éloge Paradoxal Ignorance

Le Malade imaginaire , Molière. Lecture linéaire de la tirade de Monsieur Diafoirus (ligne 210 à 246) : un éloge paradoxal.Questions préparatoires pour la lecture linéaire de la tirade.Cherchez la définition de l’éloge paradoxal. En quoi peut-elle s’appliquer ici ?A qui s’adresse Monsieur Diafoirus ? Pourquoi est-il important de le souligner ? Quel rôle jouent dès lors les autres personnages sur scène ? Comment le propos du père du prétendant est-il amené ?Relevez les différentes

par une tirade faisant un éloge paradoxal, celui du tabac, il n’en est pas moins que cette première scène peut se lire comme un scène d’exposition. En effet, cette scène commence par éveiller la curiosité du lecteur par un éloge paradoxal qui annonce une tonalité comique, elle reprend la traditionnelle discussion entre personnages qui se doivent de présenter la situation et Sganarelle fait le portrait de son maître, en cela il présente le héros. 1) Un éloge paradoxal La scène s’ouvre donc sur

bataille. En quoi F. est-il « fort peu héros » ? En quoi F. n’a t-il pas sa place sur un champs de bataille ? Quelles impressions Stendhal donne-t-il a son personnage ? En quoi cette scène est-elle paradoxale ? I - Inadaptation de Fabrice au monde 1) Sa Naïveté ➜ Inexpérience et ignorance : il agit sans réfléchir, ne comprend pas, le regard des autres est péjoratif « blanc-bec, bêta » ➜ Incompréhension du monde réel (les horreurs de la guerre) : on découvre le champs de bataille par F

ennemis ? T’avons-nous associé dans nos champs au travail de nos animaux ? Nous avons respecté notre image en toi. Laisse nous nos mœurs ; elles sont plus sages et honnêtes que les tiennes ; nous ne voulons plus troquer ce que tu appelles notre ignorance contre tes inutiles lumières." Lecture analytique Introduction Nous allons étudier un extrait du Supplément au voyage de Bougainville, chapitre II, de Diderot – Philosophe du siècle des lumières, il est contemporain de Rousseau, Montesquieu ;

du bonheur simple d'autrefois sur un ton badin et irrévérencieux 1. La dénonciation du mythe de l'Age d'Or 2. Le grief: la simplicité primitive comme pure ignorance 3. Le ton de la provocation: impertinence et libertinage II/ Le credo d'un mondain et d'un honnête homme 1.Une position apparemment paradoxale et tranchée pour mieux persuader 2. L'éloge des plaisirs de la civilisation

Saturne » = Age d'Or. -Rhée (V.3) fille d'Ouranos (ciel) et de Gaia (terre). -Voltaire pense que le mythe de l'Age d'Or mythe trompeur de la simplicité vertueuse originelle « regrettera » (V.1) B. Le grief: la simplicité primitive comme pure ignorance. -Opposition à une conception Rousseauiste de l'homme à l'état de nature « Quand la nature était dans son enfance, Nos bons aïeux vivaient dans l'ingnorance » (V.30,31). -S'érige contre les partisans du bonheur par frugalité (simple), austérité

idées, des comportements, des valeurs, des personnes dont on vante les qualités ; - L’éloge repose souvent sur des valeurs données comme absolues et objectives alors qu’elles sont relatives et subjectives ; b- Le Mondain : - Dans un éloge paradoxal du XVIIIe siècle, Voltaire célèbre les valeurs montantes de la bourgeoisie ; - Paradoxe : le siècle de fer est en fait un siècle d’or ; le siècle ou l’âge d’or était un siècle ou un âge de fer ; - Poème en décasyllabes à rimes suivies ;

paragraphe (l.4) | Deuxième paragraphe (l. 12 à 14) | “il y a 50 ans” “tout nu au giron”+ “ne…que” tournure restrictivebébé pas encore sevré sans défense, fragilité, inocenceaccumulation x6+ anaphore “ni”= négation met en avant leurs ignorance.“on leur a tout appris”= volonté civilisatrice & éducatrice | l.12“Ne l’avons nous pas fouetté et soumis” violence abus de pouvoir Il accuse les Européens= registre polémique Maltraitances physique et morale On trouve un rapport

qui veut » qui souligne que Voltaire prend ses distances par rapport à la description qui suit. Les reproches que Voltaire fait à l’Age d’or sont de plusieurs ordres : -Voltaire qui est un philosophe des lumières reproche aux hommes du mythe leur ignorance qui est comparable à celle des enfants comme le souligne la personnification du vers 30. Le philosophe ne voit absolument aucun intérêt à regretter une époque qui n’est marqué par aucun progrès. -Voltaire s’en prend également a ceux qui pense que

des lois ou des valeurs partagées, une tentative enfin de persuasion - selon des principes affectifs, sensibilité, émotion - ou de conviction - selon des termes raisonnables à prendre en considération. 3.2. Vers la réhabilitation posthume et paradoxale de Don Juan ? Le jugement ayant déjà eu lieu, on peut pencher, dans tous les cas, vers la réhabilitation posthume. Le personnage n’a-t-il pas été puni trop sévèrement au regard de ses actes ? Qu’est-ce que Don Juan a fait, somme toute, de si…