Disparition Du Taylorisme

distingue alors deux types d’innovations :   Les innovations de produits sous forme d'apparition sur le marché de nouveaux biens et services qui vont se substituer plus ou moins partiellement à d'autres produits. Ces innovations qui ont mené à la disparition de certains métiers, ex : les automobiles qui ont progressivement fait disparaître le métier de maréchal ferrant, ou encore le nucléaire qui a poussé les mines de charbon à la fermeture.     Les innovations de procédés comme les transformations

est à l'origine d'une destruction des emplois : voici une idée largement partagée par l'opinion publique. En effet, à court terme, le progrès technique semble détruire des emplois. Tout d'abord lorsqu’il prend la forme d’innovations de procédé (Taylorisme, Fordisme, Toyotisme…) il se traduit le plus souvent par une augmentation de la productivité. Le progrès technique permet de créer d’avantage de valeur ajoutée en consommant moins d’heures de travail, on débouche donc automatiquement sur des destructions

Mais des secteurs ou la petite entreprise continue de fonctionner car moindre cout salariaux comme dans le tissage.  Une organisation proto-industrielle qui prend une nouvelle forme a savoir la féminisation dans la petite entreprise qui voit la disparition du travail a façon masculin. De plus l’arrivée du chemin de fer et de la petite machine va participer au renouveau des entreprises à gestion du travail dispersée.  De l’atelier a la petite et moyenne entreprise : petits ateliers urbains qui arrivent

seront reliées au système financier : on fonctionne en parallèle. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale avec les débuts des SA II) XIXe siècle à 1970 : Grande entreprise/Firme avec le Taylorisme/Fordisme. III) 1970 à nos jours : remise en question de ce processus : nouvelles formes d’entreprises qui vont être à flux tendu et performantes. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale

de cette baisse de l’emploi puisque production n’a cessé d’augmenter. Augmentation de la part des ouvriers qualifiés, des emplois de conception, gestion, commerce, du nombre de cadres, ingénieurs, techniciens, diminution de la part des ouvriers, disparition progressive des ouvriers non qualifiés (2,6M en 1975 ; 1 M en 1997). Montée en qualification , exigences croissantes du niveau de qualification à l’embauche. 2 – Les basculements territoriaux Désindustrialisation dans toutes les régions

approches économiques §4) Qu’est ce qu’une approche gestionnaire des organisations ? Partie 1 : Les différentes théories de l’organisation (école classique et contemporaine) (Page 13) Chapitre 1 : Les fondateurs (Page 13) I) Taylor et le taylorisme Page 13 §1) Les préconisations §2) Remarques II) Fayol Page 14 §1) Les principes §2) Les limites Conclusion (Page 16) Chapitre 2 : L’école des relations humaines (Page 16) I) Des critiques internes et externes

par leur effet sur la croissance et la conjoncture des industries, ce sont le Taylorisme, le Fordisme et le Toyotisme. Les systèmes de production ont évolué en même temps que les sociétés, tant sur un plan économique, social, culturel, qu’environnemental. Nous développerons donc notre argumentation autour de la question : comment ont évolué les systèmes de production dans le secteur automobile depuis le Taylorisme ? Dans un premier temps nous verrons les prémices des systèmes de production

salariés du secteur public dénoncent la disparité entre revenus du secteur public et ceux du secteur privé le pouvoir d'achat du SMIG est nettement en retard sur la progression générale des salaires. 1967 : grèves ouvrières : contre le taylorisme. Par ailleurs pour lutter contre l'inflation, en 1963 est lancé un « plan de stabilisation » visant l'équilibre budgétaire, ce qui implique hausse des impôts, restrictions des subventions, blocage et contrôle des prix. // Situation économique

 aux  états  les  plus  riches  de  consacrés  0,7%de  leur  richesse  annuelle  pour  aider   les  pays  les  moins  développés  ;  mais  sans  grand  succès.   D. La  disparition  du  système  économique  socialiste   1) Le  système  socialiste  étatisé   De  1965  à  1978,  l’URSS  enregistre  une  croissance  exceptionnelle  dans  plusieurs  secteurs   industriels

productivité décisifs au Japon depuis 1980, et s'imposent ailleurs comme indispensables au maintien de la compétitivité industrielle. Elles tendent à réduire l'intervention humaine - dans la métallurgie, la mécanique de précision et même dans ce bastion du taylorisme qu'est l'automobile - à des fonctions de contrôle et de supervision, et placent les sociétés occidentales dans une logique de diminution continue de l'emploi industriel, ou au moins de modification profonde des critères de sélection et de formation