N Agit On Moralement Que Par Interet

choses devraient être/à classifier les choses plutôt qu’à les décrire.« Tuer est immoral », « Tim Burton est un mauvais réalisateur », « Vous devriez éviter de faire souffrir quelqu’un inutilement », « Il faut considérer impartialement les intérêts de tous quand on agit », « Les femmes devraient pouvoir disposer librement de leur corps » « Il ne faut être raciste »Les propositions normatives ne sont pas observables par nos sens, elles supposent une idée de ce qu’est le beau ou le bien.L’argumentLa forme

réciproque ». I – Les caractères complémentaires et communs du droit et de la morale A - L’origine du droit et de la morale La morale est un objet de l’éthique et vient de la notion « moralitas » en latin qui si-gnifie qu’un comportement est moralement bien. Il y a plusieurs définitions différentes pour « la morale ». En générale on peut dire que la morale est l’action humaine, c’est-à-dire que ce sont des modèles, conventions, règles, mœurs ou coutumes de comportement qu’on peut associer à certains

dite "morale" ? C'est dire que l'éthique a un objet particulier : il s'agit du bien moral. Tout le monde sait que l'action moralement bonne, c'est l'action qui est conforme aux "règles", aux "lois". La loi dit : "il ne faut pas tuer". Mais est-ce si facile que ça de déterminer si une action est bonne moralement ? Ce qui fait qu'une action est moralement bonne, est-ce vraiment la conformité aux règles ? Cela ne reviendrait-il pas à confondre droit et morale ? Ou encore, légalité

extérieur au sujet moral rationnel. [Questions philosophiques en jeu - Problème:] L’auteur aborde le problème du fondement de la moralité: comment l’être humain, que l’intérêt conduit le plus souvent, peut-il aussi s’obliger lui-même et négliger cet intérêt? Comment met-il en place sa propre législation individuelle et pourtant universelle ? Quelle est l’autorité morale interne qu’il accepte de suivre ? [ANALYSE DE L’ARGUMENTATION DU TEXTE] [Première partie (l.1à l.6 « législation universelle»):]

examinerons que l’émotion est un outil de perversion de la raison. Nous aborderons l’émotion comme étant l’opposé la raison en son sens théorique, ainsi la raison selon Kant, qui nous dit que « l’homme qui peut écouter la raison qui est capable d’agir moralement. A-Différence entre la raison et l’émotion 1) Définition première : la raison se définit comme opposition à l’émotion La raison est généralement considérée comme une faculté propre de l’esprit humain dont la mise en œuvre lui permet de fixer

mes rêves, actes manqués et autres ? Nous avons vu en effet que le sujet pouvait donner des explications logiques à ses actions alors même que celles-ci sont motivées par son inconscient. En fournissant une explication rationnelle à ses actions, il agit comme s’il était le maître de lui-même, de toutes ses actions. Ces explications rationnelles ne sont pourtant pas à l’origine de l’action mais simplement une reconstruction après coup du sujet victime d’illusion : son inconscient reste dissimulé

l’insensibilité . Une raison calculatrice, froide nous fait considérer les autres avec détachement . Pour Rousseau, le fondement de la morale, ce n’est pas la raison, c’est le sentiment, l’émotion. Agir moralement, c’est savoir entendre et suivre la voix du cœur , de la conscience. A la question « Que dois-je faire ? », je devrais faire ce que me dicte ma conscience . Mais on ne peut

SOCIETE, ETAT. Par société, on entend un groupe d'hommes unis par des intérêts communs et des relations d'interdépendance. 1. Le passage de l'état de nature à l'état de société. Rousseau : état de nature → l'homme est isolé, vit pour ses besoins. Pas de lien social, pas de langage. Mais alors que distingue cette homme de l'animal ? Même vertu que les animaux, pas de méchanceté, mais satisfait ses besoins, ses instincts. Etat de nature → pitié (empêche de faire le mal, pousse à la solidarité

(le devoir pour le devoir), et non à un impératif hypothétique (qu'il soit dicté par la prudence, qui vise le bonheur, ou par l'habileté). Cela signifie qu’elle ne vise pas d’autres fins qu’elle-même. On agit moralement uniquement pour agir moralement et non pas par recherche d’un quelconque intérêt personnel. Un impératif catégorique se distingue d’un impératif hypothétique, en ce que ce dernier porte sur les moyens à utiliser pour atteindre une fin déterminée. Une action libre est une action dont

appel à et rappel de la liberté morale de tout homme : « Tu dois, donc tu peux ! » ¨Etre libre c’est se croire capable d’agir selon son devoir, c’est donc d’abord se croire et se vouloir libre à l’encontre de cette mauvaise foi par laquelle celui qui agit contre l’idée qu’il se fait de son devoir pense ne pas en être capable, alors même qu’il est parfaitement conscient qu’il lui faut agir selon sa raison et non se soumettre à son désir. Mais cette croyance dans le pouvoir de la raison de résister