Subjectivité Constituante

Est-ce à dire que jugement de goût peut être objectif dans la mesure où cette présence s’imposerait à tous ? Des goûts et des couleurs on ne discute pas, dit-on. Chacun aurait sa propre idée du beau. Mais à ramener le jugement de goût vers la pure subjectivité ne dévalorise-t-on pas le Beau lui-même : si le beau varie suivant les personnes, au point même d’être confondu avec son antonyme, la laideur, a-t-il encore un sens ? S’il n’est pas absolu existe-t-il vraiment ? Kant, dans La faculté de juger,

premier paragraphe, nous pouvons voir que celui ci commence par « je vis » puis dans le second paragraphe par « pour ma part », et l'auteur répète souvent « je » et ajoute des déterminant possessifs tel que « nos guerres civiles », ce qui souligne la subjectivité des propos. L'auteur est très présent, et revendique sa présence. Il parle d'une expérience personnelle: «...nous faisons l'expérience chaque jours», «Mais cela ne m'y a nullement habitué». Il parle de prouver, il veut donner des exemples. Il veut

l'ame, il se trouve alors dans un etat d'ataraxie . En créant un monde de représentations, l’homme cherche a effacer les contraintes du réel, pour vivre dans sa représentation avec plénitude. l'homme cherche alors a atteindre le bonheur par la subjectivité a travers son art on peut alors a partir de cela voir que la vision du bonheur varie selon la personalité , les principes et les gouts de chacun ,en effet on peut prendre pour exemple un simple exercice : Si on dit a deux personnes de peindre

peut d’abord se demander si la subjectivité du goût doit automatiquement fermer le champ d’une discussion. Est-ce la nature, l’essence du goût qui ferme ce champ ? La rationalité remet certes en question la subjectivité, et donc de fait, le goût, mais cette subjectivité ne peut-elle pas s’interroger de part elle-même ? Quel regard peut-on porter sur cette subjectivité, si elle est irrationnelle pourquoi discutons-nous tous les jours de nos gouts. I- La subjectivité remise en question, l’absolutisme

péritexte (mise en page / mise en forme) - la structure du texte - les marques de la subjectivité - 1 thème / 1 sujet - prise de position - analyse de recul : posture de surplomb - vocabulaire imagé, ancret - à la fin, prescrit des solutions. Analyse, commente et donne sa solution à la fin. - prendre à parti le lecteur : Lecteur / Opinion public - jauger les stratégies : Les marques de la subjectivité / Les tactiques des acteurs Évolution compensatoire : Individualiser les éditoriaux

on adopte dans ce cas un registre lyrique, pathétique, satirique, polémique, etc. Cela rejoint la question de l’objectivité et de la subjectivité. Celui qui écrit peut choisir de s’impliquer personnellement dans ce qu’il affirme ; il peut inversement choisir de maintenir une distance. Dans le premier cas, il cherche à persuader en espérant que sa subjectivité aura du poids ; dans le second, il espère que cet effacement sera la garantie de son objectivité et servira sa force de conviction. L’objectivité

soi-même ? Nos proches, nos amis, nos parents ont l’habitude de prétendre qu’ils nous connaissent mieux que nous même dans la mesure où ils nous côtoient quotidiennement. Se connaitre soi même s’avère être difficile pour des raisons liées à la subjectivité et à l’inconscient. Dès lors, la connaissance d’autrui se révèle-t-elle être plus facile ? Nous verrons, tout d’abord, les raisons de la difficulté de la connaissance de soi-même pour, ensuite, évoquer les facilités que peuvent apporter en apparence

Nous allons aujourd’hui nous attarder à tenter une explication d’un extrait du texte Hippias majeur de Platon. Ce texte traite d’un sujet débat qui est: qu’est-ce qui caractérise le beau ? Pour tenter une amorce de réponse ici Platon utilise un dialogue entre deux personnage nommés Socrate et Hippias dont l’on peut penser que Socrate utilise une tiers personne non-nommée pour représenter une personne déchu d’opinion sur la question et Hippias pourrait etre une sorte de personnification de quelqu’un

impropre de discuter des goûts. Pour ce faire, nous nous appuierons sur l’œuvre de Kant « Critique de la faculté de juger ». Dans son ouvrage, l’auteur établit un parallèle entre la logique du beau et celle de l’agréable. Kant expose le problème de la subjectivité du goût, dans certains cas. En effet, lorsqu’il s’agit de l’agréable, on ne peut discuter des goûts. Notre jugement relève ici de notre appréciation personnelle, et il serait alors impropre d’épiloguer sur les goûts et de chercher l’assentiment

1- Qu'est-ce qu'un texte d'opinion philosophique? Un texte d'opinion est un exposé qui exprime des vues personnelles sur un sujet donné. Un texte d'opinion philosophique est donc un exposé qui exprime des vues personnelles sur un sujet philosophique donné. Le but de l'auteur est de faire une analyse de ce problème et une démonstration de la valeur de son opinion au lecteur. Le texte d'opinion précise le sens des vues de l'auteur en utilisant certains concepts. L'auteur formule ainsi un