Subjectivité Constituante

de notre propre expression qui se passe dans nos têtes et corps par l’intériorisation de l’extériorité. C’est pourquoi l’homme n’obéit pas a des normes comme un robot mais son habitus lui fait bouger. Cependant, l’habitus présente a la fois la subjectivité de l’agent et d’autre part, une certaine objectivité du monde social. Sous le terme d’hexis, Bourdieu veut nous expliquer la réalisation de l’habitus. Cette notion signifie le comportement des agents sociaux, leurs styles et modes. Le hexis

chances et que le modèle social doit être « maximiné ». Malgré de bonnes intentions, le principe de différence de Rawls n’est cependant pas équitable. Tant dans sa tendance irrespectueuse envers les plus favorisés et leurs ambitions que dans la subjectivité des principes moraux la régissant, le principe de différence passe à côté de ses objectifs. Dans son argumentation, Rawls place les plus démunis sur un piédestal et leur accorde, à vrai dire, presque l’essentiel de son travail. Cette

à quoi l’on croit) puisse varier à l’infini selon les différents individus : issue de la subjectivité et n’exprimant que celle-ci, la croyance de l’un diffèrera de la croyance de l’autre, puisque tous deux n’ont pas la même subjectivité — c’est-à-dire : les mêmes goûts, les mêmes intérêts, les mêmes habitudes ... On comprend aussi que la croyance soit proche parente de la crédulité : puisqu’ici la subjectivité décide souverainement, il est logique qu’elle adhère à tout ce qui comble ses désirs (conscients

faire nommer Julien dans la garde d'honneur. Une cérémonie religieuse est alors donnée, Julien rencontre le jeune évêque. Cet extrait décrit cette rencontre. Nous allons voir comment s'effectue le portrait de ce jeune évêque en nous appuyant sur la subjectivité du point de vue et une description en mouvement ainsi que sur le regard naïf de Julien et le portrait satirique de l'évêque. Nous allons d'abord mettre en avant le point de vue subjectif et la description en mouvement de ce texte en commençant

l’occupant. La non-violence est une stratégie cohérente d’action. La condition élémentaire d’une action rationnelle est l'existence d'un lien entre la fin et moyens, quels qu'ils soient, pourvu que ce lien soit perçu comme tel par l'acteur (dans sa subjectivité) et par autrui (du point de vue de l’intersubjectivité).     On voit bien que nous ne pouvons pas en rester à ce type d’analyse de la rationalité de l’action. Le tort fondamental de cette représentation du processus de l’action, c’est de présenter

c'est-à-dire à un édifice doctrinal déduit d'axiomes fixés une fois pour toutes. La raison est qu’un philosophe et un historien ne doivent pas faire face à la même objectivité et donc par conséquent pas à la même subjectivité : nous attendons de l’historien une certaine qualité de subjectivité qui soit précisément appropriée à l’objectivité qui convient à l’Histoire. Tout historien qui écrit un livre d’histoire, l’écrit avec les préjugés de son époque, c’est pourquoi l’auteur peut être impartial mais

Paradigme psychodynamique (Freud) Ce paradigme (domaine d’études partagés par les chercheurs en psy du développement) est un des angles d’analyse de la psy du développement. Initié par Freud, il décrit le développement par stades psychosexuels successifs. A la naissance, le psychisme de l’enfant est dominé par le ça (principe de plaisir), puis vers deux ans, le moi (principe de réalité) se forme vers 2 ans, suivi par le surmoi (principe de morale) vers 4-6 ans. Nos comportements sont dirigés

comment il le constitue peut nous aider à faire différemment et peut-être mieux. A 2 niveaux : Les faits, partie objectif/ Donner du sens, partie subjectif. Subjectivité : expérience vécue, intelligence, connaissance et théorie apprise, intelligence émotionnelle, relationnelle. Résonance : Devient un outil du travail, partie de subjectivité en moi que l’autre réveil. Organisation d’un système : règle discutée=explicite. Règles assez souples pour évoluer. Le système existe, a un but commun. Hiérarchie :

qu’on contredit. La provenance de tout n’est pas de soi puisque rien n’est jamais nouveau en vérité: l’impression est d’avoir tout vu, tout entendu. Si il y a donc l’existence du nouveau, se confond-t-il avec le soi ? L’originalité est donc la subjectivité ? Mais peut-elle être constante et équilibrée ? Peut-elle exister? C’est principalement une question de savoir identifier quelle idée provient d’une expérience de soi. L’expérience de soi est quand l’on observe, on est neutre, on oublie les

procédé, il amène Héléne à se rendre compte de sa position de femme jeune et jolie. Ronsard lui permet ainsi d’entrevoir mieux la réalité. Il apparaît donc que la poésie, certes nous éloigne de la réalité, puisque son genre même est basé sur la subjectivité, toutefois, elle nous amène aussi à découvrir des réalités qu’on ne peut ou que l’auteur ne veut dévoiler explicitement. La poésie nous détourne du réel, afin d’ouvrir nos esprits  et de mieux nous accompagner vers la réalité : elle nous apprend