Dogmatisme Relativisme

Universalité : ce qui vaut pour tous, en tout temps, et en tout lieu. * Ecueil : ceux sur quoi on échoue * dogmatisme : impose de manière sans contester * Relativisme, relative : C'est cette position qui consiste à énoncer : " a chacun sa vérité" lassant entendre que l'on ne peut pas décider de la supériorité d'une vérité sur une autre. Le relativisme mène ainsi à une suspension du jugement et à l'idée que tout ce vaut. abandon du jugement (ttes les opinions ne se

méthodique remise en question volontaire -> dans le but d’accéder au savoir plus certain. Exercice de la pensée. APORIE : Impasse dans un raisonnement qui ne peut aboutir. DOGMATISME : Courant de pensée qui pose que la vérité absolue ou définitive est connu (dogmatique : qqun qui prétend/sur de savoir). RELATIVISME : Le fait objectif ne peut être atteint : tout est opinion, tous les opinion, se valent. NATURE : Ensemble du monde matériel préexistant à l’homme et non transformé par lui.

de la vérité scientifique. Difficile pour l’homme de refuser les vérités scientifiques. Le relativisme comme le scepticisme sont intenables. Mais comment pallier aux dangers de la vérité ? A. Le tyrannie de la vérité La vérité devient un danger lorsque elle n’admet plus l’erreur. Accorder trop d’importance à la vérité peut conduire à l’intolérance. Or, l’erreur est fructueuse. B. Le dogmatisme La vérité devient dangereuse lorsqu’elle devient un dogme : ce n’est pas tant le résultat

évoque ainsi la conception de la vérité selon Nietzsche. Selon lui, vouloir la vérité à tout prix est une exigence discutable, car l'amour de la vérité n'est pas toujours raisonnable. Cela peut en effet produire des monstres, comme le fanatisme ou le dogmatisme qui n'admettent pas que l'on discute une vérité. B : La recherche de la vérité est difficile D'autre part, la recherche de la vérité est extrêmement difficile. Premièrement, il n'est pas évident de la différencier des croyances. Platon montre

ce que l’on pense et ce que l’on dit d’une part et ce que l’on fait d’autre part. la vérité matérielle suppose la vérité formelle donc c’est un discours contradictoire. La vérité est du domaine du nécessaire et de l’universel. B) un risque de dogmatisme Chaque système philosophique prend le risque de se crisper sur sa propre position. Chaque philosophie prétend avoir raison. II- Il n’y a que des vérités A) valeur du scepticisme Pour la conscience sceptique toute pensée peut se changer en

imaginaire des déficits réels : déficit de connaissance, de force, de courage. Pour un sceptique, les limites de la raison sont des restrictions irrémédiables de l'esprit, dans le dogmatisme, ces limites peuvent être dépassées ou utilisées grâce à un pouvoir d'auto transcendance infinie et enfin dans le le relativisme, les limites de la raison sont indépassables par la raison mais dépassées en fait par d'autres pouvoirs de connaître. Leibniz considère que la tablette rase de Locke n'est qu'une fiction

privilégie l’esthétique.Relativisme des sociétés.Des villes pensées pour être utiles et agréables : "grandes places, pavées d’une espèce de pierres qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle ou de la cannelle".L’idée de tolérance et de relativisme revient souvent. Voltaire fait aussi une critique implicite de l’optimisme : ce monde est excessif et faux. L’optimisme est du côté de l’utopie. L’ensemble du chapitre permet de nuancer. Au delà des apparences, il y a des imperfections : ce sont

évoque ainsi la conception de la vérité selon Nietzsche. Selon lui, vouloir la vérité à tout prix est une exigence discutable, car l'amour de la vérité n'est pas toujours raisonnable. Cela peut en effet produire des monstres, comme le fanatisme ou le dogmatisme qui n'admettent pas que l'on discute une vérité. B. La recherche de la vérité est difficile D'autre part, la recherche de la vérité est extrêmement difficile. Premièrement, il n'est pas évident de la différencier des croyances. Platon montre

Affirmant l’autonomie morale de l’homme face à l’autorité religieuse (aspect surtout spéculatif de la liberté d’esprit), il débouche au XVIIIe siècle sur la forme moderne de l’esprit critique : appliqué à la réalité, expérimental[1]. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme[2]. Matérialistes, les libertins

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