Connaissance Sans Expérience Sensible

contribution de nos sens ainsi que sur le rôle que jouent nos expériences sensibles dans l’élaboration de nos connaissances. Il traite donc du problème des fondements de la connaissance. On peut donc se demander comment se construit une vérité nécessaire ? Ainsi nous allons voir dans un premier temps ce que Leibniz entend par « sens » et par « connaissance actuelle». Puis dans un second temps, nous verrons que certaines de nos connaissances ne proviennent pas seulement de témoignages des sens, bien

différentes connaissances sur divers domaines et objets du monde. Toute connaissance par définition désigne l'acte par lequel le sujet atteint ou saisit son objet, l'inconnu désignant inversement ce qui est inaccessible au sujet connaissant. Il faut donc que le sujet soit en présence de la chose pour entrer dans une démarche de connaissance. Or cette présence de la chose passe par le contact sensible entre elle et le sujet: elle se donne, par exemple, à voir, à entendre ...Si par expérience nous entendons

Théorie et Expérience sont les deux aspects d’une connaissance objective et scientifique. Cette opposition reprend, à l’intérieur de l’investigation scientifique, l’opposition générale de la Raison et du Réel. Les termes en jeu ne sont pas univoques, ils laissent place également à leur contraire. La théorie, comme ensemble cohérent de thèses et lois explicatives applicable à un domaine donné du Réel, semble évidemment abstraite ; cependant elle désigne originellement, étymologiquement (theoria) une

I) PRESENTATION DU TEXTE 1- Vocabulaire -Connaissance : le savoir, les acquis. -Expérience : connaissance acquise par la pratique ou les sens. -Facultés intellectuelles : capacités de raisonnement. -Impressions sensibles : ce qui est susceptible d’être perçu par les sens. -Matière brute : état d’une chose sous son aspect naturelle. -Dériver : Tirer son origine de, provenir de. 2-Auteur Emmanuel Kant est un philosophe allemand du XVIIIe siècle. Il est né le 22 Avril 1724 à Königsberg et

par le contact sensible entre elle et nous. La connaissance est donc d’abord sensation. Or, cette sensation peut être déterminante et conditionner la représentation des choses en notre esprit. Dès lors : que nous apprennent les sens ? Il convient d’abord de se demander ce que l’on peut connaître par les sens et si cette connaissance est totalement fiable. Sinon, on cherchera les moyens d’éviter d’être trompés par eux. Au final, on précisera ce qu'on entend par « connaissance du réel », le

essentiellement et de façon indépendante. Selon cette théorie, l'esprit gère seulement les conceptions des idées sensibles. Elle le fait soit (1) par la combinaison et la division, de sorte qu'il combine ces conceptions, ou divise chacun d'entre eux. Ainsi, il conçoit «une montagne d'or», ou les clivages «l'arbre», ce est avaient connu en morceaux et pièces. Ou (2) l'esprit gère les conceptions d'idées sensibles, en abstraction et l'universalisation, de sorte qu'il sépare les qualités de la forme, et les résumés

c'est donner son assentiment à une proposition en ayant la certitude objective de sa vérité. Cette certitude est liée à des procédures de validation dont on peut rendre raison. Savoir, c'est savoir pourquoi on sait. C’est-à-dire l’ensemble de connaissances acquises par l'apprentissage ou l'expérience. Est-ce que voir est suffisant pour savoir ? Souvent, nous sommes trompés par nos sens, ce sont des illusions d’optique. Par exemple, on voit le soleil se lever et se coucher. Nous pensons donc qu’il

(théorie de la connaissance). Russell propose dans cet ouvrage une présentation simple de la philosophie et affirme en même temps que toute affirmation doit être remise en question, étudiée, révisée, c’est-à-dire que rien n’est jamais certain. Pour l'auteur, il est toujours trop tôt pour conclure. Russell tente de mettre au clair des questions philosophiques, en décortiquant leurs principes comme un problème mathématiques. Il s'intéresse également à l’origine du sensible ,

Qu’est ce que la conscience ? Plusieurs définitions : 1-La conscience sensible suppose une perception sensible ( information de sens et traitement de l’information ) 2- Conscience de soi : sentiment d’exister, d’être une individualité . Cela suppose d’avoir conscience de ses actes, et avoir une conscience intellectuelle. La conscience de soi nous renvoi une image de nous même ( être beau , être grand) . Elle suppose une expérience de la vie, une introspection et une mémoire : C’est la conscience

allemand du 18eme siècle Kant, aborde le thème général de la vérité, vu sous un angle précis qu’est la distinction entre phénomènes et chose en soi, d’où découle notre connaissance de la réalité. Il semblerait que la connaissance théorique que possède la raison ne provienne que des phénomènes observés, c’est-à-dire que la connaissance a priori ne se réduise qu’à l’observation d’actions visibles. Or, le problème que soulève Kant est que si nous ne pouvons connaître la chose en soi des objets, mais