Zep

d’objectifs par la loi d’orientation de 1989 (100% au niveau minimum (CAP BEP) et 80% au niveau du BAC on n’a qu’environ 62% d’une classe d’âge qui atteint le niveau du BAC et 8 à 9 % qui sortent du système scolaire sans qualification. Création des ZEP au début des années 80. Création des Réseaux d’Aide Spécialisées aux Elèves en Difficulté (RASED) en 1990 pour le primaire. Quelques chiffres sur l’échec scolaire. % d’une classe d’âge au niveau du BAC Fin années 50 : 10% 1975 : 30% 1980 :

pour donner des chances de réussite à chaque enfant ou adolescent présentant des signes de fragilité. Ils visent prioritairement à accompagner des projets locaux dans les zones urbaines sensibles (ZUS) et les zones et réseaux d'éducation prioritaire (ZEP-REP). Les " équipes de réussite éducative " en constituent le volet principal. Elles doivent proposer un soutien individualisé et personnalisé aux enfants et adolescents en fragilité identifiés par les acteurs locaux, dès la maternelle, et à leurs

dont les parents sont dépourvus en capitaux culturels et économiques de réussir malgré leurs handicaps: des bourses sont fournies aux élèves qui réussissent et comme l' IEP de Paris certaines écoles supérieures s'ouvrent aux élèves provenant de ZEP (zone d'éducation prioritaire) (doc 4 du dossier). Lorsque la famille perd le monopole de l'influence sur l'individu à l'adolescence l'individu se retrouve influencé par d'autres agents ou instances socialisatrises : C'est la socialisation secondaire

œuvre narrative complexe tout en mettant en évidence, notamment par l’entremise du personnage de Virginie, la valeur polémique et/ou novatrice du roman dans une époque donnée. L’étude a été menée dans une classe de troisième d’un collège situé en ZEP, zone sensible, constituée de 33 élèves d’un niveau très hétérogène, peu passionnés par la lecture de manière générale et assez " dynamiques ". Les élèves ont lu le roman au préalable : chaque séance concerne donc des passages qui sont censés déjà connus

normes acquises ou bien, au contraire, comme des injustices incohérentes, signes d’échec du pouvoir public. Annexes à la conclusion « L’observation sur le terrain permet en général de constater l’efficacité très relative de ces politiques (cf. les ZEP), et souligne parfois leur capacité à aggraver les situations par le jeu d’effets pervers en spirale. D’autres travaux soulignent au contraire les bienfaits de ces politiques préférentielles. Il n’y a donc jamais consensus sur l’évaluation des politiques

lorsque l’on se rend compte qu’ils sont mis à l’écart, rejetés. De plus, dans beaucoup de ces cités, il semblerait qu’ils soient même défavorisés au niveau scolaire, dès le plus jeune âge. Les ZEP incitent en tout cas à le penser. En effet, d’après Sophie Audoubert, enseignante dans un collège ZEP, bien que leur objectif est de donner une scolarité équivalente aux autres pour les personnes vivant en banlieue défavorisée, l’éducation qui y est divulguée est loin d’y être idyllique. Pour causes

thèses, la meilleure solution serait de lier la carrière scolaire aux résultats des élèves, les professeurs orientant les élèves en fonction de leurs résultats. Le fait que l’état ait décidé en 1981 d’instaurer les Zones d’Education Prioritaire (ZEP) a surement été pour Boudon une confirmation de sa thèse et une satisfaction pour lui. Grâce à cette instauration, l’Etat a prouvé que l’école ne visait pas à mettre en avant les inégalités sociales mais au contraire elle cherche à les réduire et à

soi qui est discutable. Mais certains de ses inspirateurs y voient une rampe de lancement pour promouvoir la discrimination positive. Ils figurent d'ailleurs parmi les personnalités qui viennent de signer un manifeste pour que le système de filière ZEP adopté par l'Institut d'études politiques de Paris soit étendu à d'autres grandes écoles. Il est clair que ces militants s'intéressent surtout, sous couvert de diversité, à un seul type d'inégalités: les discriminations ethniques. Or, tout principe

+ laïcité → sécuritaire et répressive. Pistes p. rénover intégration. II) Rénover les outils de l'intégration. 1) Quelle discrimination positive ? Officiellement, la Fce ne connaît que discriminations territoriales, à base socio-écoq : ZEP, ZUS. Bilan mitigé à cause d'un trop gros saupoudrage + multiplication des initiatives dérogatoires comme prépa spécialisées (HEC, Henri IV) + Science po Paris. Ds privé, charte de l'université assurée à titre d'expérimentation & pas obligatoire. Cette

l’école, alors que 6% des filles et 1% des garçons de 15-16 ans rapportent un viol. On sait que, dans plus du tiers des agressions sexuelles, l’agresseur est du même groupe d’âge que sa victime. L’agresseur type est un élève de collège ou de ZEP, du même établissement que ses victimes, de sexe masculin, auteur souvent de violences verbales ou physiques et de vols ou tentatives de vol. C) Des chiffres : Avec l’enquête de l’éducation nationale (1998) sur 26 académies pendant un trimestre