Connaissance Sans Expérience Sensible

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

étant maître de soi-même. C’est la raison qui assure l’harmonie entre l’ordre intérieur de l’âme et l’ordre du cosmos et l’excellence d’une vie passe par la connaissance de cet ordre. Pour Platon, il existe un dualisme entre le corps (source des désirs et des émotions et donc de désordres intérieurs, d’erreurs sur le plan de la connaissance et de division entre les êtres humains) et l’âme qui doit, justement, gouverner ces désirs et ces émotions. Cette âme est, pour Platon, immortelle et se lie de

son père Isaac Rousseau, et sa mère Suzanne Bernard. Il nous a raconté également que sa naissance a coûté la vie à sa mère. Il déclare même que sa venue au monde fut le premier de ses malheurs. Il se dépeint comme ayant reçu de ses parents un coeur sensible qui a causé tous les désagréments de sa vie. L’épisode raconte une enfance singulière placée sous le signe du bonheur de la lecture. Il conviendra de mettre en valeur la manière avec laquelle l’autobiographe recompose un événement unique de son enfance

réel L’enjeu fondamental va être la connaissance. Kant : « Que puis-je connaitre ? », de Critique de la raison pure. C’est l’expérience qui limite le champs de la connaissance. Ce dont nous ne pouvons pas faire l’expérience, c’est ce qu’on ne peut pas connaitre : l’existence de Dieu, par exemple. Vocabulaire : * A priori : avant l’expérience * A posteriori : après l’expérience (= empirisme) * Epistémologie : étude des méthodes de connaissances qui sont appliquées dans les sciences

savoir. 2) Rousseau qui a influencé sa morale. L'Homme est proprement homme et non pas aux niveaux de la connaissance. Profession de foi du vicaire savoyard. Il est influencé par l'Héliocentrisme, Kant renverse le problème de la connaissance , elle ne dépend pas de l'être connue mais du sujet connaissant . La connaissance dépend de l'être et du sujet connue . L’être des choses était indépendant de nous, le sujet

l'esprit. Or l'une des manières dont l'esprit peut s'intéresser à la matière, c'est de chercher à la connaître... II-Comment connaît-on la "matière" ? (Descartes, 17è) Distinguer l’expérience sensible et la réalité objective : Or il faut se rappeler que la matière ne se limite pas au "sensible", variable par nature. La matière désigne aussi et peut-être surtout le substrat informel, mais qui va recevoir une forme, c'est-à-dire ce qui est invariable dans l'objet perçu. Par exemple différentes

remarquable par ses facultés intellectuelles. C’est un individu à la sensibilité complète , dont la pensée est nourrie pas les expériences acquises grâce à ses 5 sens. Cette figure idéale rejoint donc celle du Philosophe des Lumières, qui est censé être raisonnable est sensible, ouvert à la société et dépourvu de préjugés. · Les philosophes des Lumières défendent un idéal commun de Liberté , à l’œuvre de

pour l’objet d’être “en-soi” et “donné” dans la connaissance […] »[1]? Cette question fait référence à la possibilité du sujet de connaître les objets tels qu’ils sont réellement, de connaître l’objet comme il se donne purement à nous. Cela rappelle le projet de Kant de refonder la métaphysique[2], mais Husserl entreprend le problème de façon totalement différente, car il ne sépare pas l’objet « en-soi » du sujet; il ne limite pas non plus la connaissance du sujet en raison de son statut; ni ne pose

sensations, notamment lorsque l’on pense aux expériences imaginaires que l’on peut avoir, par exemple à travers le rêve. L’instruction quant à elle, désigne le fait d’entrer en possession de connaissances nouvelles. De prime abord, donc, l’expérience paraît instruire, mais ce qu’elle nous apporte suffit-il à une instruction complète et vérifiée ? Si l’expérience est instructive, il apparaît aisément qu’une certaine réflexion permet la certitude de la connaissance acquise. Déjà à l’aube de la civilisation

fonctionnement cérébral, et soumet des thèmes cruciaux à l’attention de la communauté éducative. Il ne propose pas de solutions simplistes, ni ne prétend que la neuroscience ait réponse à tout. En revanche, il constitue un état des lieux objectif des connaissances actuelles au carrefour des neuroscience cognitives et de l’apprentissage; il indique également des pistes à explorer, et liste des implications politiques pour la prochaine décennie. La première partie, « Le cerveau apprenant », constitue