Phédon

dont nous avons des fragments considérables, un Alcibiade, un Miltiade, un Callias, un Axiochos, une Aspasie, un Télaugès et un Rhinon. 20 Épigénès est mentionné par Xénophon, Mém., III, 12, comme un des disciples de Socrate, et par Platon dans le Phédon, 59 b. Il ne faut pas confondre son père avec l’orateur Antiphon de Rhamnonte. 21 Nicostratos et Théodote, comme leur père Théozotidès, sont des inconnus. 22 Nous savons par le Théagès que Dèmodocos était plus vieux que Socrate et qu’il avait rempli

la restauration démocratique, détournèrent le philosophe de la carrière politique 2. Par ailleurs, il n'évoque jamais dans ses œuvres des événements contemporains. Il ne parle de lui, en dehors des Lettres, que trois fois dans l'Apologie et dans le Phédon 3. Seules les Lettres VII et VIII évoquent sa tentative d’application de son système du « bon gouvernement » à Syracuse, et commentent des faits politiques qui l’ont touché de près. Platon est incapable d’apporter une solution aux problèmes des Siciliens

· Sosie est le serviteur qui gravit tous les échelons sociaux. · Zénobie est la reine dispendieuse. · Giton et Phédon sont deux portraits qui s’opposent. ● Livre VII, « De la Ville », 22 remarques  : Ce chapitre explore la ville de Paris, et l’auteur montre combien ses habitants ont le sentiment d’être le centre du monde. Jean de

- Le couple de notions (ex. : « Fini, infini, indéfini » ; « Ordre et désordre » ; « Le beau et le bon » ; etc.). - La citation (ex. : « Philosopher, c’est apprendre à mourir ». Commentez et discutez cette affirmation de Socrate tirée du Phédon.). ( Au baccalauréat, vous ne pouvez avoir que des sujets sous forme de questions… D/ La taille des copies • L’introduction (≈ une page entière) + le développement (3 parties x 3 paragraphes, à raison d’un peu moins d’une demi-page

en trois parties : l’appétit, la colère et le raisonnable. Le raisonnable étant en soi la pensée de l’Homme et donc son immortalité. Pour lui, l’âme est immortelle et de nature divine. Ce dernier cherche d’ailleurs à le prouver dans son œuvre, le Phédon : «Ce qui est divin, immortel, intelligible, ce qui est indissoluble et possède toujours en même façon son identité à soi-même, voilà à quoi l’âme ressemble le plus». Aristote, lui, fait l’économie du concept des Idées, l’âme et le corps ne sont plus

assujettissent aux sensations et nous éloignent de la contemplation des Essences. Dans cette tradition, la raison ne peut travailler qu’à l’écart de toute influence passionnelle, conçue comme une perturbation et une source d’erreurs (Voir en particulier le Phédon). On n’insistera pas plus sur ce type de thèses.>     La perspective de R. est d’abord de montrer la dette réciproque qui lie passions et entendement . On peut aussi bien parler de collaboration ou de complémentarité.    1°) Quel rôle jouent les

et du corps détruit cette union. L’union de l’âme et du corps existe ainsi tant qu’on ne cherche pas à le penser, donc existe dans la vie elle-même, voilà pourquoi le philosophe doit revenir dans la vie en quittant la pensée. Ainsi à l’inverse du Phédon de Platon, à l’occasion de sa vie durant laquelle l’âme est unie au corps, le philosophe peut faire l’expérience de la pensée de l’union de l’âme et du corps tout en étant conscient que ce phénomène de pesée est exceptionnel. Récapitulation :

on demande à un enfant d’être sage, de ne pas bouger, demander un enfant de ne pas bouger et de se perdre est ce que ce n’est pas contrarier les exigences spontanées de sa vitalité ? Est-ce que ce n’est pas lui imposer de mourir un peu. Dans Le Phédon, les amis de Socrate sont étonnés de sa sérénité. Socrate dit qu’il a passé sa vie à mourir, il dit que pour pouvoir concentrer il doit se libérer de son corps ; soma séma ; le corps est un tombeau. Il dit que le corps le harcèle en permanence, Socrate

μανθανο, bien qu'étymologiquement il n'y ait en fait aucun rapport entre les deux mots. Dans le Phédon, Platon professe une distinction originale radicale. Socrate s'oppose aux lamentations, à la tristesse de ses jeunes auditeurs devant l'imminence de sa mort. Il leur dit que lui, Socrate, n'est justement pas ce corps qui va mourir, mais son âme qui va se libérer. À ce niveau de lecture, le Phédon nous apprendrait - comme Nietzsche le soutiendra en effet - à nous réjouir de la mort au nom d'un

l’ignorance des principes qui régissent l’homme, que ces principes soient en rapport avec le divin, des forces physiques ou métaphysiques. En tradition occidentale nous avons les Idées platoniciennes (la sophia, le Bien, le Beau etc cf. : Rep.512a515b ; Phédon, 65 c-d) à quoi s’ajoute avec Aristote, la science, et avec le néoplatonisme de Plotin, la mystique. A cette tradition, et en provenant directement, la philosophie islamique, celle d’Al-Kindi (+IXe) le philosophe des arabes, a développé la science