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l’accès à l’éducation, les crédits d’aide aux familles et aux élèves regroupent les différentes bourses, les fonds sociaux des collèges et lycées, l’exonération des droits d’inscription, la gratuité des manuels, les internats et le financement des ZEP. L’Education nationale est organisée selon une structure hiérarchique qui comprend quatre niveaux. Au niveau central, le ministère assume deux types de responsabilités : des responsabilités gouvernementales par la mise en

pourquoi échouent-elles? La loi sur la solidarité et la rénovation de 2000 a instauré des pénalités financières pour les communes ne respectant pas le seuil de 20% de logements sociaux. Des politiques ciblées ont été mises en place comme celle des ZEP (zone d’éducation prioritaire). Il s’agit d’augmenter l’effort de la collectivité envers les écoles et les collèges de quartiers défavorisés (postes supplémentaires). Cependant, cette politique est très décevante au regard de son coût et ne prend pas

grandes écoles comme science po ont trouvé deux solutions : La première est d’organiser un seconde concours pour les élèves de milieu modeste, c’est l’option choisi par science po paris depuis 2001. Science Po Paris a conclu avec 65 lycées de ZEP des conventions pour "pré-recruter" les meilleurs élèves qui pourraient rentrer à Science Po et les aider à intégrer l'établissement. Le résultat: Il y a en 2008 à Sciences Po 1167 élèves boursiers. Ils étaient 380 en 2004. Ils représentent 20% des

Mais, ce phénomène a eu du mal à être accepté, car, avant, les gens pensaient que toutes les écoles devaient avoir les mêmes moyens, selon le principe d'égalité. Aujourd'hui, les mentalités évoluent et ce phénomène des ZEP (zone d'éducation prioritaire) est plus accepté (ex : ZEP) Autre façon de voir également les évolutions qui vont dans le même sens (celui d'une mise en cause de l'école Républicaine, des principes d'égalité et de liberté ; dans le Monde du 30 Avril 1999, p. 14, un article fait

le ministre du Logement. Commission interministérielles habitat et vie sociale = 1ère contractualisation entre l’Etat et les collectivités. 4 rapports importants naissent : 1. 1981 : Rapport Savary : création des Zone d’Education Prioritaires (ZEP) 2. 1982 : Rapport Schwartz = création de Mission Locale 3. 1982 : Rapport Bonnemaison : création des Conseils Communaux de Prévention de la Délinquance (CCPD) 4. 1983 : Rapport Dudebout « ensemble refaire la Ville » : apparition de la notion

exclusion A Une action difficiles aux effets pervers (Retour à ‘emploi des Rmistes difficile, pauvreté héréditaire, étiquetage négatif de l’a assisté) B Les moyens employés (politique de l’emploi, RMI, CMU, lutte contre l’échec scolaire (bourses, ZEP) . B La lutte passe par d’autres organisations (Etat bureaucratique, bénévoles plus efficace, quelques associations caritatives qui ont fait leurs preuves (restos du Coeur, Emmaüs)) 3. Le travail est-il encore un facteur d’insertion sociale aujourd’hui

dans le contexte francais car contrairre au principe d’egalité republicain) : Enseignement sup : Des resultats limités : po critiqué caaar elle nagissent pas sur les causes mais elle sapplique pour un certains cgroupe d’ind ( science po et lycée ZEP ) EN 2010 et 2001 ,enfant de cadre sup 63,3 % alors que 57,4% env 4 ans avant. Environ 1/12 étudiant contre 1/5 a la fac II) A quoi sert la sociologie ? ( ecole, L etc ) a) Les fais sociaux au dela des préjugé Decryoter les faits Sociaux :

adolescents et jeunes adultes. J'ai été animatrice en centre de loisir avec ou sans hébergement, en jardin d'enfant...J'ai également travaillé plus de 6 ans dans des établissements scolaires divers : école, collège, lycée général ou professionnel en ZEP, en internat et externat avec des classes technologiques, des primo- arrivants, des ULIS (sourd et malentendant)...comme assistante d'éducation, assistante pédagogique et stagiaire de l'IUFM. J'ai pu constater les lacunes de l'éducation nationale qui

citoyens libres et égaux en droits et nient la dimension ethnique de l'individu. Ainsi, en France, les critères retenus sont souvent d'ordre socio-économique (revenus, ...) ou renvoient également à la dimension géographique (par exemple, un lycée situé en ZEP aura plus de moyens qu'un lycée de centre-ville au public scolaire favorisé). Par contre, l'effet pervers de ce type de politique est qu'elle risque de déboucher sur la stigmatisation d'une zone géographique et de ses habitants.         Conclusion

plus à certains individus qu'à d'autres, du fait de leur inégalité de situation initiale. L'exemple le plus fréquemment cité en France est celui des ZEP (zones d'éducation prioritaire), dans lesquelles les établissements scolaires bénéficient de moyens particuliers parce qu'ils scolarisent des élèves" en difficulté ". Ainsi une école primaire en ZEP peut-elle disposer de 6 instituteurs alors qu'il n'y a que 5 classes, ce qui permet d'assurer des activités individualisées en fonction des difficultés