Sublimer La Souffrance

mouvement littéraire qui préconise de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny

DE L’OEUVRE II. PRESENTATION DES PERSONNAGES – Victor Frankenstein – Le Monstre – Robert Walton – Henry Clerval III. AXES DE LECTURE DE FRANKENSTEIN – Le danger de certaines connaissances – Une nature sublime – La monstruosité – Le secret – La diversité des textes présentés dans l’œuvre de Mary Shelley   1) RESUME DE L’OEUVRE Robert Walton, le capitaine d’un navire à destination du Pôle Nord, écrit une lettre à sa sœur, Margaret

Rodrigue. Ce conflit peut être conscient ou inconscient. Lorsqu’il est inconscient il prend le nom de complexe, d’où le célèbre complexe d’Œdipe. Le processus psychologique qui nous conduit et toujours basé sur cette idée de refoulement qui peut être sublimé dans l’art ou dans la religion. III) La psychanalyse comme grille de lecture de la culture. A) L’art comme sublimation de névrose. La psychanalyse freudienne est non seulement une thé rapeutique mais également une herméneutique de l’interprétation

penser aux ailes d’un ange. Les oppositions sont soulignées par des antithèses «roi » et « maladroit » et « honteux ». Pour Victor Hugo, le poète est un élu. Il s’agit d’un être totalement différent des autres, à l’image du Christ qui a enduré la souffrance et le martyr. Il est bienveillance et souffre pour le peuple. Sa mission est d’éclairer la foule. Le poète est un être entre deux mondes : Dieu et les hommes. De nombreuses hyperboles, accumulation traduisent la réussite de la mission sacrée : « il

toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit :

envisageable même, que la poésie se prive du secours du lyrisme ? Certes, elle a pu être épique, comique, objectiviste, donc rarement sans ce je ne sais quoi d’enthousiasme qui fait chanter l’objet du discours… Mais à se priver de ce doigté de chant sublime, de sentiment personnels soufflés sur le monde, les choses ou l’aimé(e), ne risque-t-elle pas de perdre l’essentiel de ce qui lui est consubstantiel, d’être enfin veuve d’elle-même ? Seul Antoine Emaz parait approcher cette frange du désaveu du lyrisme

mal. Pour vous aider à mieux comprendre ce recueil chers lecteurs, nous avons choisi de vous présenter cinq pièces illustrant le thème de la boue et de l’or. Notre anthologie vous fera découvrir que la boue représentante du mal et de la souffrance peut être transformer par alchimie poétique et que cela est le rôle du poète de transformer le réel en en offrant une nouvelle perception. La boue et l’or est une thématique présente dans les poèmes : « Le crépuscule du soir », « A

lyrique. Le lyrisme est un registre littéraire caractérisé par l'expression exaltée des sentiments personnelsCitation : Livre IV, poème IV « Oh ! Je fus comme fou dans le premier moment »pronom « je » interjection lyrique « oh », expression d’une souffrance intense par les images « comme un fou »Livre IV, poème 13 : “O ma fille ! j’aspire à l’ombre où tu reposes” : Apostrophe“O ma fille” avec l’interjection “O” contribue à la tonalité lyriquemétaphore de l’ombre et du sommeil pour évoquer la mort et

discours une tonalité bienveillante et maternelle qui favorise la confiance. Le vocabulaire employé concernant le poète est élogieux. Qualifié à deux reprises de "grands" il se définit comme un être d'exception. C'est un élu de Dieu, puisque sa souffrance est le fait des anges et qu'elle est sacrée "cette sainte blessure que les séraphins noirs m'ont faite". De ce fait, son oeuvre est promise à l'immortalité car le poète s'oppose au commun des mortels qui ne vivent qu'un temps. Grâce à son oeuvre

censés être opposés, antithétiques : le « palais » et l’ « hôpital ». (antithèse) Cette opposition entre un lieu qui suggère la puissance, la richesse, la stabilité et le bonheur et un autre lié à la maladie, à la misère, à la solitude et à la souffrance est exprimée par cette forme particulière et imparfaite de chiasme dans la première phrase : les deux mots comme se fuyant, occupent les deux extrémités de la phrase pour mieux exprimer la distance sémantique qui les sépare. Mais Hugo introduit