éloge Paradoxal Ignorance

des vers 1-4 (texte B). En quoi sont-elles harmonieuses? 5. Quel est le rythme habituel du décasyllabe? S'appuie-t-il au vers 7 (texte B)? Quel effet en résulte? 6. L'espoir «réveill[e]» le poète (texte B, v. 7), mais en quoi ce réveil est-il paradoxal? Comparez sur ce point avec Pétrarque. • Vers le Bac (oral) Selon vous, Scève copie-t-il Pétrarque, ou crée-t-il un vers qui lui est propre? 110 2' partie. Lapoésie Amour: les joies et les peines La poésie amoureuse se développe entre deux

chez Bataille sans pôle masculin ou féminin dominant. C’est donc une jouissance polymorphe dont nous tenterons de rendre compte. I ) L’EXCES A ) Penser « ce qui excède la possibilité de penser » Bataille confère une entreprise paradoxale à la pensée. Pour lui, celle-ci n’a de valeur que si elle s’exerce à une place qui menace l’intégrité du sujet, soit, en faisant face à ce qui lui résiste et l’excède. Bataille n’inscrit pas sa réflexion dans une pensée aseptisée, totalement reculée

hommes aux animaux culmine dans la harangue de Démocrite, qui clôt le chapitre « Des Jugements », XII, 119 : « Petits hommes, hauts de trois pieds… » Une grande méfiance à l'égard de l'enflure, et de la rhétorique : La remarque XV, 5 constitue un éloge d'un prédicateur, le père Séraphin, qui prêcha le carême à Versailles en 1692 ; elle est en même temps un véritable « art poétique » de la parole religieuse – et une charge violente contre les orateurs à la mode, les « rhéteurs, déclamateurs, énumérateurs »

| | | | | |ELOGE | |DE LA FOLIE | |

l’absence de troubles. # le scepticisme chez les modernes => tolérance. Volonté de suivre le probable est commun au sceptique et au commun : mais d’un côté c’est l’érudition pour le sceptique qui lui permet de proposer des A et des non # du commun =ignorance. C’est l’érudition qui conduit au doute. Erudition offensive, critique qui possède par accumulation pour mieux détruire. Apologie « il n’est point de combat si violent […] » => érudition sur la question du souverain Bien où on a recensé 288 théories

chercher la nature et le sens dans des traditions antérieures, à demi effacées, dont les textes que nous connaissons garderaient la trace, mais sans bien le savoir ni bien le comprendre, qu’ils méconnaîtraient et travestiraient, délibérément ou par ignorance et incompréhension, qu’ils oblitéreraient. Une telle approche est légitime ; 844 MiCHEL ZiNK elle est passionnante ; elle est féconde, comme l’ont montré de nombreux et magnifiques travaux, de jean Marx à joël Grisward, qui a appliqué avec

voyelles nasales qui adoucissent l’impératif (“Songe”) +  assonances et rythme ± irrégulier, rimes +idée de rêve, donc d’idéal commence à s’installer avec “Songe”· Seules activités de ce lieu : aimer -> aimer = vivre là-bas· “pays qui te ressemble” : éloge de la ♀ ? (j’ai ajouté mais suis pas sûre) · “soleil s ”, “ciel s ” -> éternel · “ciels” -> terme de peinture -> tableau imaginaire, irréel· oxymore “Soleils mouillés” : impossible

décrit en vérité la condition des pers âgées dans nos sct modernes s'attaque à la sct de consommation qui traite les vieillards en parias, les condamnent à la misère, à la solitude, au désespoir Christian Combaz écrivain français 20 siècle Eloge de l'âge explique la rupture de l'image de la pers âgée avec l'émergence du discours moderne, rupture de l'après guerre avec naissance sct de consommation: new image de la vieillesse la sct change le sentiment qu'elle avait vis-à-vis de la vieillesse

« On étouffe la parole pertinente sous le flux d’opinions superficielles et mal informées, on multiplie les sondages sans déterminer les moyens de connaître les évènements dont on parle, et l’on fait de la foule le nouvel oracle qui du fond de son ignorance décide du vrai et du faux, du juste et du bien. Tout le ponde est appelé à donner son avis sur n’importe quoi. C’est un excellent moyen de faire dire ce que l’on veut. D’où la répétition comme moyen de convaincre, la formule et le slogan comme moyens

le vers 4 par une relative qui donne son avis sur « les compléments de consolation » (vers 5 : périphrase de condoléance). Modalisation : Ces consolations sont les surcroits d’afflictions, C’est à dire que pour La Fontaine, ces condoléances sont paradoxales. La 2eme intervention du narrateur en modalisation porte au vers 14 une règle au présent de vérité générale : « Les lions n’ont point d’autre temple ». Ici La Fontaine attaque le roi en dénonçant la sacralisation qui s’opère sur sa personne et