Connaissance Sans Expérience Sensible

être est une mère, alors nécessairement elle est une femme. - Si une chose est un bâton, alors nécessairement la chose a une longueur. - Si une idée est une croyance, alors nécessairement elle est soit vraie soit fausse. - Si une croyance est une connaissance, alors nécessairement la croyance est vraie. - Si A = B, B = C, alors nécessairement A = C. 1 Attention : ces notes de cours n’ont pas fait l’objet d’une révision linguistique. Philosophie et rationalité | 340-103 2 Seules les «VÉRITÉS

partition du monde sensible et du monde intelligible : Que ce soit l'opposition entre le monde des ombres dans la caverne et la réalité extérieure hors de la caverne dans la République, que ce soit l'opposition entre l'intérieur et l'extérieur du ciel dans le Phèdre, la philosophie platonicienne repose sur l'opposition entre un monde sensible qui n'est qu'apparence et dans lequel seule l'opinion est possible et un monde intelligible qui est la réalité dont la science est la connaissance vraie. Le monde

Dieu mais sur l’instant c’est mon effort de réflexion qui me garantit que je sus face à cette vérité et c’est universel car Dieu n’est pas trompeur, on partage tous la mm rationalité tt le monde peut découvrir la vérité donc on peut avoir une connaissance transmissible. Chez Descartes à la fois l’idée propre a la science moderne qu’il faut un raisonne objectif on cherche des choses qui ne dépendent pas des subjectivités individuelles ce ne sont pas des choses qui reposent sur les sens car ils

détail au problème de la connaissance [science, raison, nature, vérité] en nous appuyant sur la réponse précédente, c’est-à-dire sur la distinction proposée par Platon donc entre deux types de réalité donc deux types de savoir : 1. L’expérience (empirisme, connaissance sensible ou a posteriori)C’est la façon ordinaire de développer une connaissance basée sur l’observation et la mémoire. Le référent c’est le réel perçu (caverne).2. Le savoir véritable (science)C’est la connaissance de la réalité intelligible

épistémologique sur la base d’une théorie morale et psychologique : idées factices, adventices, claires et distinctes ou innées selon leur degré de simplicité, d’unité ou de composition avec l’expérience. La conscience est perception sensible, mémoire, connaissance évidente, cogito indubitable comme conscience de soi mais la perception est susceptible d’erreur, la mémoire d’illusion, le Malin Génie peut avoir suggéré des idées claires et distinctes : c’est toujours la conscience comme conscience

fourniraient nos connaissances et des perceptions fausses. Mais dès lors, que les mêmes sens sains, qui « normalement » sont supposés percevoir les choses telles qu’elles sont, peuvent percevoir dans certains cas des choses fausses, comment puis je être sur, lorsque je perçois, que je suis dans le 1er cas et non dans le 2d ? la suspicion est ainsi jetée sur la fiabilité des sens et cette suspicion peut devenir une défaillance complète, qui conduit à soutenir qu’ils ne fournissent pas nos connaissances. Qu’en

de l’esprit voulant éprouver son propre pouvoir de connaître : attitude réflexive propre à la philosophie b) remise en question des connaissances de façon critique - Différence : Socrate interroge les autres pour prendre la mesure de son propre savoir; c’est au contraire dans la solitude que Descartes préfère entreprendre la révision générale de ses connaissances (cf. fait que le genre est la méditation; poêle) B- La méthode : le doute hyperbolique (§2) (2) A cette fin, je dois abandonner

rapport entre la perception et l'universel, entre notre vision particulière des choses et leur essence. Qu'est-ce que percevoir et comment mieux percevoir ? Comment saisir le monde en lui-même dans la perception ? La perception c'est la prise de connaissance de son environnement par le biais des 5 sens. On parle par exemple de "trouble de la perception". En ce sens, nous relions la perception à la vue. Cependant, un trouble de la perception peut aussi être auditif. Nous utilisons aussi le terme

réalité. En effet, Platon pense la vérité comme indépendante de la pensée et du discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes attachés en raison de notre corporéité, est un monde ayant un faible degré de réalité en ce sens qu’il est peuplé de copies des Idées intelligibles. Or ce sont bien ces dernières qui constituent la vérité et cette vérité n’est

veut, ici, nous faire comprendre qu’une connaissance rationnelle de Dieu, si elle était possible, ne pourrait fonder la religion, la religion est du domaine de la croyance, du sensible et non de la raison. La connaissance de Dieu est impossible ; la connaissance est un acte par lequel la pensée saisit un objet à travers une expérience sensible ou un concept, il s’agit donc de quelque chose de fondée, dont on a une preuve. Or a-t-on déjà eu une expérience sensible avec Dieu qui nous aurait permis de le