Spectateur Acteur

le fait que le spectateur ne soit pas choqué ( pas de violence , pas de brutalité , pas d'actions spectaculaires...sur scène) en respectant la règle des trois unités , la règle de la vraisemblance et la règle de bienséance. Pierre Corneille et Jean Racine sont les plus grands auteurs tragiques français de cette époque. I)Les règles de la tragédie classique. 1) Règles des trois unités. Ces règles ont un but qui consiste à ne pas disperser l'attention des spectateurs notamment avec

la comédie moyenne et la nouvelle comédie grecques. Plusieurs comiques latins s’efforcèrent de vêtir leurs personnages d’un costume plutôt romain que grec. Ces comédies furent appelées fabulae togatae « fables en toge » (le manteau romain que les acteurs portaient), par opposition aux fabulae palliatae, qui se représente avec le manteau grec (pallium). Les auteurs (titiniu, atta, afragnus) de ces comédies, dont il ne reste que des fragments prenaient leurs sujets dans la vie et les mœurs romaines

sous le nom Let the Right One in en anglais. Lindqvist est également le scénariste de Morse, voulant donner vie à cette histoire fabuleuse qui se passe dans son quartier d'enfance. Le casting du film est aussi très intéressant, nous révélant des acteurs très peu connus du grand public et pourtant parfaits pour ces rôles. Les personnes principaux sont Oskar, interprété par le jeune blond Kåre Hedebrant, et Eli, jouée par la talentueuse Lina Leandersson. Le film dure 115 minutes et nous présente une

c'est la prestation d'un comédien devant des spectateurs qui regardent, un travail corporel, un exercice vocal et gestuel, le plus souvent dans un lieu particulier et dans un décor particulier. Il n'est pas nécessairement lié à un texte préalablement écrit ni publié. Pour comprendre ce qu'est le théâtre, et particulièrement pour saisir ses évolutions les plus récentes, il convient donc de toujours mêler les points de vue qui le constituent => les spectateurs, les metteurs en scène, les dramaturges

Les didascalies sont avant tout des précisions de l’auteur destinées aux acteurs et au metteur en scène pour les aider dans leur travail. Cela prouve que le but premier de l’auteur est bien que sa pièce soit jouée. * Comedia Dell’arte (jusqu’au 18eme s) né en Italie La Comedia Dell’arte était, par exemple, le mouvement théâtral majeur du 18ème siècle. Ces représentations se basaient sur la simple improvisation des acteur sur des personnages-type qui leur était donné.. Ex : Arlequin portait

bien sûr mais aussi l’éclairage, la musique, le décor, le maquillage, les costumes. Ils créent une atmosphère, une illusion qui entraînent le public « hors du monde », hors de son quotidien. Pour Diderot, dans « Le Paradoxe sur le comédien », le bon acteur est celui qui garde la tête froide et n’est jamais réellement ému car le vrai au théâtre n’est que convention. Le langage aussi est irréel : au XVIIe siècle, les faux dévots ne s’exprimaient pas en vers et jamais, un jardinier ne prendrait la parole

LE THEÂTRE Histoire du théâtre et de sa représentation: * Le modèle grec Né à Athènes au Ve siècle Av JC. Grandes Dionysies, acteurs professionnels masqués * Le théâtre romain Appelé "jeux scéniques", pas d'activité sérieuse. * La scène médiévale "Les Mystères" sont des pièces qui rejouent des scènes chrétiennes ( noble ). Théâtre de foire pour les pièces profanes qui sont des farces. * Le théâtre à l'Italienne Du XVIe au XVIIIe siècle. Grâce a la peinture on fait

puisqu’il est lié à une notion de pouvoir .En effet un combat inégal s’installe ,Jeff peut voir ses voisins contrairement à eux .Ainsi il les domine et se trouve dans une situation de supériorité malgré son handicap .Cette forme de pouvoir gène le spectateur car elle n’est pas morale . B Paris texas de Wim Wenders : 1984 [pic] En 1984 ,quelques années après Fenêtre sur cour sort un autre grand film Paris Texas de Wim Wender dans lequel une scène culte aborde le thème du voyeurisme .Dans cette

en rattachant la pièce à des lieux, des personnages, ou encore des situations connus de tous, comme nous l’avons vu précédemment. En deuxième lieu, il jouit aussi de d’autre fonction comme celui du divertissement afin de changer les idées aux spectateurs avec des œuvres comiques en se basant sur les faits du réel, qui nous entraîne souvent à en tirer une leçon de moral, comme par exemple dans Tartuffe de Molière où on décrypte une morale jésuite, qui propose une doctrine plus tolérante à l’issue

qui lui permet d'aider à la lecture de l'acte théâtral sans l'encombrer d'aucune valeur parasite : il lui faut renoncer à tout égoïsme et à tout excès de bonnes intentions ; il lui faut passer en soi inaperçu mais il lui faut aussi exister : les acteurs ne peuvent tout de même pas aller nus ! Il lui faut à la fois être matériel et transparent : on doit le voir mais non le regarder. Ceci n'est peut-être qu'une apparence de paradoxe : l'exemple tout récent de Brecht nous invite à comprendre que c'est