Subjectivité Constituante

qu'il a tout crée ; aussi bien lui-même que les autres ? Quels sont les objectifs de ce texte ? Tout d'abord nous verrons que l'homme est pleinement responsable de ce qu'il est avec la subjectivité puis qu'il l'est aussi avec l'humanité ; ça serait donc lui qui aurait crée l'objectivité. Tout d'abord, la subjectivité touche tout ce qui se rapporte, ce qui est relatif au sujet pensant. Tout homme possède ce que l'on appelle une opinion subjective, l'homme fait ce qu'il veut, il est libre, maître

l’intelligence de la pratique du travail. Elle est mobilisée face à l’imprévu – Elle relève de la ruse – Elle est inventive et créatrice 1. Limite du concept : concept essentiellement descriptif rendant compte de ce que l’intelligence implique de subjectivité pour faire face à la situation d’imprévu 2. L’intelligence de la pratique « en quarantaine » : méfiance par rapport à la mètis La théorie de la mètis est et demeure le socle de toute analyse de l’ingéniosité. Chapitre III : La conception

la connaissance de soi en posant le problème de l'introspection, et si autrui n'est pas mieux placé que moi pour me connaître dans la mesure où ma subjectivité nuirait à l'objectivité de ma propre connaissance de moi-même. Inversement, autrui dans son objectivité peut-il réellement me connaître en tant que conscience, c'est-à-dire en tant que subjectivité ? Quant à nous, nous nous bornerons à traiter ici de la question du rapport entre la conscience de soi et la connaissance de soi (problème souvent

témoignages génants : si concordants = rejetés car intérêt commun/menaces ; si contradictoires alors jugés sans valeur Il ne suffit pas de douter ou d'être certain pour être dans le vrai = exemple de l'historien révisionniste Objectivité = bonne subjectivité : neutralité, honnêteté Vérité = qualité morale car « probité intellectuelle » = reconnaître l'absence de vérité éternelle Pour une déantologie du doute A) Faut-il chercher à tout démontrer? Deux types de vérité : - vérités du coeur

celle-ci, se connaître à cette époque c’était d’abord savoir de quoi on est capable, quelles sont les valeurs que l’on veut défendre. Le « je » subjectif n’était pas en cause car la conscience était avant tout morale. Pour Freud, la question de la subjectivité pose des problèmes avec notre inconscient comme il l’écrit dans son livre Les résistances à la psychanalyse. En effet il nous paraît évident de répondre « moi » à la question « qui suis-je », qui intègre alors toute la personne que « je » suis

d’eux-mêmes ici. Il est nécessaire de rechercher les cohérences avec ce qu’on admire chez l’homme, et avec ce qu’on lui reproche. Tout à un lien logique par rapport à ces suggestions écrites par Blaise Pascal, mais il est à mettre en relation avec la subjectivité du sujet de l’homme qui peux se confondre avec la bête. C/ Propos annexes Il est vrai d’avouer qu’aujourd’hui les hommes sont tous différents, et que parmi eux, il y en a qui sont intolérants, qui veulent refaire le monde à leur manière

correspond pas à une réalité. On peut donc définir l’objectivité comme ce qui renvoie à une réalité indépendante de toute connaissance, donc de tout sujet. La subjectivité désignera donc le contraire de l’objectivité, autrement dis tout ce qui n’est pas de l’ordre de la réalité, soit de l’imagination. Or la conscience de soi même est liée à la subjectivité, on peut donc dire que la vision que l’on a sur soi même est subjective. On a donc une vision de soi même qui ne repose aucunement sur une réalité, au

humain exister vraiment. • Le positivisme : expliquer les choses comme elles se produisent d’une façon objective. • HUSSERL pense que l’erreur du positivisme est d’être un « objectivisme » c’est-à-dire de ne pas prendre en compte la subjectivité qui existe dans la construction de nos représentations du monde, y compris nos représentations scientifiques. II) La conscience est-elle une chose ? 1- Conscience spontanée, conscience réfléchie • Il y a deux manières

s’amenuisent ? Mais la conscience de soi n’est pas unilatérale. Elle est un retour sur soi après son passage par le monde. Cette distance suffit-elle pour conclure que la conscience peut se prendre elle-même pour objet de connaissance ? La subjectivité a t’elle la capacité d’établir un savoir objectif sur elle-même ? Autres Problématiques possibles : -Le fait que nous puissions établir une réflexivité sur ce que nous sommes suppose t’il que nous ayons la capacité d’acquérir un savoir

II- Un chronique satirique et ironique 1- Un récit fictif et subjectif On ne saurait analyser la subjectivité du discours médiatique sans distinguer le discours du journaliste de celui des sources citées. Bien qu'il s'agisse d'une chronique de fiction, nous ne relevons aucune forme de parole rapportée. Il s'agit d'un article où seul le récit du journaliste est présent. Nous pouvons noter, en revanche, que le journaliste décrit et rapporte plusieurs réactions fictives des acteurs politiques. En effet