Phédon

l’esprit finaliste et mécaniste !). C’est bien une pensée de l’Ursprung. Certes le langage trahit1, mais il faut bien formuler la mythologie des pulsions (Freud)... – Il est uniquement là, et pas ailleurs, le « beau risque à courir » cher au Socrate du Phédon. Ensuite, que la violence originaire2, la violence fondamentale, même impensable, en raison de son archaïsme, se laisse tout de même Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 62.240.242.91 - 08/08/2012 09h58. © P.U.F. La violence du sens

Platon  [masquer] v · d · m Dialogues de Platon Dialogues Hippias mineur · Alcibiade majeur · Euthyphron · Lachès · Charmide · Ion · Lysis · Hippias majeur · Gorgias · Ménexène · Euthydème · Ménon · Apologie de Socrate · Criton · Protagoras · Phédon · Cratyle · Le Banquet · La République · Phèdre · Parménide · Théétète · Le Sophiste · Philèbe · Le Politique · Critias · Timée · Les Lois Authenticité douteuse ou dialogue apocryphe Alcibiade mineur · Alcyon · Axiochos · Clitophon · Définitions

pourquoi le philosophe ne doit jamais arrêter ses recherches, jamais cesser de désirer. Car le philosophe est le véritable amoureux qui se maintient dans cette tension du désir. La philosophie est un désir qui se désire lui-même et donc se possède. 2- Le Phédon ( http://www.mediterranees.net/histoire_grecque/socrate/phedon.html ) Dialogue mettant en scène Socrate dans sa prison, le jour avant sa mort et des amis. Ils vont philosopher autour de la mort. Ses amis sont dévastés tandis que Socrate est serein

separatio corporis et animae ' abzulehnen (. . .). Schon Paulus gebrauchte sie, aber eben als unbetonte Formel (2 Cor 5, 6.8.10)». Sur l'influence encore mitigée du dualisme platonicien aux premiers siècles, voir J. Coman, L'immortalité de l'âme dans le Phédon et la résurrection des morts dans la littéra ture chrétienne des deux premiers siècles, dans Helikon 3, 1963, p. 17-40. Sur le rôle d'Origène et de l'apocryphe Apocalypse de Paul (dont la version grecque remonte au milieu du IIIe siècle) dans l'élaboration

différence entre les belles choses et la beauté véritable. Il faut détourner le regard des belles choses pour saisir la beauté. Le beau est cause des belles choses. « C'est par la beauté que les belles choses sont belles » nous dit Platon dans le Phédon. Il faut trouver « ce qui est beau pour tous et en tous temps ». La question de Socrate exige une réponse universelle, elle doit valoir pour tous. Il faut énoncer quelque chose qui évite « le défaut d'être tantôt beau tantôt laid. ». Il faut dégager

traits de caractère à travers des personnages types. Molière s’appuie beaucoup sur ce type de comique mais il n’est pas le seul ; La Bruyère, nous l’avons vu, fait de même. Cf. La Bruyère, Les Caractères ou les mœurs de ce siècle, portrait Giton et Phédon, le riche et le pauvre. L’un des ressorts de ce type de comique repose sur le contraste entre l’image que le personnage se fait de lui et ce qu’il est en réalité. Exemple : Molière, Le Bourgeois gentilhomme. Monsieur Jourdain aspire à appartenir

développement de la civilisation urbaine autour de la Mer Egée. Les côtes de l'Asie Mineure, la Grèce Orientale sont beaucoup plus urbanisées que le centre et l'ouest du pays. Il y a très peu de grandes cités qui n'ait un port.Platon à ce propos dans Phédon, déclare que les grecs vivent autour de la mer comme des fourmis et des grenouilles autour d'une mare. Cependant sur un plan historique les grecs se sont mis que tardivement à la mer. 2) Cité et territoire La cité est un état territorial pourvu

la solitude mais une quête confrontation, Alceste cherche les conflits, les situations problématiques, pour preuve son amour pour une coquette, son procès, la brouille avec Oronte. Alceste est, paradoxe fécond, un misanthrope de salon. Platon dans Phédon [89e] donne une définition de la misanthropie qui nous permettra de comprendre Alceste : « La misanthropie résulte d’un excès de confiance donné sans connaissance […] ; après avoir essuyé plusieurs fois la même déception, on finit par haïr tous les

Doctrine : moraliste intellectuel ;  Père de la philosophie. 03. PLATON (427 – 348) P h ilo so p h e G re c, d is ci p le d e So cr at e et m aî tr e d ’A ri st o te d u 4 e si èc le A v. J -C . « Les dialogues » :  Creton ;  Phédon ;  Phèdre ;  Gorgias ;  Le Baquet ;  La République ;  Les Lois ;  L’Apologie de Socrate.  La théorie des idées et la théorie de réminiscence ;  La méthode dialectique ;  L’homme est corps et âme ;  Le monde sensible et

monde. L'erreur. - Les ombres. Les degrés du savoir. - L'évasion. - Le bien. L'esprit du mythe. - Une histoire vraie. - Géométrie. - La preuve d'entendement. - Pragmatisme VI. TIMÉE. - Nos songes. - L'immuable destin. - Dieu retiré. - Le Phédon. - La vie future. - L'immuable monde. - La matière VII. ALCIBIADE. - L'amour platonique. - Le mauvais compagnon. Alcibiade tombé. - Le Banquet. - L'amour céleste VIII. CALLICLÈS - Le cercle des sophistes. - Réponse à Socrate. - La nature