Spectateur Acteur

|Une seule place de fête | |-Objets |Des objets sobres et d’époque |Des ajouts comme la bière | |-Public |Spectateur |Quelques interactions | |-Humour |Ancien |Plus parlant à notre époque | Au début, inversion

qu'elle illustre, elle peut amener un surplus de sens (redondance ou hyperthéâtralité), en tout cas ouvre les possibilités de réception sensible de la pièce et les multiplie. Le rapport est fort et la frontière très mince entre celui qui dirige les acteurs (le metteur en scène) et celui qui les situe (le scénographe). L'espace scénique avant le xxe siècle Le théâtre grec antique Les Grecs utilisaient une scénographie complexe, l’édifice, ou le théâtre dans lequel ils jouaient dictant aussi l’espace

Le narrateur (interprété par Claude Duparfait) est seul, aigri et tourmenté dans son fauteuil à oreilles et nous comte avec ironie et cruauté, sa rancœur et sa haine vis à vis de la société viennoise. Durant près d’heure, il se livre à nous spectateurs, mêlant répétition, hyperbolisme et sarcasme et nous dévoile clairement son ambivalence amour/haine, dans son rapport avec son pays, sa ville et ses gens. Suite au décès de « la Joana » une amie de longue date, il est convié à un souper artistique

qui est apparu tout d’abord en Allemagne dans les premières décennies du 20ème siècle et plus tard aux Etats-Unis. Ce style de théâtre met un grand accent sur le décor et les costumes des acteurs, ce qui était inhabituel pour ce temps. L’expressionisme tend à déformer la réalité pour essayer de donner au spectateur des expériences émotionnelles intenses. L’inquiétude due à la crise économique en Amérique à partir de 1929 amène certains metteurs en scènes à l’expressionnisme. Eugene O’Neill et Arthur

entoure le jeu des acteurs est fictif , le décor, les costumes, le maquillage, tout est faux: on peut s'appuyer sur la représentation d'Hamlet dans laquelle les costumes ne reflétaient pas l'époque et plus flagrant le thème de l'eau qui métaphoriquement symbolisait le declin de la famille royale du danemark, ou plus encore le trouble général. La mort elle même n'est que pure fiction comme on le retrouve dans l'acte V scene VI de l'illusion comique. En outre les spectateurs vont au théâtre pour

synonyme de fête. Nous pourrions penser, au début, que cette façon de concevoir la mort appartient au passé et ne nous concerne pas mais pourtant la manière dont la mort est dépeinte appartient bien à notre culture. Dans les premières paroles le spectateur comprend que ces trois femmes ont un passé luxueux et que nous assistons à une histoire finissante. Le décor présent correspond à des ruines avec notamment le paravent dans le coin de la salle qui laisse entrevoir une chambre autrefois ornée et

films de cinéma. En 2011, il a reçu le Prix de littérature francophone Jean Arp pour toute son œuvre. Le Repas de Valère Novarina a été mise en scène par les compagnies Mugiscué et Jakart. Ce sont deux compagnies qui sont formées par les mêmes acteurs qui se sont rencontrés à Limoges à L’Académie théâtre de L’union. Résumé : Nous sommes tous conviés au dernier repas de notre existence sur Terre. Ce repas se décompose en 24 séquences qui représentent nos dernières 24 heures. Il n’y a pas

c’est le plaisir de la représentation. Cst l’aboutissement du texte théâtral, c’est ce qui lui donne vit. L’interprétation du texte permet de mieux comprendre celui-ci en le rendant vivant. En effet, il y a tout d’abord les décors qui permettent au spectateur de mieux comprendre l’époque, l’importance aussi d’objets symboliques qui ne sont que citer dans les didascalies, lors de la lecture on ne peut pas réellement comprendre leur importance. Comme dans Mademoiselle Julie, les bottes qu’apporte Jean

sur les personnages j’aimerai parler de Clindor, joué par Podalydès, le personnage principal finalement. L’essence même de Clindor est un acteur, par le contraste entre son père et le mage, spectateurs immobiles, et lui-même, qui ne cesse de bouger pour agir. Et c’est pour ceci que je vous ai choisi Robert, pour vos talents de comédiens. Vous devez jouer un acteur de théâtre dans une pièce de théâtre. Cette pièce repose sur une mise en abime permanente jusqu’à son apogée à la dernière scène du dernier

l’endettement. Bien que les scènes soient anciennes, le spectateur trouve des liens avec la société d’aujourd’hui : l’esclavage moderne, le désir de l’argent… C’est une représentation théâtrale engagée qui dénonce ces pratiques immorales. La présence du registre comique et satirique dans les paroles condamne violement ces comportements humains. D’autres procédés prouvent la lutte contre l’esclavage et la traite des nègres : les costumes et le jeu des acteurs, l’insertion de textes littéraires et de chansons