Dogmatisme Relativisme

l’inversion + Ionesco qui ne résout pas l’absurdité d’un Bérenger qui se reconnaît dans le portrait de quelqu’un d’autre. Ainsi, une inversion généralisée et délibérée… Pourquoi? b. Explications possibles * Ironie de Ionesco : dans une sorte de relativisme provocateur, position selon laquelle tout est possible, relatif et question de point de vue? Autre ironie possible : illustration faussement ingénue de la loi du plus fort, de la logique du plus grand nombre… la beauté aurait ainsi changé de camp…

résister. Pourtant, force est de constater que cette résistance existe bel et bien sous différentes manifestations. On peut constater dans l'histoire et notamment dans l'histoire des sciences, de nombreux cas de résistance à la vérité au nom du dogmatisme ou de la foi religieuse. Alain dira dans « Les arts et les dieux » issu de Définition « la religion consiste à croire par volonté, sans preuve, et même contre l'épreuve ». La résistance à la vérité s'organise par exemple, avec Giordano Bruno qui

|multiplie les innovations agricoles. | |L’ensemble de ces expériences invalide que « tout est bien dans le meilleur des mondes possibles ». Rejetant tout dogmatisme, Candide | |doit apprendre à vérifier les vérités absolues avant de les adopter. Les longs dialogues qu’il a avec Martin visent à explorer d’autres | |systèmes de pensée. D’où la parodie du langage philosophique et de son jargon « métaphysico-cosmolo-nigologie »

consciences, ce qui n’est pas acceptable dans un environnement de droit où chacun est protégé. La liberté absolue ainsi se condamnerait elle-même. Il faut la donc relativiser pour ce qui est de son application pratique, et l’obéissance autorise ce relativisme. En obéissant, on renonce certes à sa liberté, mais pour partie seulement, en reconnaissant à autrui des droits identiques aux siens et sa capacité à les exercer, en acceptant également un avis divergent. Obéir, c’est aussi être libre dès lors que

divin, les privilèges, le despotisme et l’organisation hiérarchique de la société. Ensuite, un contexte moral. Ils critiquent l’esclavage et l’intolérance. Et enfin, un contexte religieux. Ils critiquent l’église et son pouvoir, l’obscurantisme, le dogmatisme et le fanatisme. 5/ Les philosophes ont plusieurs idéaux et des valeurs telles que : le bonheur, la justice, la liberté (anti-esclavage), l’égalité et la fraternité, la tolérance, la séparation des pouvoirs, les droits de l’Homme,

constructive et non déductive comme Descartes ou contemplative comme Platon, qu'on perçoit Kant devenir plus idéaliste que rationaliste pur. Rorty Sous un autre aspect, le relativisme croit que la vérité est relative à chacun ou au groupe social auquel on appartient, elle n'est pas universelle. La théorie du relativisme croit que la raison est basée sur la culture et la société. De nombreux philosophes représentent cette position philosophique et ils sont plutôt contemporains comme Rorty, Kuhn

voix, le procédé leur prête les puissances de l’éloquence. C’est aussi l’occasion pour le vieillard de livrer un jugement contrasté et implacable sur les deux civilisations en présence. Et surtout, derrière cette figure, Diderot donne une leçon de relativisme à ses lecteurs, quitte à mettre en cause la foi dans les « lumières » elles‐mêmes. Diderot place dans la bouche du vieillard un discours virulent, car le personnage emprunte à la fois aux ressources de l’émotion et de l’argumentation pour livrer

est le plus bas degre de la liberte, pustule estla liberte de l ignorance ou de l erreur. La liberté absolue ainsi se condamnerait elle-même. Il faut la donc relativiser pour ce qui est de son application pratique, et l’obéissance autorise ce relativisme. En obéissant, on renonce certes à sa liberté, mais pour partie seulement, en reconnaissant à autrui des droits identiques aux siens et sa capacité à les exercer, en acceptant également un avis divergent. Obéir, c’est aussi être libre dès lors que

Affirmant l’autonomie morale de l’homme face à l’autorité religieuse (aspect surtout spéculatif de la liberté d’esprit), il débouche au XVIIIe siècle sur la forme moderne de l’esprit critique : appliqué à la réalité, expérimental[1]. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme [2]. Matérialistes, les libertins

démonte les arguments de la thèse adverse. Réfuter une thèse  : rejeter une thèse, montrer sa fausseté, l’infirmer. Registre épidictique  : registre de l’éloge ou du blâme. Relativisme  (contraire : dogmatisme ): doctrine consistant à considérer qu’il n’existe pas de vérité absolue, dans la mesure où la notion de vérité est variable en fonction des époques, des cultures, des individus. Registre polémique