Disparition Du Taylorisme

de Bretton Woods Accords du GATT Les États-Unis suspendent la convertibilité du dollar en or Premier choc pétrolier. Début de la crise économique Conférence de la Jamaïque et fin du système de Bretton Woods Second choc pétrolier Krach boursier Disparition de l’URSS et reprise du mouvement de mondialisation Le GATT devient l’OMC Crise économique en Asie orientale Mise en circulation de l’euro Crise des subprimes aux États-Unis Faillite de la banque Lehman Brothers et début d’une nouvelle crise financière

(tirer le fil à la bobine, empointer, blanchir….) ∗ • Ce qui augmente la productivité. C’est donc un facteur de la croissance économique ∗ ∗ Puisqu’elle permet la réduction des coûts salariaux unitaires Et donc celle des prix de vente 2. Le taylorisme et le fordisme sont à l’origine de la croissance des 30 glorieuses • Une double division du travail est pratiquée dans l’OST destinée à éviter la flânerie des ouvriers ∗ ∗ Cette méthode est inventée par Taylor La division horizontale parcellise

Conséquences : la productivité n’a pas augmenté dans les proportions espérées et parallèlement l’absentéisme et la démotivation ont crût. Conclusions : les mauvais résultats proviennent de : la déqualification du travail (perte de la polyvalence) ; la disparition de la solidarité (suppression des petits groupes). Il existe une forte interdépendance entre les composantes psychologiques et sociales d’un système organisationnel et ses composantes techniques. Pour obtenir une organisation efficace

transformations du travail 2.1 Rôle du capital humain et théorie de la croissance endogène 2.2 Les transformations quantitatives et qualitatives 2.3 La montée de l’organisation ouvrière et le syndicalisme 2.4 Les nouvelles formes de mobilisation : taylorisme et fordisme Chapitre 3 : Les transformations institutionnelles 3.1 Logique des coûts de transaction et rôle des facteurs institutionnels 3.2 La transformation des mentalités et des institutions 3.3 La constitution du système financier 3

un minimum de règles, de conventions collectives (conduit au corporatisme). Le travail est lié à la cohésion mais il est toujours menacé par des dérives, il doit être contrôlé. Frederick Taylor : (1856-1915), ingénieur américain. ● Idée du taylorisme : le salaire à la pièce a eu les résultats inverses de ceux espérés → il faut introduire l’OST pour définir indépendamment des individus le temps de travail nécessaire de production, l’ouvrier ne décide plus. Changement du temps de travail avec

variété. La phrase de Ford devient obsolète : « les clients pourront avoir une voiture de la couleur qu’ils veulent, pourvu qu’ils la veuillent noire. » La production de produits différenciés remet en cause la standardisation totale sur laquelle le taylorisme et le fordisme avaient construit leur supériorité. Le juste à temps est donc un concept développé au Japon au sein de l'usine Toyota dans les années 50 par le célèbre Taiichi Ohno qui avait comme motivation principale une élimination des gaspillages

ROWANN, HASLEY (étude des systèmes de rémunération liés à la production). FORD (Fordisme : travail à la chaîne).   4 - Les limites du taylorisme Grand sucés du Taylorisme, adopté dans tous les pays. L'accroissement de la production dans le monde s'explique en partie par la mise en place du Taylorisme. Cependant le Taylorisme est trop scientifique. Il y a eu une déshumanisation du travail, un absentéisme, des pannes provoquées. Le système s'est avéré trop contraignant psychologiquement

qui repose sur l'Industrie. L'économie, jusqu'alors basée sur le pétrole s'écroule, on assiste à la disparition des secteurs économiques traditionnels tel que les chantiers navals, l'automobile, le textile et enfin la Sidérurgie. Néanmoins, la hausse des prix n'est pas l'unique conséquence de cette dépression inégale et discontinue. Suite aux deux chocs pétroliers, et à la disparition des secteurs économiques moteurs, qui ont fait la gloire et la richesse des pays occidentaux, on assiste

Les mutations de la société La fin des paysans ? -Forte diminution du nombre d’agriculteurs > 27,5 % Secteur primaire en 1950 > 11,4 % en 1970 Une nouvelle classe ouvrière ? - Croissance nombre ouvrier : 38% P.A en 1960 -Extension taylorisme fordisme - X des OS (ouvrier sans qualifications) >> jeunes ruraux, femmes, immigrés. = Qualité de vie mauvaise. La montée des « cols blancs » - Essor secteur tertiaire : de 37,7 % en 1950 à 50,7 % en 1970 -baisse du nb de petits commerces

surprenant, ainsi que de nombreuses transformations sociales et culturellles. Les sociétés sont particulièrement marqués par le pleine emploi et l'augmentation de la productivité avec l'automobile en secteur clé ( Developpement du machinisme, taylorisme, toyostime... ). En Outre, l'industrie automobile stimule des secteurs industrielles tel que le pétrole ou la métallurgie. Nous pouvons ainsi noter une tertiarisation du travail. Les ouvriers sont les acteurs principaux de cette croissance,