Dialogue Avec Un Sauvage

tout en encourageant les sciences et le savoir. Dès lors, face à cette conquête du Nouveau Monde, Montaigne s’interroge et publie les Essais en 1588 où dans le chapitre VI « Des Coches », il met en scène le dialogue entre l’européen envahisseur et le peuple autochtone considéré comme « sauvage » et choisit de dénoncer la brutalité des conquêtes européennes. Pb : En quoi ce texte est-il caractéristique de l’Humanisme ? En quoi ce texte est-il caractéristique d’un Essai ? Que dénonce ce texte ?

Au premier abord, les Français sont évoqués d’une manière similaire puisque P dans les deux extraits de textes, ils sont contraints à la supériorité qu’ils ont sur le "Sauvage". Comment by Paméla Chamberland: On ne peut dire qu’ils sont contraints, forcés à sa supériorité. Comment by Paméla Chamberland: Attention d’employer les guillemets français (« ») et non anglais. Sous-argument 1.1Sous-argument

Plan détaillé Axe 1 : Diderot dans ce texte permet grâce au dialogue entre les personnages A et B, un échange de points de vue différents. Arg 1 : Le rôle du personnage A dans le dialogue. En effet, Les répliques de A sont beaucoup moins courtes que celles de B. A garde alors un esprit critique, qui se manifeste par ses plusieurs questions posées dont tente de répondre B. * 1er question : Question inaugural (linge ,1) va entrainer une réflexion d’ordre ethnologique. * 2nd question :

Amérindiens. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans le texte Extrait de voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier, la supériorité des Français est montrée par le complexe d'infériorité des Amérindiens. Dans le texte Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, la supériorité des Français est montrée par leur aisance et leur richesse. Illustration 1.1 Illustration 1.2 La répétition du mot : « harangue » (l. 13,15, 29) L'énumération suivante : « N’as-tu pas vu

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Le sauvage n’est pas présent de la même façon dans les deux textes. Argument principal 1       Tout d’abord, dans les deux textes le sauvage n’est pas éduqué. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2      Jacques Cartier présente le sauvage comme un animal.       Dans le texte de Lahontan, le sauvage est considère comme un fou et pas civilisé. Illustration 1.1 Illustration 1.2       « Et après qu’il eut fini sa dite harangue, nous

Le loup et le chien, La Fontaine Introduction éléments biographiques sur La Fontaine Contexte: cette fable animalière oppose 2 bêtes sauvages proches par la morphologie mais différentes par leur vie:l'une est sauvage , l'autre domestique.Leur confrontation permet à La Fontaine de présenter 2 conditions :l'insécurité liée à la liberté,le confort lié à la servitude. A travers ce récit animé, l'auteur donne une morale implicite dans laquelle se traduit la conception du bonheur. Sa

Note : Cet extrait s'apelle aussi "Dialogue entre A et B". Bougainville navigateur parti de Nantes, est revenu en mars 1769. Il a ensuite écrit une oeuvre intitulée "Voyage autour du Monde" en 1771 (goût de l'aventure mais en même temps esprit scientifique animé par les Lumières). Il avait ramené un tahitien appelé Aotourou qu'il a fait connaître à tout Paris (engouement des parisiens). Mais Diderot est resté de glace (Philosophe du siècle des Lumières, l'un des principaux artisans de l'Encyclopédie

comparatif du développement Point de vue : En générale le sauvage est présenté de manière différente d’un texte à l’autre, cependant on peut noter certaines similitudes Argument principal 1 Le rapport de force entre le Français et le «Sauvage» est différent d’un texte à l’autre. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans le texte de Cartier, le « sauvage » est influençable et inférieur au Français. Dans le texte du baron de Lohantan, le « sauvage » se veut égal au Français. Illustration 1.1 Illustration

rencontre qui va dans le sens de la pensée commune au XVIe : la supériorité des européens sur les sauvages A. Mise en place et rencontre des personnages -Situation initiale : surprise des Tupinambas Ex : « fort ébahis » cumulations de deux termes intensifs qui soulignent l’étonnement des indigènes et justifie la rencontre -Elaboration : la rencontre se transforme en dialogue Ex : marques du dialogue : guillemets, tirets B. Le choc des cultures met en avant la supériorité des blancs -La

genoux, |«Y a-t-il une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de | |les mains jointes, en adorant celle-ci devant eux, et leur fîmes signe,|gens riches à qui rien ne manque?» (Dialogues de Monsieur le baron| |regardant et leur montrant le ciel, que par celle-ci était notre |de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique) | |rédemption, devant quoi ils firent plusieurs signes d’admiration, en | | |tournant