Dissertation Métaphore Filée

la bourgeoisie Française qui repose sur un opposition le Spleen et l’idéal melancholie et la joie , l’auteur a utilisé deux termes ouvriers qui represent la bourgeosie et la réalité représenté en rêve tout sur cette opposition s’oppos sur un métaphore filée ( âne , peuple , bourgeoisie ect.) . C’est que la posie pour lui comme Voltaire mythe du bon sauvage , qu’il critique aussi la société Française. Voltaire critique les institutions françaises. Il utilise l’ironie pour railler l’étiquette de la

bruit (l. 17+19) : mise en valeur par l’opposition Mozart / grondement I.  :La dimension politique : le roman comme arme de dénonciation 4. La métaphore animale : chaîne = boa. a. Dimension descriptive de la métaphore (sinuosité du serpent, aspect métallique de sa peau, etc.) + dimension symbolique : serpent = danger, mal (cf. Bible), etc. b. Métaphore filée : « bouche », « vomit » (l. 2), « déverse » : connotations négatives 5. La déshumanisation : a. la chaîne comme réservoir d’immigrés. Mention

vitalité. « Mon père qui se battit », « Ma soeur au rire en folie, aux seins durs comme des obus », « Ma mère la sorcière qui seule du village méprisait le sel, piler le millet dans un mortier ». Arg3 : Rapport à la nature mystique Exemple : Métaphore filée lune – tête d'argent Cl1 : La vie de famille, l'enfance est décrite à travers les personnages, le quotidien, les coutumes et la nature comme un temps mystérieux, innocent, celui de la découverte. Axe 2 : La Vie coloniale IPP 2 : La vie

l’adresse directe au lecteur manifestée par le narrateur au lecteur. Premièrement, on remarque que l’auteur utilise la description très étayée du cadre spatio-temporel dans deux des trois textes. En effet, l’extrait de Ferragus repose sur une métaphore filée de la ville de Paris à un monstre à l’aide de nombreux détail : « Monstre complet d’ailleurs ! Ses greniers, espèce de tête pleine de science et de génie, ses premiers étages, estomac heureux ; véritables pieds ». On voit donc dans cette citation

déchiffrer les secrets de l'univers. I) le double portrait des affranchis. Il y a un début imedia res. La rencontre d'Henri-Maximilien et de son cousin Zénon sur la route de Compostelle constitue l'incipit. L'idée du chemin constitue la métaphore de la vie. Le chemin est très souvent associé à l'idée de carrefour, et donc au choix. En effet, les deux personnages finirons par se séparer, prenant chacun un chemin Cette présentation sous forme de dialogue montre la complicité entre les deux

amplification « les cris » allitération en « l » personnification du bruit l ,8,9,7 Le polyptote consiste en la répétition de plusieurs termes de même racine, ou encore d'un même verbe sous différentes formes. L 5 et 11 généralisation des cris métaphore filée l'eau et les cris l 11 2°Scène illustrant la violence des combats a présence des armes voc des armes l 22 motif du sous marin b. l'enfermement l 20  « blindage » fermeture emprisonnement des perso le train comme armure prisonnière

rimes féminines et masculines. Cette régularité de la strophe et du vers concourt à donner un rythme régulier, comme celui d’une danse justement. À chaque fois, un ou plusieurs verbes de mouvement rythment l’évocation de la femme le poète utilise la métaphore de l’eau qui permet d’insuffler ce mouvement régulier et doux, champs lexical de l’eau : miroiter, mer, flots, navire, appareille, vaisseau, roule, bord, plonge, eau, flot, boire. Champ lexical voyage : appareiller, navire, ciel lointain, vaisseau

«PRINCIPALES FIGURES DE STYLE Type de figure Figures par analogie Nom de la figure - La comparaison Rapprochement de deux éléments avec outil de comparaison - La métaphore Rapprochement de deux éléments sans outil de comparaison. « Je me suis baigné dans le Poème de la mer. » Baudelaire - La métaphore filée Métaphore développée à travers plusieurs expressions d’un texte. « Le peuple se précipita dans l’escalier en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des

présenté comme un animal : «Il s[e]retirait [sous l’escalier] comme une marmotte », « une bête », « était comme un chien pour elle ». Pour ce personnage Zola va encore plus loin que pour les autres car l’effet des comparaisons est renforcé par une métaphore filée l’assimilant à un chien. En effet Le père Bru dort dans un « trou, sous l’escalier » « en boule » « sur un tas de paille » « comme un chien », on « lui jetait des croûtes », tandis qu’il ne vit plus que « d’un œil » , plus personne ne veut de

l’anaphore : « Tout est d’airain, tout est de fer ».(v.10) b- Un monde inhumain - Une métaphore filée dénonce par ailleurs l’horreur de ce travail : la machine est assimilée à un monstre effrayant « Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre » La métaphore du monstre se poursuit v.17 (« souffle étouffant» qui évoque une sorte de dragon) Ccl : La métaphore souligne ainsi l’aspect inhumain de ce travail. c- Les conséquences désastreuses