Dissertation Métaphore Filée

voit de la lumière », constituent une métaphore filée, bien qu’elle ne s’étende que sur deux vers. Le poète renvoie la flamme au regard pétillant de la jeunesse comme il renvoie la lumière au regard posé de la personne âgée. Ces deux vers sont également synécdochiques car le regard pétillant laisse entrevoir la vivacité et l’énergie de la jeunesse de la même manière que le regard posé présente une forme de sagesse qui caractérise la vieillesse. Cette métaphore rejoint une comparaison entre l’attirance

chiasme qualités qui sont l’œuvre de Dieu disparaît avec le travail. Choix de 2 personnages pr intensifié les conséquences négatives du travail. Verbes violents « tué » « prend brise ». Enfants associés à de jeunes pousses donc fragiles et beaux (métaphore filée), serre (griffe ?) * Opposition avec le bon travail. Se termine à un appel de l’espoir, heureux. Exclamat° qui renvoient au lyrisme.4 adj. valorisant (v.33) le vrai travail (amplification du rythme). Parallélisme du dernier vers qui illumine

qu’au passé. C’est la première conversation entre Emma et Charles et donc le premier « vrai » contact entre les deux, ce qui va encore accentuer un peu plus l’idée de rencontre entre les deux personnages. Il y a ensuite un prolongement de la métaphore filée du corps. Cependant, contrairement à la première partie qui décrivait essentiellement le visage, nous avons ici un contact physique entre Charles et Emma ce qui va nous amener à parler du corps. (Poitrine, dos, bras, épaule) Mlle Rouault --->

, gorgée de chair humaine » (l.40), il nous présente le capital comme un monstre de la mythologie grec ,le minotaure et renforce ainsi l'idée d'un ennemi insaisissable . Puis ce discours est un réel appel à la révolte , en utilisant une métaphore filée «Une armée poussait des profondeurs des fosses ,une moisson de citoyens dont la semence germait et ferait éclater la terre ,un jour de grand soleil» (l.2 à 31) , l'auteur compare la révolte des mineurs à la germination d'une plante ainsi il fait

comparaisons et aux métaphores, dans les textes de La Bruyère, de Victor Hugo, Le texte de La Bruyère, moraliste du Siècle d'Or, est bâti essentiellement sur la métaphore filée de l'animal. L'assimilation des êtres humains à des animaux ménage un effet de surprise produit sur le lecteur. C'est seulement au milieu de la longue phrase que le lecteur découvre que La Bruyère décrit des humains : « ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. ». Les métaphores animales, l'animalisation

l’envahissement et la prolifération des objets. 2) L’ambiguïté du monde matériel La prolifération des objets se charge d’une valeur ambivalente, notamment par le biais du réseau, très dense, de comparaisons et de métaphores filées qui décrivent l’univers des objets. Ainsi, la métaphore militaire (" comme un champ de bataille encore chaud du massacre des tissus ", " comme des capotes de soldats mis hors de combat ", etc.) suggère la victoire de l’objet sur l’humain, alors même qu’une comparaison érotique

d’une multitude de sujets » et « ces carnages inutiles » sont le fondement de « la gloire chimérique du conquérant » 2. Les images * la guerre à une maladie : « la guerre est une maladie convulsive et violente du corps politique » : métaphore filée de la guerre en maladie → polysémie de plusieurs mots comme « corps politique » ou « membres ». état de guerre anormal : contraire à la nature * La nature est présentée à la ligne vingt comme une mère généreuse envers ses enfants * comparaison

(pas de vie) et plat (pas d'arbres) - lieu de marais et de terres nues - plaine rase - champs de betterave - Insistance sur le froid - Vent d'est sec et cinglant : on note des termes connotant le vent (larges rafales) et le froid (glacées) Métaphore filée de la mer : la plaine est comparée à la mer. Omniprésence du vent avec la comparaison aux embruns. Aspect lugubre accentué par le fait qu'il fait nuit à Champ lexical de l'obscuritéb. Personnage désolé La description du personnage est pathétique

l’anecdote, il indique très clairement qu’il ne s’agit d’une opinion personnelle. Les marques de la subjectivité sont : « pensif »(l.18), la précision « pour moi »(l.19) et l’utilisation de métaphores. Le pauvre cesse d’être une personne réelle grâce à une métaphore filée, c’est une allégorie de la misère. Par cette métaphore, il essaye de faire comprendre au lecteur riche que si il ne combat pas la misère, la révolte arrivera. Dans le dernier paragraphe qui est une sorte conclusion au texte, Victor

passe par une progression passé-présent dans le premier quatrain : « ne fut » v.1 = passé « ont fait », v.3 = passé proche avec répercussion sur le présent, « reste » v.4 = présent L'arrivée de l'automne, c'est-à-dire de la vieillesse (c'est une métaphore poétique employée afin d'éviter d'utiliser le mot "« vieillesse ») est mise en valeur par le présentatif « Voilà » qui marque aussi l'aboutissement de la progression évoquée auparavant. L'utilisation de l'image du jardin joue sur la polysémie du