Sublimer La Souffrance

tremblante », « voix faible », « soupirs fréquents », « le serrement de ses mains » -->Signes énonciateurs : Manon très affaiblie, mourante, en paix, digne, elle accepte la mort Récit chronologique b.Les émotions de Des Grieux Grande souffrance Champs lexical de la douleur / tristesse --> « qui me tue », « à la pleurer » --> hyperboles « malheur », « mon âùe semble reculer d’horreur », « renonce volontairement à la mener jamais plus heureuse » Récit de la mort -->entreprise difficile

l’animal. « Cri sinistre » : évoque l’approche de la mort ou un cri de souffrance ou un cri de déception devant l’échec ». « Emporté » et « crispé » : participes passé qui accompagnent le second verbe et lui donnent une forte coloration passive. « Sublime » : adjectif à valeur hyperbolique qui caractérise par sa valeur subjective l’admiration qu’il éprouve pour l’entêtement de l’oiseau vainqueur. « Buvant d’un trait sublime La flamme éparse, … » : expression imagées qui concerne la chute, après

de série fait pour satisfaire une demande utilitaire, pratique, l’art au contraire ne sert a rien. C’est toujours de l’art pour l’art. De plus, l’objet technique en tant que tel est parfaitement reproductible. L’artiste au moment ou il créer est sublimé par une force qui le transcende. Il créer alors une œuvre unique, original et inimitable. Il pourrait recréer sa propre œuvre mais elle n’aura alors aucune valeur artistique et à quoi bon refaire ce qui a était déjà fait. Il est bon de souligner

mot est doux ! », « un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ? », Ah ! Roxane ! ». II) L’association du pathétique et du comique. 1) Le registre pathétique. -champ lexical de la tristesse ; « épouvantement », « soupir », « larmes », « souffrances », « triste », « pincement », « ombre », « triste ». -didascalie ; « dégrisé ». -« c’est vrai, je suis beau, j’oubliais » : montre clairement que C. est désespéré par sa laideur. « Aie ! au cœur, quel pincement bizarre ! Baiser, festin d’amour

et si affreux ». L'amour est donc présenté comme ce qui peut sublimer l'homme, le faire accéder à son humanité entière (« c'est moi qui ai vécu »), voire même à une certaine divinité, car cette union est « sainte et sublime ». Musset, dans les propos de Perdican, définit l'amour comme le moyen, pour l'homme, de se réaliser. Cette vision de l'amour, exaltant le sentiment, s'inscrit dans la sensibilité romantique. 3/ La souffrance L'amour n'est cependant pas présenté comme une chose facile

· « tout pour moi devient allégorie » -> explique sa manière de faire de la poésie · « Et mes chers souvenirs sont plus lourds que des rocs » -> analogie, sa souffrance et l’éternité sont représentés par des rocs. Baudelaire est écrasé par la lourdeur des rocs comme le montre le verbe « m’opprime » dans le vers en dessous · « Aussi devant ce Louvre une image m'opprime : »

(philosophe du XVIIIème siècle). Elle porte un nom ridicule. Chacun de ces personnages représente un aspect de la société : Bridaine représente l’Eglise, Blazius le Savoir, le baron l’autorité paternelle et sociale, Pluche la femme vertueuse. III. Les sublimes : Camille et Perdican Camille, Perdican et Rosette sont les seuls personnages à être identifiés par un prénom. Tous les autres ont un nom et/ou un titre. Tous deux sont d’abord caractérisés par le désir d’un idéal : Camille recherche un idéal religieux

trésor Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde Pour épancher ses vers, divines larmes d’or Jésus-Christ : « mon Dieu, mon Dieu, Pourquoi m’as-tu abandonné ? » au moment de sa mort. Les deux premiers vers énoncent la thèse romantique de la souffrance comme moteur de la création : "Les chants désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots." Cela rappelle au passage que Chant = poésie lyrique, celle qui est destinée à exprimer les sentiments intimes

est en harmonie avec quelque chose d'universel, le cosmos. Cela donne à sa mort une certaine grandeur et un aspect plus digne. La sérénité de cette mort l20 "paix" nous la fait respecter. Enfin, l32 la récurrence de "légende" concourt à l'effet de sublime. Une légende est un model ou du moins une morale; la mort de Kyo serait-elle, un model? Si oui, alors sa fin serait grandiose. Effectivement, pour Kyo, une vie où l'on accepte pas de mourir pour des idéaux ne vaut rien. Son suicide montre qu'il va

discours une tonalité bienveillante et maternelle qui favorise la confiance. Le vocabulaire employé concernant le poète est élogieux. Qualifié à deux reprises de "grands" il se définit comme un être d'exception. C'est un élu de Dieu, puisque sa souffrance est le fait des anges et qu'elle est sacrée "cette sainte blessure que les séraphins noirs m'ont faite". De ce fait, son oeuvre est promise à l'immortalité car le poète s'oppose au commun des mortels qui ne vivent qu'un temps. Grâce à son oeuvre