Dissertation Métaphore Filée

le cœur de ce dernier est littéralement piétiné.Au vers 17 le substantif « maître » désignant le poète montre que celui-ci à une mission didactique. Cette idée est poursuivie dans le même vers avec l’évocation du « semeur » qui fait l’objet d’une métaphore in presencia, en effet le poète est assimilé à une personne qui ensemence les esprits, et que les idées qu’il sème germeront plus tard. « ô sage » v41 Dès le début du poème, Hugo interpelle son destinataire, le poète, par l’interjection « ô » qui

« paresse » + « sans cesse » agitation de la vie : ex n°2 chez Delacroix : assonnances -----> répétition de voyelles ou sons vocalique avec le son « an » qui renvoit à l'univers fantastique « Lac de sang hanté..... » Chaque strophe développe une métaphore filée ----> Chez Rubens c'est la sensualité triomphante, l'oubli, la paresse ; ------> chez Delacroix c'est l'inquiétude étrangeté ; -----> chez De Vinci, le mystère souriant. II) Une définition de l'oeuvre d'art et de la fonction de l'artiste ---->

f. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu'elle dit réellement - Ce n'est pas mauvais (c'est bon) - Va, je ne te hais point (je t'aime) Le Cid, de Corneille METAPHORE n.f. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l'automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE n.f. Remplacer un élément par un

d’analogie Sommaire 1. Définition 2. La comparaison 3. La métaphore 4. La personnification 5. L’allégorie 1. Définition: Procédés littéraires qui permettent de donner à un texte un caractère proprement littéraire ou poétique. Elles constituent une partie importante de toutes les langues et sont fréquemment employées dans le discours et dans la langue orale. Issues de changements sémantiques (sens), elles produisent des glissements de sens (métaphore, métonymie, synecdoque). Elles constituent un des principaux

fois dans le mal -v.9-10 « oreiller » « berce » « enchanté » métaphore filée : associe le mal au confort -v.15 CCL : orientation de l’homme vers le mal b. Le Spleen -v.23-24 personnification de la mort : elle vers les Enfers : caractéristique du Spleen de Baudelaire -v.37 allégorie de l’ennuie : caractéristique du Spleen -v.33 gradation : mise en relief et effet d’attente = Spleen c. L’Alchimie -v.11 « riche métal » métaphore filée : Satan = savant, expérience vaporisation = alchimie inverse :

texte est une description qui narre le parcours d’un feu bestial ravageant tout une forêt sur son passage. Qu’elles visions l’auteur donne-t-il de l’incendie ? Le romancier évoque ce brasier d’une manière particulière. En effet, il utilise une métaphore filée pour le décrire. Néanmoins, le point de vue du narrateur sur cette fournaise n’est pas évidant. Cette calcination s’apparente à une chimère qui possède des caractéristiques provenant de divers animaux, avec le champ lexical de la faune, tels que

l'action du temps sur l'individus , il s'agit d'une gradation . Le narrateur change de personne , pour s'exprimer en utilisant "je" , comme il le fais ici " je ne l'eusse sans doute pas reconnu" "Il n'était plus qu'une ruine" ,il s'agit d'une métaphore filée , un théme romantique comme plus loin pour le " rocher dans la tempête". L'emploi du romantisme laisse croire a de la nostalgie pour le narrateur . Ici le rocher image le Duc qui resiste au assault du temps , tel un rocher qui s'effrite un peu

valeur par une énumération (aspects philosophique de Socrate opposé à l’aspect moral) et par des comparaisons u Unité du passage • 1er paragraphe : passage descriptif (à visée argumentative) 2ème paragraphe argumentatif (connecteurs logiques) • métaphore filée : la boîte qui unifie prologue => insiste sur le fait que le contenu est différent du contenant u Références antiques : Platon et Socrate. Livre comparé à Socrate (modèle de pensée et d'humanité) : vocabulaire hyperbolique => c'est un modèle

ce vers quoi l’homme doit tendre - Montaigne dément le fait que la vertu soit inaccessible L11 « qui n’est pas comme dit l’école » = comme le veut la morale - « coupé, raboteux, inaccessible » (milieu de l'extrait) « plantée à la tête » = métaphore à valeur négative è Ce sont les hommes qui ont dit que la vertu est inaccessible car eux étaient incapables de l’atteindre. « selon leur faiblesse » (fin de l'extrait) « la placer sur un rocher à l’écart » (fin de l'extrait) è Les

lorsqu'il s'agit de remettre de l'ordre dans le pays et de faire respecter les lois. Il faut bien que quelqu'un « mène la barque » dans la tempête, sous peine de naufrage. Cette métaphore assimile le roi au capitaine d'un navire. Un abondant champ lexical du bateau parcourt toute sa tirade et forme une métaphore filée : barque, eau, gouvernail, équipage, cale, radeau, mât, vent, voiles, vague, pont, barre, bateau. Le capitaine est alors parfois amené à prendre des mesures impopulaires, voire inhumaines