Arendt Il Semble

et enthousiasme : les enfants. Cependant on comprend très vite l’enjeu que peu représenter ces dessins animés. Pourquoi pas comme vecteur de propagande. Pour ce faire il faut innover et moderniser l’outil de production. En effet, d’après Hannah Arendt, « la propagande se tourne vers les fractions de la population qui n’ont pas reçu un endoctrinement suffisant », tels que les enfants, qui constituent une cible idéal pour la propagande à travers le dessin animé plus particulièrement. Histoire

Rauschning, 1939, réed. Hachette/Pluriel, 1979, p. 211). Toutefois, les historiens actuels sont divisés sur l’authenticité du témoignage de Rauschning. 3) La place de la terreur de masse et des camps Si l’on se réfère à la définition d’Hannah Arendt, qui insiste sur l’atomisation de la société, l’isolement des individus par la terreur exercée par l’Etat tout puissant, on ne peut qu’être frappé par la similitude des régimes : la terreur stalinienne a été bien pressentie par André Gide dans son

restriction ou réserve, qui est valable pour tous et en tous temps. En ce sens, avec l'art la nature n'est plus saisie comme un obstacle à surmonter mais bien comme un modèle fixant ses règles à l'artiste dans le cas du génie. Or comme le note Hannah Arendt il y a une différence essentielle entre les objets d'usage et les œuvres d'art, c'est-à-dire entre les objets de la production industrielle et la création artistique. La question essentielle est celle de la durée définie par Bergson qui oppose le

l’Home et du Citoyen de 1789 a donc institué les droits auxquels les hommes ont accès. Néanmoins, Hannah ARENDT tient à rappeler que « seuls les états-nations démocratiques et puissants sont susceptibles d’accorder des droits à leurs citoyens, car ils sont les seuls en mesure de les garantir par l’usage de la force légitime. ». Or, si cette force légitime existe, c’est parce que (toujours selon ARENDT), les citoyens sont les « co-partageants du gouvernement ». Les citoyens ont donc nécessairement des

Du sens des mots à l'interrogation du sens Franc MORANDI (Philosophie de l'éducation, Paris, Nathan, 2000, pp. 12-14.) commence par rappeler comment le terme même d'éducation est chargée de toute la pensée éducative : "Le mot « éducation » semble en fait difficilement contenir toutes les significations du phénomène qu'il désigne. L'émergence du thème de la pensée éducative, de l'Antiquité, de la Renaissance à nos jours, est celle de la question de l'éducabilité de l'homme, sociale, rationnelle

du mot pour en donner une première définition. RESUME L’origine Dès l’antiquité, le mot d’origine grec auctoritas n’est pas synonyme de pouvoir, mais d’une qualité liée à la temporalité, transmise ou héritée des anciens. La parole semble être au cœur de cette qualité, de cette puissance d’ordre symbolique qu’est l’autorité. L’autorité a besoin d’un substrat qui la garantit et lui donne son fondement : le savoir. Celui-ci peut être reçu, acquis par l’expérience, construit par accumulation

qu'il soit individuel ou collectif, bloque totalement la créativité. Le devoir moral, source de progrès historique, entraîne des effets pervers. Il implique des choix, qui ne sont pas nécessairement adaptés à des situations nouvelles. Une part d'oubli semble indispensable. 2. Il faut se libérer du passé pour se donner la possibilité d'un avenir La mémoire mortifère La liberté est nécessaire à l'action. Obsédés par le passé, par ce que nous avons mal fait, par ce qui nous a fait mal, ou par l'exemple

de passer d’un état d’ignorance ou d’inconscience à un état où l’on se connaît soi-même, où l’on accède à son identité. Dégager la problématique et construire un plan La problématique Si le travail permet d’abord à l’homme d’assurer sa survie, il semble aussi y avoir une spécificité humaine qui consiste à exprimer à travers lui son intelligence et ses compétences. Le travail permet-il alors de prendre conscience de soi  ? Est-ce en cela que se trouve son intérêt  ? Le travail n’est-il pas plutôt

Condition de l’accomplissement du devoir a) Droits et Devoirs Le devoir est une notion morale à laquelle on ajoute une idée de bien. Au droit d’une personne répond le devoir de quelqu’un d’autre. La notion de devoir revêt un aspect négatif, le devor semble difficile à accomplir. Seul< le sujet libre a des devoirs, cependant le devoir entre souvent en conflit avec les désirs et c’est pour cette raison qu’il est souvent ressentit de façon négative. [  Le devoir est différent de la loi juridique. Il

économique ? (qui relève de la nécessité) Est ce une poièsis (= simple activité de production économique) ou une praxis ,c'est à dire fondamentalement une action (agir) Action → agir = une réflexion + une libre décision ≠ passion → passivité Selon Arendt, commencer quelque chose de nouveau = une rupture avec les habitudes (ex : arrêter de fumer) L'homme n'est la plupart du temps qu'un agent et non pas un acteur. I.Le travail en soi A.1ère thèse ; la nécessité économique (poièsis) 1)