Sublimer La Souffrance

union du type grotesque au type sublime que naît le génie moderne. ». Personnage grotesque selon V.Hugo dans l’Antiquité : Polyphème le cyclope car il incarne le grotesque terrible. Dans la pensée moderne, le grotesque a un rôle immense : il crée le difforme et l’horrible, le comique et le bouffon. Le sublime représente le beau et le drame met en scène des CONTRASTES, car c’est par le contraste qu’on arrive au beau. C’est au contact du laid que le beau apparaît. Le sublime représente l’âme telle qu’elle

sa retraite. Cet aveu est donc rendu nécessaire à défaut d’être vraisemblable. *Projet de lecture retenu : Une scène singulière, qui témoigne de la grandeur héroïque des personnages. En quoi peut-on parler, à propos de cet extrait, de scène sublime ? I.UN AVEU EXTRAORDINAIRE QUI TEMOIGNE DE LA GRANDEUR HEROIQUE DES PERSONNAGES  comment le caractère exceptionnel (càd inédit et audacieux) de l’aveu est-il souligné ? (Noter que cet aveu est inconcevable, invraisemblable à l’époque, ce

présent chez Lamartine le poussent à remèttrent en question les forces célestes et a écrire Le Désespoir ? Dans une première partie, nous étudierons les souffrances de Alphonse de Lamartine puis dans une seconde partie, nous constateront le doute qui habite le poète envers les divinités. Dans cette première partie, nous nous intéresseront aux souffrances de Lamartine. Tout d'abord, nous remarquons que le champs lexical de la douleur est présent tout au long du poème avec « long gémissement » (v.15) ;

comme si c’était un cadavre. Il fait penser à quelque chose d’inhumain, de non réel. Le vocabulaire le caractérisant n’a rien de naturel : « reflets-bleuâtres » (L. 14), « transparent » (L. 13). Les différents oxymores « clair-obscur » (L. 2), « sublime horreur » (L. 40) et antithèses « les reflets bleuâtres chatoyaient à la lueur des bougies » (L. 14), « bizarre, quoique naturel » (L. 24) renforcent le coté et surnaturel du portrait de Chabert. Touts les éléments évoqués ci-dessus montre bien que

: A une critique du couvent -blâme dela vie au couvent mis en place avec le champ lexical de la religion « nonnes » « divin » « ciel » et « couvent » qui vont etre associé à la vision d’une prison ou d’un refuge pour les femmes ayant subi une souffrance amoureuse. -l’éducation donnée au couvent est caractérise par le champ lexical de la manipulation avec « le mensonge de l’amour divin » , « fait la leçon », « réçits hideux » , camille a été manipulée mentalement et intellectuellement à tel point

représentations idéales de la femme; la femme à la beauté parfaite, la femme objet de nos envies, de nos rêves, de nos désirs inavoué ou avoué, la femme envoutante, la femme enivrante comme les effluves d'une boisson fortement alcoolisée, la femme sublime. C'est donc cette femme-là qu'essai de nous faire voir et comprendre Charles Baudelaire. D'abord son corps, si beau, si parfait, si fin, si bien qualifié avec une abondance d'adjectifs (musculeux, robuste et même divinement robuste, mince...) qui

connu. Le Romantisme a abouti à l’Amour, les poètes racontent leurs déboires sentimentaux, et la souffrance qu’ils endurent. « Le suicide, c'est la force de ceux qui n'en ont plus, c'est l'espoir de ceux qui ne croient plus, c'est le sublime courage des vaincus. » Maupassant. Quand je vous dis romantisme, vous pensez à la promenade nocturne, aux chants d’oiseaux printaniers. Moi, je pense à la souffrance et au désespoir. Pourquoi un tel engouement pour l’amour ? Parce qu’il est le sentiment le plus

lequel s’appuient le roman et le film pour démarrer et clore l’intrigue (phrase initiale du roman). L’incipit évoque à la fois la mort et la souffrance. Dans l’excipit, qui commence avec le suicide de Madeleine, nous avons la même chose. La fin du roman et du film annoncent le départ de Sainte Colombe, nous voyons une sorte de félicité dans la mort et la souffrance : pleurs et sourires. La transmission du maître à l’élève annonce la fin d’une vie, la fin d’une sensibilité (Sainte Colombe), mais également

romantique original ?  2) Comment le personnage atteint il le « sublime »dans ce texte ? 3) Dans quelles mesure ce dénouement est représentatif du drame romantique Principales idées du texte : I) Dénouement original en rupture avec les règles classiques 1) Refus de la règle de bienséance Ruy Blas mort sur scène Passion amoureuse très tactile 2) Mélange des registres Tragique dans la fatalité de la mort de Ruy Blas Pathétique de la souffrance de Ruy Blas Romantique dans l’intensité des sentiments ressentis

même de son énonciation. L’écriture de Colette ne serait donc pas tant là pour rendre compte d’une beauté préexistante du monde que pour, grâce à l’écriture, le rendre beau. • L’écriture, de manière magique, aurait ainsi ce pouvoir quasi divin de sublimer le monde.Quel monde à célébrer ? Reste sans doute aussi à définir ce qu’est « le monde » pour Colette. Il semble s'agir de la Nature perçue comme un ensemble, un tout.  « Mon imagination, mon orgueil enfantins situaient notre maison au centre d’une