Dissertation Métaphore Filée

lyrisme de ce sonnet ? Dans ce poème, Ronsard utilise le thème du Carpe Diem afin d’exprimer ses sentiments amoureux. Plan: I/ Le Carpe Diem a) La nature représentative de la beauté Lexique nature « bouquet » « fleurs » « fleuries »  fleur = métaphore filée de la femme, de la beauté sur les 2 quatrains. Fleur  symbole de la beauté, allégorie de la femme : « épanies » « vos beautés » b) La fuite du temps Allitération en « i » dans le premier quatrain  « vient » « trier » « épanies » « cueillies »

« serpents ».On peut y trouver une gradation, « glapissants, hurlants, grognants… ».On relève aussi des oxymores (violence antithétique et figures d'opposition).Il y a des métaphores, des comparaisons, à tous les vers exemple : « comme les mendiants ».La mort est une allégorie, "sourdes plaintes", "fleuves invisible", métaphore filée, le mal est comparé à un oreiller confortable où Satan va nous bercer. L'Ennui est aussi personnifié "il rêve d'échafauds en fumant son houka".Vocabulaire courant ("vieille

« Je voudrais » (v.9) montre le vœux du poète pour le futur. b) L'empressement de renouer avec sa muse est mise en évidence grâce aux enjambements ainsi que par le fait que les deux dernières strophes ne forment qu'une seule phrase. 1. La métaphore filée entre la muse et Baudelaire rapproche la décadence de la Cmuse et le vieillissement de Baudelaire qui n'obtient pas de succès auprès de ses contemporains. 2. CONCLUSION : Synthèse de ce qui a été dit....

rang. L’assimilation du poète et de l’albatros se concrétise par une métaphore qui se trouve dans le dernier quatrain au vers 13 « Le poète est semblable au prince des nuées ». C’est grâce à cette métaphore que l’on redécouvre le sens du poème, cela lui donne une nouvelle perspective et nous permet de comprendre que la douleur que ressent l’albatros est en réalité la douleur du poète. Le poème se révèle être alors une métaphore filée entre le poète et l’albatros et entre les hommes d’équipage et la

troupe de comédiens dans la ville du Mans, dans une entrée en scène dynamique et amusante. LECTURE Problématique et plan : Annonce de la problématique et du plan après la lecture du passage. 1) L’entrée dans le roman A. Une entrée parodique Métaphore filée indiquant le moment de la mi-journée → rapport avec les dieux et les êtres fantastiques Première page de roman → registre épique (héroïque) Subjonctif plus que parfait → caractère onirique (rêve) L’image héroïque est déjouée par l’auteur (L 7-8

Germinal soit un drame cette fin est plutôt optimiste et nous fait comprendre que en réalité le rêve socialiste du personnage principal n’est pas terminé, il vient juste de commencer. Ce dernier paragraphe de Germinal, de Emile Zola, reprend la métaphore filée de la germination. Le travail des mineurs sous la terre est comparé à la Naissance d’une nouvelle classe ouvrière. On observe le passage constant d’un comparant à l’autre, de l’homme à la nature et réciproquement. Les deux champs lexicaux sont

situation en face » comme s’il voulait se persuader de sa nouvelle position. Donc le verbe « regarder » a plusieurs sens : celui de la vue et celui de la quête de vérité. Il n’y a pas de « coupure » c'est-à-dire de nuit, nous remarquons aussi une métaphore filée sur cette coupure « Nous, nous battions des paupières. […] Je ne dormirai plus… ». L’électricité n’est pas coupée « La direction peut couper le courant. Mais je ne me rappelle qu’elle l’ait fait à cet étage-ci ». Garcin ne pourra donc plus jamais

théorie des correspondances Le poème présente la théorie des correspondances dans les deux quatrains en la mettant en pratique dans les deux tercets. A) 1er quatrain : Métaphore filée « La nature est un temple où de vivants pilliers » v.1 : la nature (comparé) est par métaphore un temple (comparant). La métaphore et filée car les arbres sont de « vivants piliers »v.1 Pour Baudelaire,le divin parle à l'homme à travers la nature:c'est le principe de la correspondance verticale B) 2ème quatrain :

emprun- tée à la mythologie : la nuit est ainsi la déesse mon- tée sur son char, précédée de « noirs chevaux » (v. 4). Les verbes d’action, mis à la rime, « amassait » (v. 1) et « chassait » (v. 4), donnent du dynamisme à la scène, tout comme la métaphore filée du berger qui rassemble « un grand troupeau d’étoiles » (v. 2). Une ambiance de clair-obscur se met ici en place, un peu mystérieuse : « la nuit » (v. 1) et « ses noirs chevaux » (v. 4) forment contraste avec la faible lumière des« étoiles » (v

la mer, » 52. La métaphore utilise un mot pour parler d’une réalité qu’il ne désigne pas habituellement. La métaphore fait ressortir une ressemblance entre deux réalités éloignées. Comme la comparaison la métaphore utilise un comparant et un comparé mais sans outil de comparaison. La métaphore est une comparaison implicite. « Alors apparut jaillissant de chaque rue la marée des femmes, des enfants, des vieillards,… » R. Char. Feuillets d’Hypnos. 0n parle de métaphore filée quand le même thème