Texte De Arendt

facile pour se cultiver, le contact humain sera amoindrie. Nous pouvons ajouter à cela que non seulement le contact humain pourrait être rompu, mais le progrès technique a la capacité de modifier la nature en l’Homme par biotechnologie : d’après le texte « La post humanité est pour demain » de Francis Fukuyama, le progrès technique pourrait entrainer l’abolition de l’être humain entant que tel. Mais encore, la technique rend l’Homme dépendant d’elle et pousse alors le progrès technique

précaution officialise la constitutionnalisation du développement durable. En 2001, le Président de la République avait annoncé qu’une chartre sur la protection de l’environnement serait ajoutée à la constitution, ce qui est lourd de sens (cf citation texte de la chartre de la protection de l’environnement). Article 5 : le plus important > En cas d’innovation publique qui pourrait porter atteinte à l’environnement, les autorités publiques pourraient stopper le projet => Ce principe de précaution illustre

aujourd'hui encore d'un esprit cultivé, avec cette différence que nous avons oublié le contenu complètement métaphorique de cet usage. HANNAH ARENDT5, La Crise de la Culture (1961) Si l'on se reporte à l'étymologie du mot « culture », rappelle Hannah Arendt (image), on est ramené au terme latin « cultura » qui lui-même provient du verbe latin « colere ». Pour les Romains, ce terme s'applique à ce qui peut être « cultivé », c'est-à-dire « entretenu » et faire l'objet de « soin ». Il s'agit alors principalement

dépendait de nous et de notre appréciation pour juger de l’opportunité de la vérité ou du mensonge ne risquerait-on pas de ruiner toute morale et plus précisément de ruiner tout contrat , toute relation fondée sur la confiance entre les hommes ? Cf texte de KANT. Les principes de la morale résistent autant que les principes de la logique car ils émanent de la même raison et qu’il est aussi évident que « 2 et 2 font 4 , et qu’il faut préférer son ami à son chien » MALEBRANCHE Transition par l’analyse

présenté le document, vous expliquerez les évolutions du programme fasciste et démontrerez qu'il jette les bases d'un régime totalitaire. Le document 1a est un texte composé d'extraits du « Programme des Faisceaux italiens de combat », publié le 6 janvier 1919 dans le cadre des élections législatives de 1919. Le document 1b est un texte composé d'extraits du « programme du Parti National Fasciste » publié le 27 décembre 1921 pour les élections législatives de 1922. Les auteurs du document ne sont

l’économique. Clairement on va au crash, il y a très peut de solution à la crise actuelle. On pourrait laisser le capitalisme s’alimenter de ses contraintes mais ça ne changerait rien à la finalité. http://www.lacc.univ-bpclermont.fr/article169.html texte de Bruno Frère 17/02 Page La critique social n’est pas un mouvement homogène. Les différents courants qui la composent se retrouvent dans l’action (manifestation, débat) et passent le plus clair de leur temps à se disputer et à ne pas agir

le croire. Que serions-nous sans travail ? Nous avons besoin du travail pour bien d'autres raisons que des raisons économiques. Nous en avons besoin pour le plaisir même d'agir, pour satisfaire au besoin de se sentir utile, de se sentir quelqu'un, (texte) etc. Privée de travail, notre vie serait privée de sens. Le travail a un sens et il est pourvoyeur de sens, bien plus qu’il n’est peut-être une nécessité extérieure. En quel sens peut-on dire que le travail est une nécessité ? *  * * A. La tradition

exil vers l’Amérique. Traumatisé par la montée de l’antisémitisme en Europe, Varian Fry, grâce à son réseau, prêta main forte à de nombreux artistes et intellectuels face au péril national-socialiste : entre autres, André Breton, Max Ernst, Hannah Arendt. [7] Voir encadré ci-dessus [8] Huile sur carton marouflé sur toile - Centre Georges-Pompidou, Paris. [9] Toile conservée au Musée des Beaux-Arts de Zurich. [10] Menorah : candélabre, le plus souvent à sept branches, inspiré du chandelier

le croire. Que serions-nous sans travail ? Nous avons besoin du travail pour bien d'autres raisons que des raisons économiques. Nous en avons besoin pour le plaisir même d'agir, pour satisfaire au besoin de se sentir utile, de se sentir quelqu'un, (texte) etc. Privée de travail, notre vie serait privée de sens. Le travail a un sens et il est pourvoyeur de sens, bien plus qu’il n’est peut-être une nécessité extérieure. En quel sens peut-on dire que le travail est une nécessité ? *  * * A. La

savoir ni même le remarquer, avaient commencé à créer cet espace public entre eux où la liberté pouvait apparaître. A tous les repas pris en commun, nous invitons la liberté à s’asseoir. La place demeure vide mais le couvert reste mis » Hannah Arendt, introduction à La crise de la culture La perspective de cette étude est la suivante : Comment, dans un contexte de mondialisation, et de crise économique et politique, face à l’exclusion et à l’affaiblissement des liens sociaux d’une partie