Dogmatisme Relativisme

connaissances scientifiques est représenté ici par le personnage, appelé aussi "le voyageur" (ce que Voltaire ne cessait d'être ...) Il s'agit d'un esprit scientifique fondé sur l'empirisme et les faits, qui se méfie des spéculations et refuse le dogmatisme. Tout d'abord les faits sont précis et indiscutés (car la réalité est indiscutable?) : "soixante et douze", "mille", cinq cents grandes révolutions du soleil", "quinze mille ans" ("révolution du soleil" au lieu d'année connote fortement cette recherche

servirait plus à rien. Pour Platon, les sophistes ne font qu’acquérir des opinions et non des savoirs-vraies, des vérités. C'est explicitement contre le relativisme des Sophistes, que Platon a pu écrire : « De la connaissance non plus il ne peut être probablement question, Cratyléen, si tout se transforme et rien ne demeure. ». Contre le relativisme des Sophistes. Platon va soutenir la nécessité de concevoir l'idée d'une vérité absolue afin de pouvoir en Unir avec l'opinion toujours changeante et fluctuante

l’église et son pouvoir, l’obscurantisme, le dogmatisme et le fanatisme. Un obscurantiste est une personne qui prône et défend une attitude de négation du savoir (refuser de reconnaître pour vraies des choses qui devraient l'être), ou de restriction dans la diffusion d'une connaissance (sans nier la véracité d'une chose, considérer qu'elle ne peut être diffusée pour des raisons de toutes sortes : intérêt personnel, craintes sociales, etc.). Le dogmatisme est la doctrine selon laquelle l'esprit

Sagesse : a) sens théorique : savoir ; b) sens pratique : bonheur, art de vivre  Le philosophe cherche le savoir afin de vivre bien, de vivre d’une manière digne d’un être humain, et afin d’être heureux.  Cela le distingue du savant : il refuse tout dogmatisme. Le philosophe doute. - Sophiste : personne de l’antiquité qui se faisait payer pour enseigner ; apprennent à parler à la jeunesse d’Athènes, non pour parvenir à la vérité, mais afin d’emporter l’adhésion sur l’agora. Parole mensongère. - Opinion

du chat ou de l'abeille est fausse, elle est juste différente. Le réel serait donc quelque chose de propre à chaque être, chaque conscience. C'est ce qu'explique la thèse du relativisme. Pour certains philosophes comme Platon, le réel est une chose à laquelle les hommes peuvent s'accorder. Cette thèse s'oppose au relativisme en admettant une vérité absolue, une vérité certaine et universelle valable pour tous, à tous moments et lieux. Pour Platon, ce qui apparaît naturellement à la conscience de

les mathématiques et globalement articulés au réel par l’expérimentation, sont périssables ; si bien que paradoxalement, la science, constituée pour répondre à l’exigence de certitude par la démonstration, ouvre une brèche au scepticisme et au relativisme. Si toute théorie scientifique n’a qu’une valeur passagère, peut-elle prétendre sans contradiction à l’épithète de « scientifique » ? Une théorie scientifique peut-elle donc sans contradiction être à la fois qualifiée de « vraie » et de « provisoire

raison Relativisme et nihilisme Le sorcier et le savant La parole d ’évangile Guerre des religions et religion de la guerre Incrédule,libertin,mécréant Convaincre et persuader L ’alpha et l ’oméga La conversion La croyance et l ’espérance La "foi du charbonnier " "Il faut le voir pour le croire " Doctrine et croyance Prouver et éprouver Etre agnostique Le risque de la croyance Idoles et icônes Le pèlerin et le pratiquant Dogmatisme et scepticisme

déclare en 1529 « Il faut former les enfants à la vertu et aux lettres dans un esprit libéral et cela dès la naissance » et il s’oppose aux châtiments corporels dans l’enseignement. Rabelais aussi dénonce l’éducation traditionnelle ainsi que les dogmatismes religieux dans ce domaine puisqu’il n’admet aucune évolution comme il est dit dans les Saintes Écritures. L’Humanisme s'oppose à l'enseignement scolastique en imposant l'étude des lettres latines et grecques. Les idées humanistes en matière d'éducation

dont sont capables les hommes. Mais au même sein de cette humanité décrite comme barbare, il y a des exceptions. C’est qu’en tout, il faut relativiser. III/ Une leçon de relativisme Le texte présente en effet une leçon philosophique qui invite le lecteur à relativiser (pas de certitude absolue  il faut nuancer ≠ dogmatisme) a) Un dialogue philosophique Le dialogue entre les philosophes extraterrestres et les philosophes terrestres est un dialogue que l’on peut rapprocher des dialogues

c’est précisément parce que le relativisme culturel, alors naissant, s’y laisse observer avec la plus grande netteté. Néanmoins, d’une part, le phénomène étudié ne concerne pas exclusivement le mouvement romantique au sens étroit : Serge Zenkine propose des analyses d’?uvres de la fin du siècle, de Flaubert et de Mallarmé notamment, et laisse entendre que la réflexion pourrait être prolongée tout au long des xxe et xxie siècles. D’autre part, la notion de relativisme culturel ne permet pas de saisir