuelles

est en réseau d'éducation prioritaire (REP). Cela veut dire qu’il y a des dispositifs permettant d'améliorer le travail des élèves, comme par exemple la maitresse PARE, l’accompagnement éducatif, le PPRE, (tandis qu'une zone d'éducation prioritaire (ZEP), permet aux instituteurs d'obtenir un supplément à leurs rémunérations). On compte 144 élèves dans l'école, les classes sont aux nombres de sept, dont une classe spécialisée la CLIS qui comporte des élèves porteurs de troubles pris en charge par

du sport, sociologie urbaine et spé cialement des quartiers défavorisés, ethnologie de la violence, etc.). Cette solidité, l'auteur la doit d'abord à sa méthode : celle de l'observation participante. Non seulement il enseignait dans le collège de la zep où il étudiait les jeunes adolescents, mais il a même déménagé pour habiter le même ensemb le HLM. Il a disposé alors de cinq an nées pour pénétrer l'univers de ces jeunes, surmontant progressivement le rejet ou la crainte suscités par l'i ncongruité

insertion sociale. Suite à ce rapport, les premières missions locales vont être créées en septembre 1982. Elles vont être animées par des contractuels (à Grenoble). Par la suite, plus d’une cinquantaine vont être créées. 2ème dispositif : les ZEP. Elles sont liées au Ministre de l’éducation A. Savary, qui annonce en Juillet 1981 la création de ces zones d’éducation prioritaires calquées sur les anglaises, et qui rompent avec la tradition républicaine en adoptant des mesures inégalitaires pour

de l’Éducation nationale, sans que les nouveaux programmes ne remplacent toujours les précédents. Dès lors, ces dispositifs apparaissent très diversifiés selon le public (élèves en grande ou moins grande difficulté), la localisation de l’école (en ZEP ou non), le moment du soutien (pendant la classe, après la classe, pendant les vacances), sa durée et les modalités d’accompagnement (par le personnel enseignant ou non). Les plus récents, présentés en détail en annexe, sont les suivants : b assimiler

et le DEPS (diplôme d'État de psychologue scolaire). Salaires 1 700 € net par mois après 2 ans de carrière, 3 100 € environ en fin de carrière. Un régime indemnitaire complète la rémunération dans un certain nombre de cas : enseignement en Zep (zone d’éducation prioritaire), surveillance de l’étude, heures supplémentaires… Un professeur des écoles qui assume en plus la fonction de directeur touche également des indemnités complémentaires.

sont différentes. Cette démocratisation avait des objectifs tels que celui lancé en 1985 par J.P. CHEVÈNEMENT d'amener 80% des élèves au baccalauréat ou celui d'Alain Savary ministre de l'Education Nationale de Mitterrand de 81 à 84 lorsqu'il créa les ZEP. Cependant il existe aussi une démocratisation ségrégative de l’enseignement : On observe des inégalités de recrutement social propres à des niveaux d’études donnés, par exemple au niveau des différentes séries des classes terminales (séries générales

arrêté : la mairie n'en n'est pas propriétaire, viabilité?, accessibilité? ect.. La scolarisation des moins de 3 ans est abordée : Monique Barranco informe que les enfants de -3ans ne sont pas comptabilisés par l'IEN sauf dans certaines zones (ZUS, ZEP...). Dans le cas où la fermeture d'une école est décidée, il faut tenir compte de diverses points pour l'autre école qui accueillerait plus d'enfants : pbs de stationnement, augmentation de la fréquentation de la cantine, de la navette scolaire,