Sublimer La Souffrance

virtuosité n’est pas toujours occulté : il peut parfois, au contraire, faire partie du spectacle, comme en témoigne Liszt à propos de Paganini : […] quel homme, quel violon, quel artiste ! Dieu ! que de souffrances, de misères, de tortures dans ces quatre cordes !7 L’affichage de la souffrance n’est probablement pas pour contrarier la part

seulement une possibilité : ce but doit être accompli (« devoir » ; [7]). Dans ces paragraphes on peut en outre observer deux gradations : 1. « Force »  « sollicitude »  « intelligence »  « volonté « (23) 2. « Grand but »  « but magnifique »  « but sublime »  « abolition de la misère » (28) Ces gradations ascendantes, soulignent la volonté de l’auteur de rendre l’éradication de la misère un but collectif. Il ne s’adresse en fait pas seulement aux députés mais à la société entière (24). De plus, la

théâtrales et les conventions que le théâtre se doit de respecter. Il se sépare en deux genres, la comédie, genre «bas», populaire qui est destiné à faire rire, et la tragédie, «genre noble» destiné à provoquer la catharsis, marquée par la mort et la souffrance des protagonistes. Au cours de son évolution, le théâtre a traversé de nombreux genres, des tragédies antiques représentant des mythes célèbres, il a évolué vers la farce au Moyen-Âge, puis la représentation de textes religieux, le 17ème siècle

au moment present en oubliant le moment passé ainsi que le moment future. Siddhartha obéis à lui-même en devenant son propre chef. Celui-ci laissants ses regrets derière lui et ses peurs à l’assot. Suite à la direction de ses plaisirs ou de ses souffrances, toute personnes humaines se questionne à trouver le bonheur, de facon materiel tout comme l’être lui même. Toutefois, pour respecter la manière de l’ataraxie, Siddhartha* s’abtiendra d’absence de trouble pour l’âme et le corps. Contrairement à

avec les modèles que d’une opposition frontale avec le Sublime. De plus, le grotesque inclut plus fortement l’ambivalence : coprésence du rire et d’un sentiment incompatible avec le rire (cf Quasimodo). -    La parodie du Pyrame et Thisbée : le rire se retourne en émotion « sanglot », c)    Mais également pathétique, - dimension souvent occultée par le metteur en scène, cf définition freudienne de l’humour (on se refuse à la souffrance, on souligne l’invincibilité du moi face au monde réel

artificiels« La révolte » : évocation à Satan d'une révolte de l'humanité toute entière mais sans issue=>idée mort =seul solution« La mort »:dernier remède aux souffrances humaines et saluée ft certaine douceurCe recueil évoque les thèmes :-Du Spleen: état de mélancolie profonde, proche de la dépression. Mot anglais traduisant la pluralité des souffrances physiques et morales selon C Baudelaire-De l'Idéal : Lié à la beauté, Il y a liens entre beauté et poésie selon C Baudelaire, Conquête idéal = expérience

Contemplations de Victor Hugo, il se confie au lecteur et évoque ses souvenirs de jeunesse, ses combats sociaux ainsi que sa souffrance. Les émotions  : pour retrouver ces souvenirs, le narrateur relie à une émotion un souvenir, et c’est à travers cela qu’il exprime sa sensibilité. Comment l’art sublime-t-il la sensibilité ?Pablo Picasso  : autoportrait de 1806 -> garçon rebelle avec un regard intense. Puis l’autoportrait

que nous la connaissons est la conséquence du péché qui règne dans le monde; c'est difficile à comprendre car ce n'est pas tel ou tel péché d'une personne qui engendrera la souffrance mais c'est parce qu'il y a péché dans ce monde qu'il y a souffrance. C'est l'emprise du péché dans l'univers qui fait qu'il y a maladie, souffrance et mort. Jésus, pourtant sans péché, est mort mais pour nous libérer. Dieu a vaincu définitivement la mort avec la résurrection de Jésus. La perle est le produit direct d'un

Il fait un oxymore des le titre de son recueil. Car il met dans une même phrase les mots « fleurs » et « mal ». Car les fleurs sont belles, délicates, fraiches elles expriment la pureté… alors que le mot mal est tout le contraire la laideur, la souffrance, la méchanceté. Donc dans ce titre ressort une certaine beauté le mot « mal » est atténué par « beauté ». De plus il s’agit de poèmes, ces poèmes traites de sujet assez médiocres mais le fait d’en parler sous forme de poème qui est un art et donc

aujourd’hui. Les fossoyeurs qui oeuvrent à la tête de l’Etat actuels nous ont ramenés à ce niveau. Lisez et méditez ce texte, il dit tant de choses... Jean Dornac « Je ne suis pas, Messieurs, de ceux qui croient qu’on peut supprimer la souffrance en ce monde, la souffrance est une loi divine, mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu’on peut détruire la misère. Remarquez-le bien, Messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie